Il existe sur la tombe de certains soldats français tués à la fin de la Première Guerre mondiale une "erreur" volontaire de date. En effet, pour ne pas entacher le caractère sacré de l'armistice, tous les soldats tués le 11 novembre 1918 furent considérés comme décédés la veille, le 10 novembre.
L'armistice est en effet effectif à 11 heures, et certains soldats furent malheureusement tués le matin avant l'heure d'application.
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Ce que tu dis est assez marrant : car ce qui se raconte aussi, c'est la poisse de certains membes ! Il y en au moins un par génération dont les catastrophes, les anecdotes amusantes, alimentent certaines soirées familiales... Rien de grâve comme la mort de cet aileul, mais des multitudes de "pas de bol" :)
De ma génération, c'est mon frère ainé. Il faut l'emmener partout car c'est une assurance tourisques ! Si quelque chose doit arriver, c'est à lui ! :) Il est une quintessence de "pas de bol" ! Et il le vit très bien ; très fataliste, comme si c'était normal... nous on rigole :)
(Me suis pris une flèche, un rebond de couteau, 3 ou 4 accidents aucun de ma faute ni évitables, j ai le chic pour trouver le garagiste le plus incompétent de la terre a chaque fois etc etc...)
Et en effet au moins y a tjs une histoire a raconter. Et pis a force de devoir s en sortir on devient multicompetent. Je pense même parfois que ça ferait de bonnes histoire de livre mais c est déjà fait. S il se lance dans les travaux qu il lise "vous plaisantez monsieur tanner" : je crois qu on est bcp comme ça ;)
Mais j avoue du coup j aime bien les histoires de ceux pire que moi;)
C’est le cas de l’arrière-grand-père de ma compagne. Et le faire comprendre aux gens est très ardu...