Le Barzoï, une race de lévrier russe, faillit disparaître durant la révolution de 1917. Durant des siècles, il fut associé à l'aristocratie : la seule façon de s'en procurer était de s'en faire offrir par le Tsar. Durant la révolution, le chien, devenu un symbole, fut systématiquement abattu. La race disparut presque entièrement dans son pays d'origine, et ne fut sauvée que grâce aux efforts d'éleveurs étrangers.
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Ce sont donc des hommes qui tuent des chiens parce que ces chiens étaient devenus un symbole aristocratique par le choix purement arbitraire d'autres hommes. On a donc tué des chiens parce qu'ils représentaient ce qu'on avait choisi qu'ils représenteraient.
Magnifique exemple d'absurdité anthropocentrée.
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Ce sont donc des hommes qui tuent des chiens parce que ces chiens étaient devenus un symbole aristocratique par le choix purement arbitraire d'autres hommes. On a donc tué des chiens parce qu'ils représentaient ce qu'on avait choisi qu'ils représenteraient.
Magnifique exemple d'absurdité anthropocentrée.
C'est parfois comme ça quand tu n'as rien demandé à personne.
Ben il y a des écolos (beaucoup) qui, au nom du bien être animal, préconisent l’euthanasie des chats, chiens, poissons rouges, NAC, à la maison ou dans les parcs aquatiques, et autres bétails dans les étables...
fr.wikipedia.org/wiki/Nouveaux_animaux_de_compagnie
Le chien lui-même à un air d'aristocrates race plutôt bien choisi.
Merci de votre retour :)
missionherisson.org/herissons/statut-legal#:~:text=Le%20h%C3%A9risson%20d%27Europe%20est,les%20modalit%C3%A9s%20de%20leur%20protection.
Nous ne somme pas tous des érudits...
Pourquoi, selon vous, avoir un hérisson est interdit ? Il y a le fait évident que c'est une espèce protégée, que l'on ne peut pas détenir en captivité. Mais quel rapport avec la stérilisation et l'euthanasie, sujet auxquels vous semblez vouloir répondre ?
Je te sors un exemple: Les hérissons. Ils sont en voie de disparition, mais une loi débile interdit de les nourrir, j'en ai choppé un y'a deux semaines dans un regard d'eau potable du quartier, la loi m'interdit même d'y toucher, la loi m'aurait obligé à ne rien faire, en gros, de le laisser crever. C'est la LOI! Parce qu'il ne faut pas toucher aux animaux sauvages. C'est INTERDIT!!!
Un hérisson, même libre d'aller et venir dans ton jardin, tu n'as pas le droit d'influer sur sa vie. Tu risque gros si tu le fais. -1500€ d'amende), tu n'as pas le droit de l'apprivoiser, tu n'as pas le droit d'entrer en contact avec lui, tu n'as pas le droit de le sauv... en gros, tu n'as pas le droit d'y toucher, de le regarder.
Pour la stérilisation où la régulation/euthanasie, des animaux invasifs, je te pose une question: Vaut il mieux les tuer où limiter leur reproduction où ne rien faire du tout?
C'est vraiment un sujet délicat, auquel personne d'a encore de réponse satisfaisante, dirais-je.
Interdire l'apprivoisement d'un animal sauvage me semble une excellente idée, comme le fait de ne pas le nourrir (sauf urgence et sur conseil de gens qui connaissent l'espèce).
On peut débattre sur l'existence ou non d'espèces dites invasives, ce qui nous renvoie vite à notre propre rapport à la nature. Et en effet, si l'on considère qu'une espèce est invasive, c'est délicat de savoir s'il faut mieux la tuer ou la stériliser. Le sujet est d'autant plus délicat que les chasseurs a qui ont confit la régulation ne sont clairement pas qualifié et font n'importe quoi.
Et, on peut y réfléchir deux secondes.
Savez-vous exactement ce que mange un hérisson ? Savez-vous exactement comment vous occupez d'un hérisson malade, assoiffé, ou blessé ?
Savez-vous quelles sont les conditions optimales de luminosité, de température ou autre pour bien vous occuper d'un hérisson ?
Sans doute que non. Et donc, en voulant bien faire, vous risquez de le mettre en danger, alors même que c'est une espèce protégée. Il est donc raisonnable que l'on vous demande de ne pas le toucher, et d'appeler des personnes qualifiées.
Les écolos réfléchissent donc un peu plus qu'on ne pourrait le penser, et réfléchissent surtout et d'abord en fonction de l'intérêt de l'animal, et pas par rapport à l'envie de l'humain.
En ce qui concerne la deuxième question, à nouveau, peut-être faut-il réfléchir à des paramètres qui nous échappent, là, en y pensant deux minutes seul derrière un écran. Sans doute cela va-t-il plus loin qu'un simple : on les castre ou on les bute ? Sans doute faut-il réfléchir aux effets sur les autres animaux autours (souris, oiseaux, insectes), aux maladies transmises ou qu'ils peuvent eux-mêmes développer, aux abandons, aux associations saturées...
Et vous jugez votre parallèle pertinent ?
Un air de Barzoï, peut-être ?