L'effet du témoin est un phénomène psycho-social qui démontre que plus il y a de personnes assistant à une situation d'urgence, plus les chances que l'un d'eux intervienne sont faibles. C'est à partir du viol et du meurtre d'une femme en pleine rue à New York qu'ont commencé les recherches sur ce phénomène. Lors de ce meurtre, de nombreuses personnes furent témoins de l'agression mais personne n'est intervenu malgré les cris de la victime.
Commentaires préférés (3)
Les gens n'intervienne pas car ils se disent qu'un autre le fera à la place
Ah ça s'appelle effet du témoin ?? J'aurais juré que ça s'appellait effet de lacheté pourtant...
C'est logique on attend que quelqu'un "plus apte à intervenir" intervienne, alors que quand on est seul on a pas le choix.
Il faut souvent que quelqu'un intervienne en premier pour que tout le monde suivent. Face au danger on redevient très primaire finalement...
Tous les commentaires (161)
L'horreur pour la victime...
La foule est folle.
N'empêche le violeur/euse est bien con de violer quelqu'un alors qu'il y a des personnes autour
Les gens n'intervienne pas car ils se disent qu'un autre le fera à la place
Ah ça s'appelle effet du témoin ?? J'aurais juré que ça s'appellait effet de lacheté pourtant...
Chacun pensant que quelqu'un d'autre va agir fait que personne ne bouge. Si une seule personne prenait l'initiative tout le monde suivrait. C'est comme l'effet mouton,suivre une dictat de la peur imposer
C'est logique on attend que quelqu'un "plus apte à intervenir" intervienne, alors que quand on est seul on a pas le choix.
Il faut souvent que quelqu'un intervienne en premier pour que tout le monde suivent. Face au danger on redevient très primaire finalement...
Chacun se rejette la culpabilité de l'inaction sur l'autre.
"il a qu'a le faire lui,pourquoi moi ?! "
Et au final personne ne fait rien.
Plus il y a de lâche moins il y a de chances qu'ils interviennent quoi.
C'est là qu'on voit à quel point l'homme peut se comporter en mouton.
C'est d'ailleurs pour ça qu'il vaut mieux demander de l'aide à une personne précise plutôt qu'un "au secours" général, sans ça, tout le monde s'attendra à ce qu'un autre réagisse.
Ceci dit, personne n'aurait l'idée, en situation de danger, d'appeler une personne à l'aide.
Ce qui est flippant, c'est que si je peux comprendre que, dans un premier temps, personne ne réagisse, mais qu'il est étonnant qu'au bout d'un moment, personne ne se dise "bon ça va trop loin là, si personne ne bouge, j'y vais".
Mais on ne sait jamais comment on réagira dans pareil situation.
C'était la minute psychologie de comptoir
C'est plutôt le syndrome de l'égoïsme et de sauve ma peau... La société est en décadence.
En d’autres mots, plus le nombre de personnes qui assistent à une situation exigeant un secours est important, plus les chances que l’un d’entre eux décide d’apporter son aide sont faibles. La probabilité d’aide est ainsi inversement proportionnelle au nombre de témoins présents
Il paraît que lorsque l'on se fait agresser dans une rue et que personne n'intervient, il faut désigner une personne en particulier (soit du doigt soit du regard) et crier "vous, aidez moi !"
La personne se sentirais plus concernée et il y a plus de chance qu'elle intervienne, puis les autres suivront, sûrement pour soulager leur conscience..
Conclusion : il vaut mieux se faire agresser en campagne qu'à Paris !
Il vaut mieux être seul que mal accompagné
Ca me rapelle qu'un ami m'a dit qu'il connaissait une personne qui s'était faite agréssée dans un bus presque plein parce qu'elle ne voulait pas laisser sa place. Les autres passagers étaient quant à eux trop occupés à... Regarder leurs pied, leur journal ou leur téléphone.