Oleg Losev est un inventeur sans diplôme qui a pourtant considérablement fait avancer la science. Il a notamment découvert le fonctionnement de quelque chose que nous utilisons tous au quotidien : les diodes électroluminescentes (LED).
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Oleg Losev est un inventeur sans diplôme qui a pourtant considérablement fait avancer la science. Il a notamment découvert le fonctionnement de quelque chose que nous utilisons tous au quotidien : les diodes électroluminescentes (LED).
Tous les commentaires (30)
Dans l'article c'est écrit "Diodes électroluminescentes" dit DEL en France, et non LED . Je chipote désolé c:
Sauf que tout le monde dit led... Je ne pense pas que quand vous garez votre voiture vous parliez de "stationnement de surface" ou de "stationnement souterrain"... Parking, ça n'est pas français, de même que wagon, wc...
Je pense qu'il aurait été utile de dire qu'il a obtenu le prix Nobel grâce à ça
Bon courage pour trouver des ampoules DEL en magasin ^^
Comme pour beaucoup de mots et abréviations, c'est le terme anglais qui est resté.
La couleur émise dépend du matériau utilisé : les matériaux (des cristaux) ont des électrons qui montent et descendent en énergie. Quand ils passent d’un niveau d’énergie haut à un niveau d’énergie bas, ils émettent un photon dont l’énergie est égale la l’énergie libérée par l’électron (principe de l’émission par fluorescence).
Pour un photon (composant de la lumière), la couleur est directement dictée par son énergie.
Donc pour avoir une couleur particulière, il faut trouver un matériaux ayant une configuration d’électron bien précise.
Ainsi, les LED bleues sont obtenues avec du nitrure de gallium, les vertes (tout comme les laser) avec du NdYAG (Néodyme / Yttrium-Alluminium-Garnet), etc.
La nature de ce matériau est aujourd’hui déterminée par la chimie théorique et la physique quantique.
Et donc bien-sûr, certains matériaux utilisent les éléments plus rares (et plus chers) que d’autres, ou des éléments difficilement manipulables ou mises en œuvre.
Par ailleurs, il y a d’autres contraintes aussi. J’ai dit que l’électron émettait un photon quand il perdait de l’énergie. Mais pour ça, il doit d’abord gagner de l’énergie. Cette énergie, il la gagne avec la pile qui alimente la LED. Mais là le problème est inversé : plus on veut que le photon émis ait une énergie haute (LED bleues, violettes…), plus le circuit d’alimentation doit être puissant. Ceci pose parfois problème quand les tensions électriques requises dépassent celles des piles (qui sont toujours de 1,5 V).
Oui sauf que le mot parking est un faux amis
Il ne peut s'utiliser seul en anglais il est toujours accompagné d'un autre mot
Parking spot ou parking meter
Voilà petite précision pour dire que pour le coup parking utilisé seul en bien un mot français qui n'a aucune traduction si tu l'utilise depuis l'anglais
Ca veut dire quoi «gap»? Ce domaine de sciences m'est totalement inconnu...
Littéralement gap veut dire trou, intervalle. C'est parti pour l'explication !
En physique quantique, les niveaux d'énergie des électrons sont discrets et quantifiés (d'où le nom quantique). C'est à dire qu'ils ne peuvent prendre que des valeurs d'énergie bien définies ; les valeurs intermédiaires sont interdites. Ceci est valable pour un atome isolé.
Maintenant dans un solide, constitué d'une (casi) infinité d'atomes, il y aura une (casi) infinité de niveaux d'énergie autorisés. Ceux-ci vont se regrouper en deux groupes, appelés bandes. La bande d'énergie basse, appelée bande de valence, et la bande d'énergie haute, appelée bande de conduction.
Dans un semi-conducteur, ces bandes ne se "touchent" pas et sont séparées par une sorte de no man's land représentant un intervalle de niveaux d'énergie interdits. C'est ça le gap. Suivant sa taille, les sauts d'énergie entre les deux bandes seront plus ou moins grands et la lumière émise sera donc plus ou moins énergétique.
En espérant t'avoir éclairé ;)
Merci!!! J'ai relu plusieurs fois j'avoue ^^ mais je comprends un peu mieux!
Merci certaines branches d'études payantes. Une aberration.