googz a écrit : C'est pas ca que j'ai dis (ou voulu dire en tout cas). Je disais qu'une ouverture tardive (du à un rattrapage tardif) peu faire ralentir mais pas assez, d'où les jambes cassé Oui c'est possible. Mais la ça se joue à la demi seconde. Les probabilités sont faibles. 1 seconde avant pas de problème et 1 seconde après t'es mort. Y'a pas vraiment de milieu...

zevins a écrit : soyez logique... le type si il arrive pas a rattraper le parachute obliger qu'il meurt -_- Bah non voyons, personne le savait! Nous pensions tous que la personne avait des ressors au niveau de ses pieds pour rebondir! - -"
P.S: C'est pas obliger... ( Si c'est une chutte pas tres haute juste pour s'entrainer... ).

vavasousou a écrit : C'était avec une combinaison ailes intégrées style "chauffe-souris" , mais aussi suicidaire . Une " Chauffe-Souris " ? Tu nous la fait version accent Allemand là? A la française on dirait plutôt " Chauve-souris "... Mais bon. Arth!

Dieutoutpui- a écrit : Une " Chauffe-Souris " ? Tu nous la fait version accent Allemand là? A la française on dirait plutôt " Chauve-souris "... Mais bon. Arth! Une chauffe souris c'est une souris qu'à pas d'cheffeux ?

[quote=boudin]ahah C'est quand même amusant de voir que cette annecdote suscite plus de commentaires que deux annecdotes scientifiques récentes réunis, et pour débattre de quoi? De la probabilité de survivre d'une chute d'un avion sans parachute ... et comme si ce n'était pas assez ridiule comme conversation, certains arrivent à s'échauffer sur un sujet aussi dérisoire. Bravo à vous, et merci pour ce moment d'absurde.[/quote]Ca fait déjà plusieurs anecdotes que les esprits s'échauffent (je suis bien placé pour le savoir!), et je pense que ça vient du succès de l'appli : plus de visiteurs, plus d'opinion, plus de désaccords ! Et il n'y a pas que deux "camps" bien tranchés, chaque personnes a sa propre variante d'une idée. Quand on y pense c'est bien : chacun aurais une opinion différente de la sienne ainsi que des éléments plus nombreux pour arriver à un terrain d'entente cordiale tout en ayant une idée bien plus intéressante. Mais voilà : beaucoup (voir tous) sont persuadé d'avoir la bonne idée et se bloque. PIRE, beaucoup insulte ou sont agressifs (moi le premier) quand une idée est radicalement différente de la sienne ! Il faudrait changer ça, ou au moins montrer que notre "espèce supérieur" est capable de trouver un consensus sans en venir au mains !
Désolé pour le roman ^^

Malheureusement très peu de vidéos de cette discipline sur internet... Je trouve la lecture de l'anecdote plus effrayante que le sport en lui même... Je reste plus impressionné par des légendes comme Hamilton www.google.fr/url?sa=t&source=web&cd=1&ved=0CEAQtwIwAA&url=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3Ds0Pw7vKtqpo&ei=5XcQUL8CyMvRBaOsgBA&usg=AFQjCNE6vTiS1czI5JWG_Ug5tkaegn-yCA

christopher54112 a écrit : @Jayjay ça fait plaisir d'avoir du soutien :p



@Samisa ok ok ça marche ;) Pani prob' :-)

