La crise du Covid était un bon moment pour acheter du pétrole : l'effondrement de la demande et la surproduction provoquèrent un effondrement du prix du baril, qui devint même brièvement négatif : le 20 avril 2020, il atteignit -$37,63, c'est-à-dire que l'on payait pour se débarrasser de stocks.
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Je n’ai pas ressenti l’effet sur le prix à la pompe
Je me rappelle aussi que mon fournisseur de fioul me l'a proposé à 2.20€ le litre (1.115 aujourd'hui), et que des distributeurs de carburants s'étaient engagés à ne pas dépasser 1.99€ le litre à la pompe, essence et gasoil
Tous les commentaires (5)
Je n’ai pas ressenti l’effet sur le prix à la pompe
Je me rappelle avoir payé le gasoil 1,20€. Ça a duré quelques semaines.
Je me rappelle aussi que mon fournisseur de fioul me l'a proposé à 2.20€ le litre (1.115 aujourd'hui), et que des distributeurs de carburants s'étaient engagés à ne pas dépasser 1.99€ le litre à la pompe, essence et gasoil
C'était bien plus tard.
Le moment où c'était négatif était plutôt au tout début de cette séquence. Pour l'anecdote, je devais changer de voiture à cette période, plusieurs amis se moquaient de mes calculs car je surponderais le prix de l'essence pour calculer le prix de revient du véhicule et son fonctionnement. Je supposais 1,6€/l d'essence alors qu'il était à 1,3€ à la pompe. Le temps ne leur a pas donné raison...
Par ailleurs, si le brut était en négatif, une fois extrait le pétrole ne se conserve pas éternellement. Donc ce n'était pas la peine de faire des stocks délirants...
Belle fumisterie