Introduction à la psychologie clinique haha?

Il me semble d'ailleurs qu'Adèle Hugo, la fille de Victor Hugo, souffrait de ce trouble.

C’est malheureusement un trouble qui cible souvent les célébrités, puisque elles sont visible à travers un écran. Je pense par exemple à la chroniqueuse et esportif Kayanne qui en a été victime et qui s’est fait harcelé par cette personne

J'aimerais bien connaître le pourcentage de personnes qui sont touchées par cela.

archimede83 a écrit : D'où l'intérêt comme sous la royauté d'avoir un tiers, en général un moine qui lui répète sans arrêt qu'il n'est qu'un homme et faïble en plus. Souvent des jésuites avaient cette charge. Si mon souvenir est bon ça avait commencé avec les empereurs romains. Marc Aurèle, je crois.

Lionight a écrit : L'inverse ce serait pas plutôt de penser qu'un tiers nous haïsse profondément? (Alors que ce n'est pas le cas)
Dans le cas où on pense être détesté par tout le monde, j'imagine que ça existe aussi.
(Faut avoir une confiance en soi 6 pieds sous terre ou être ultra parano à mon avis) Ah non le contraire d'aimer n'est pas haïr, mais juste ne pas aimer.
Ce serait comme dire que le contraire de toujours c'est jamais, alors que c'est plutôt parfois.

Oui effectivement pas facile à vivre jen ai été victime et l'homme est même allé jusqu'à chez mes parents pour leur demander ma main ! J'ai 33ans...

Je vous conseille instamment le film "à la folie, pas du tout" avec Audrey Tautou qui joue une erotomane absolument charmante, au grand dam de Samuel le Bihan !

Le film Anna M. En parle très bien sans tomber dans l'extrême cinématographique

grille-pain a écrit : Cela me fait penser au film à la folie, pas du tout avec Audrey Tautou Oui c'est exactement ce qui est décrit dans le film (très bon film d'ailleurs)

La détenue Lorna Morello dans la série Orange is the new black avec son fameux Christopher !

kikihtml37 a écrit : Connaissant quelqu'un attends de cette maladie. C génant surtout lorsque celle-ci ne prend pas ses médicaments. Elle croit que tout le monde est amoureux d'elle. Tu dois pas très bien la connaitre....l erotomane est amoureux d une seule et même personne...et ne pense pas que tt le monde est amoureux d elle .... si je me rappel bien mes cours de psy

L'érotomanie a plusieurs degrés. Par exemple, pratiquement toutes les filles ont eu une passade érotomane, le plus souvent dans l'adolescence. Ou en étant adulte, cela va juste s'arrêter à des pensées. Être persuadée que pleins de personnes ont des sentiments à son égard. Il n'y a pas besoin de prendre des médicaments pour ce genre de trouble. Ça reste léger, et sans conséquences. Les hommes sont moins touchés par ce trouble.

geenastaar a écrit : Ah non le contraire d'aimer n'est pas haïr, mais juste ne pas aimer.
Ce serait comme dire que le contraire de toujours c'est jamais, alors que c'est plutôt parfois. Je pense que le contraire de « parfois »serait plutôt « souvent » ...

archimede83 a écrit : D'où l'intérêt comme sous la royauté d'avoir un tiers, en général un moine qui lui répète sans arrêt qu'il n'est qu'un homme et faïble en plus. Souvent des jésuites avaient cette charge. Si mon souvenir est bon ça avait commencé avec les empereurs romains. Attention vous confondez, c'est pas l'empereur(ex constantin), mais le général victorieux, les deux se designant sous le terme d'Imperator.

Et ce dont vous parlez a lieu lors du triomphe, la cérémonie qui donne le titre d'Imperator et qui fait que pendant la journées du triomphe le général et l'égal de Jupiter.

"L'esclave tenant au-dessus de la tête du triomphateur la couronne de laurier lui répétait des formules l'appelant à la modestie comme cave ne cadas, « prends garde de ne pas tomber ! » ou Memento mori (souviens-toi que tu es mortel)." (source wiki, la flemme de recopier mon cours x))

iftb a écrit : Ce n'est pas complètement faux. En réalité on suspecte le pouvoir d'être à la naissance d'une maladie mentale, le trouble d'hubris : "perte du sens des réalités, intolérance à la contradiction, actions à l'emporte-pièce, obsessiin de sa propre image et abus de pouvoir : tels sont quelques-uns des symptômes d'une maladie mentale récemment répertoriée qui se développerait durant l'exercice du pouvoir."
Rien à voir concrètement avec l'érotomanie si ce n'est ce sentiment qu'ont les personnes atteintes par ce trouble d'être plus appréciées qu'elles ne le sont réellement. Mais la cause est autre, ici c'est parce qu'elles sont malheureusement entourées de beaucoup de personnes qui les idolatrent eux et leurs décisions leur donnant le sentiment que la majorité des gens pensent de la même façon et que l'opposition n'est alors qu'une minorité d'individus. Afficher tout Hybris est un termes qui dans l'antiquité greco-romaine designais la démesure, le fait de faire des actions en contradiction avec les dieux et donc avec les institutions traditionnelles, c'est pour cela qu'un homme emplie d'hybris était considéré comme dangereux.

À ne pas confondre avec l’ereutophobie qui consiste à avoir peur de rougir en public.
Parce que c’est pas du tout le même délire.
(J’avais crus qu’on parlait de ça au début)

Lovelife09160 a écrit : L'érotomanie a plusieurs degrés. Par exemple, pratiquement toutes les filles ont eu une passade érotomane, le plus souvent dans l'adolescence. Ou en étant adulte, cela va juste s'arrêter à des pensées. Être persuadée que pleins de personnes ont des sentiments à son égard. Il n'y a pas besoin de prendre des médicaments pour ce genre de trouble. Ça reste léger, et sans conséquences. Les hommes sont moins touchés par ce trouble. Afficher tout Dans le cas de l anecdote, il me semble qu on parle bien de quelque chose de pathologique. Un délire souvent construit par un mécanisme interprétatif. Pour en avoir côtoyé plusieurs dans le cadre de mon travail. Cela va bien au delà du simple attachement non réciproque. Comme dit plus haut, il s agit vraiment d' harcellement qui est souvent très mal vécu par l objet du délire et son entourage et qui s étend très souvent dans le temps.

Un peu comme Marina Foïs dans irréprochable ?

sans la répression sexuelle, ces maladies n'existeraient pas ou quasiment pas. Encore une fois, la plupart des troubles mentaux est causée par l'absurdité et la cruauté sociales.