özil a écrit : Ici , le mot "généralement" est présent car il arrive (mais c'est très rare) qu'une personne survive à un chute de 3000 mètre . Comme cette hotesse de l'air polonaise qui a survecu à une chute de 10 000 mètres en 1977. Oui, je m'en souviens, c'était Irina Dranovic, une yougoslave de 22 ans, hôtesse de l'air, en janvier 1972, mais je crois que c'était une chute de 7000 mètres. Mais ça change pas grand chose.
Tout ça me rappelle aussi une petite anecdote :
En 1964, Louis Gerstein est moniteur de parachutisme et a aujourd'hui un groupe de parachutistes amateurs composé de cinq hommes et une femme : Maria. Maria et Louis se connaissent déjà. Ils montent dans l'avion et arrivés à 1500 m d'altitude, les cinq hommes sautent, puis Maria, et enfin Louis. Les parachutes s'ouvrent, mais pas celui de Maria. Louis attend, et celui de Maria s'ouvre enfin, mais il se met en torche et refuse de se déployer normalement. Louis espère que Maria ouvrira le ventral mais elle ne le fait pas. Louis pique du nez, et finit par la rattraper, mais à vitesse extrême, 60 km/h, parachute ouvert trop tard et en surcharge, et ça termine bien sur par un choc violent. Maria s'est fracturé une jambe mais Louis a des fractures aux deux jambes, un tassement des vertèbres et un traumatisme crânien. A l’hôpital, Maria s'occupe de lui, vient tous les jours avec des cadeaux, discutent et rient ensemble et ils finissent par tomber amoureux. Ils se marient à la sortie de l’hôpital. 25 ans d'amour et de bonheur plus tard, encore à l’hôpital, alors que Louis va mourir d'un cancer, sa femme est à ses côtés. Et là, elle lui avoue quelque chose qu'elle traîne depuis plus de 20 ans. Le jour où il lui a sauvé la vie, elle avait pensé à son parachute ventral mais elle a décidé tout simplement de ne pas l'ouvrir, espérant que Louis viendrait la sauver. Mais ce n'est pas tout, elle avait également saboté son propre parachute !

countmeout a écrit : Une chauffe souris c'est une souris qu'à pas d'cheffeux ? C'est une souris radiateur

Benoit69006 a écrit : Non sérieusement c'est quoi cette question ? Tu sautes de 3000 mètres , la sanction n'est certainement pas d'être mis en orbite autour de la terre ... Lool. Tu te prend un carton jaune si tu echoue rien de grave

Pour moi la question ne ce pause pas car on parle de parachutisme kamikaze (kamikaze = soldats japonais qui effectuer des missions suicide ) il est donc évident que la mort et l issu de leur échec!

Machette a écrit : Les japonais ont une inébranlable détermination, si ils échouent dans leur fonction ils plongent en dépression ou se suicident (voir le taux de stress au travail, c'est impressionnant). Car depuis leur enfance on les mêle à la compétition. Lorsqu'un japonais lambda décroche un travail, il lui est attribué à vie, de plus leur société veut que la profession se transmette de père en fils. Cette peur de l'échec doit sûrement remonter aux temps des samouraïs, eux qui se mutilaient à mort si leur quête avait faillie. Cependant ces mœurs tendent à disparaître au vu de cette jeunesse japonaise qui réclame un monopole du choix d'avenir, et une plus large liberté de travail! Tout ça pour dire que ce sport illustre à merveille la mentalité tenace des Japonais :)! Afficher tout ce que tu dis est juste mais n est pas vrai pour l école maternelle qui y est beaucoup plus permissive que chez nous car justement on leur demande beaucoup de rigueur après...

