Le grand Smog de Londres de 1952 fut un épisode de 5 jours sans précédent dans l'histoire du Royaume-Uni. Le brouillard de pollution causé majoritairement par le charbon était particulièrement dense, ce qui rendait quasiment impossible de conduire et même les services d'urgences furent coupés. Les estimations tablent sur environ 12 000 morts durant le phénomène.
Tous les commentaires (29)
Ce sont les plaquettes de freins qui plus que le moteur en lui même qui sont aujourd'hui responsables de la majorité de la production de particules fines.
C'est une vaste blague de s'attaquer au diesel comme si c'était le diable et au final de ne pas faire de propositions pour la mobilité douce.
On travaille d'ailleurs sur des pots catalytiques plus performants mais ils coûtent très cher pour une efficacité "raisonnable" et rendent le moteur à essence compétitif en terme de pollution aux particules.
Hello, doublon avec une anecdote du 14/02/14. Piqure de rappel?
Ce que tu dis est valable uniquement pour les vieilles voitures essences. Les nouvelles polluent autant que les essences ^^
Alors que les voitures diesel consomment moins de carburant que celles essences.
D'où mon incompréhension envers la politique 0 diesel.
www.who.int/mediacentre/news/releases/2005/pr38/en/
Ce sont des chiffres totalisant les cas en Europe sur 20 ans (ça date de 2005) :En revanche, les chiffres de l’anecdote ne prennent — eux — compte que des fatalités liées à ce smog en particulier, seulement cette année là, uniquement à Londres.
La pollution de l’air, c’est 500 000 morts par an en Europe.
Ce qui, sur 20 ans correspond à 10 000 000 de morts… en Encore, l’air s’est amélioré en 20 ans, donc c’est probablement encore plus.