skyline68 a écrit : Ok, alors absolument personne n'est choqué par l'anecdote ou du moins le manque de cohérence de celle ci !? Je m'explique l'objectif est donc de lancer son parachute par l'avion, d'attendre le plus possible et donc de sauter par la suite pour le récupérer. Le record est donc de 50 secondes tout en rappelant que l'appareil continue sa route durant ces 50 secondes, car il s'agit d'un avion et non d'un hélicoptère et donc le vol stationnaire est impossible. Ces avions sont pour la grande majorité des Cessna 180 et vole donc à une vitesse de 250 km/h ce qui veut dire qu'en 50 secondes l'avion aura parcouru près de 3,5 km et donc le parachutiste sautera 3,5 km plus loin que son parachute alors comment l'atteindre ? Bon imaginons maintenant le scénario où l'avion tourne en rond, le parachute tombe depuis 50 secondes, par calcul j'en ai déduit que le parachute au bout de 50 secondes etait environ à 1.20 kilomètre plus bas (Ça me semble plausible mais si des matheux pouvaient confirmer ce serait cool) en plus d'être sorti du champs de vision du bonhomme, le temps que le parachutiste parte le récupérer, qui est en soit une opération plutôt impossible car repérer un sac à des centaines de mètres à moins d'être un rapace, pendant ce temps le sac continue toujours de tomber à ce moment là je doute qu'au moment où le parachutiste ait son parachute sur lui qu'il soit à une distance de sécurité du sol pour atterrir sain et sauf. Afficher tout La déduction me parais plausible. C'est vrai que ça parait tiré par les cheveux et que l'on pourrait trouvé beaucoup de choses qui démontreraient l'impossibilité de ce record ( 50 sc ). Mais n'ayant aucune notion dans le domaine je n'affirme rien.

Record de trois minutes sur wikipedia.
en.m.wikipedia.org/wiki/Banzai_skydive
Si la source est fiable, ça confirme que le décompte se fait entre le saut et le déploiement du parachute. Le délais entre le lancé de l'équipement et le saut serait donc bref et constant. La difficulté résiderait alors pour le compétiteur dans le contrôle de sa vitesse pour se maintenir à hauteur du sac, le plus longtemps possible, avant de l'endosser.

A cote le base jumping c est du ping pong.

waw!!! mortel ce sport!

On peut le pratiquer en france :D ?

joseiko a écrit : Lol oui je pensais la meme chose le mec une fois etalé au sol: "bon c'est la derniere fois que tu te manques ok?!" " tu feras mieux la prochaine fois..."

killianj a écrit : La déduction me parais plausible. C'est vrai que ça parait tiré par les cheveux et que l'on pourrait trouvé beaucoup de choses qui démontreraient l'impossibilité de ce record ( 50 sc ). Mais n'ayant aucune notion dans le domaine je n'affirme rien. le tenter de nuit...

Plo76 a écrit : Oui, je m'en souviens, c'était Irina Dranovic, une yougoslave de 22 ans, hôtesse de l'air, en janvier 1972, mais je crois que c'était une chute de 7000 mètres. Mais ça change pas grand chose.
Tout ça me rappelle aussi une petite anecdote :
En 1964, Louis Gerstein est moniteur de parachutisme et a aujourd'hui un groupe de parachutistes amateurs composé de cinq hommes et une femme : Maria. Maria et Louis se connaissent déjà. Ils montent dans l'avion et arrivés à 1500 m d'altitude, les cinq hommes sautent, puis Maria, et enfin Louis. Les parachutes s'ouvrent, mais pas celui de Maria. Louis attend, et celui de Maria s'ouvre enfin, mais il se met en torche et refuse de se déployer normalement. Louis espère que Maria ouvrira le ventral mais elle ne le fait pas. Louis pique du nez, et finit par la rattraper, mais à vitesse extrême, 60 km/h, parachute ouvert trop tard et en surcharge, et ça termine bien sur par un choc violent. Maria s'est fracturé une jambe mais Louis a des fractures aux deux jambes, un tassement des vertèbres et un traumatisme crânien. A l’hôpital, Maria s'occupe de lui, vient tous les jours avec des cadeaux, discutent et rient ensemble et ils finissent par tomber amoureux. Ils se marient à la sortie de l’hôpital. 25 ans d'amour et de bonheur plus tard, encore à l’hôpital, alors que Louis va mourir d'un cancer, sa femme est à ses côtés. Et là, elle lui avoue quelque chose qu'elle traîne depuis plus de 20 ans. Le jour où il lui a sauvé la vie, elle avait pensé à son parachute ventral mais elle a décidé tout simplement de ne pas l'ouvrir, espérant que Louis viendrait la sauver. Mais ce n'est pas tout, elle avait également saboté son propre parachute ! Afficher tout la coquine !