Brume ou brouillard : une question de distance

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Brume et brouillard désignent le même phénomène météorologique. Ils se distinguent néanmoins du fait de leur opacité : le terme brouillard est utilisé par les météorologues quand on ne peut pas voir à plus d'un kilomètre et le terme brume quand on peut voir entre 1 et 5 km.


Tous les commentaires (38)

a écrit : Le système zéro-zéro ne sert qu'à l'atterrissage. C'est un perfectionnement de l'ILS, qui permet un pilotage automatique après l'inner marker, avec arrondi et décrabage, c'est-à-dire jusqu'à ce les roues touchent le sol, et cela même en visibilité nulle.
J'en ai appris l�
39;existence en suivant les cours théoriques de pilote de ligne, et surtout par de nombreuses conversations avec des pilotes; en effet, quand je suis passager, je demande systématiquement à être reçu dans la cabine de pilotage car je m'ennuie mortellement autrement, et le plus souvent je suis accepté. Ça fait aussi une distraction pour les pilotes...
Les informations ne sont aucunement secrètes, mais il y a quand même un bond entre ce que l'on demande à un pilote privé VFR (des connaissances théoriques de base et un pilotage sans danger) et l'examen IFR (des questions nettement plus difficiles, souvent pièges, et un pilotage très précis). Cela dit, la navigation à vue, dans un petit avion d'aéroclub peu équipé est bien plus dure que la radio-navigation. Il y a encore un bond significatif pour être pilote de ligne.
C'est un principe de ne jamais se reposer sur un seul instrument, mais de toujours vérifier la cohérence entre toutes les indications; je me demande à quel pilote il n'est jamais arrivé, en basse altitude, de voir un instrument dérailler à cause d'une émission intempestive.
Telle que je l'ai écris par distraction, "l 'ILS ne sert pas beaucoup", c'est une très grosse sottise; au contraire! Je ne pensais qu'aux markers, d'où mon "ça va trop vite", qui serait absurde autrement. Mais les pilotes regardent, tout à la fin, surtout les phares et la piste.
Si, beaucoup de pilotes, en atterrissant sur une piste peu fréquentée et en VMC aiment se faire plaisir et tout reprendre à la main; ce serait impossible par exemple à Heathrow, dont l'approche est difficile.
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???

On est deux désormais à douter... òÓ

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La langue française est pleine de subtilités et de synonymies, et c'est ce qui la rend si attrayante ! Il suffit de regarder quelques chiffres pour se faire une idée de la diversité de notre langue : le Grand Larousse, c'est un peu plus de 6 500 pages, Wiktionnaire dénombre près d'un million et demi de termes (cependant la conjugaison et les accords sont comptabilisés, les noms communs ne représentant que le dixième de ce chiffre - ce qui est déjà beaucoup !). Je ne veux pas faire le chauvin, car la plupart des langues ont une richesse semblable, mais lorsque j'entends les gens parler, et en particulier les plus jeunes, j'ai les poils qui s'hérissent. Entre anglicisme, néologisme et barbarisme, comment peut-on être aussi peu attentif à son parler ! Il s'agit tout de même du premier outil social !

Un autre exemple, dans le même domaine, est la richesse lexicale avec laquelle on désigne la pluie : ondée, nuée, précipitation, bruine, crachin, averse, flotte, trombe etc. (sans parler des verbes liés à ce phénomène météorologique).

a écrit : La langue française est pleine de subtilités et de synonymies, et c'est ce qui la rend si attrayante ! Il suffit de regarder quelques chiffres pour se faire une idée de la diversité de notre langue : le Grand Larousse, c'est un peu plus de 6 500 pages, Wiktionnaire dénombre près d'un million et demi de termes (cependant la conjugaison et les accords sont comptabilisés, les noms communs ne représentant que le dixième de ce chiffre - ce qui est déjà beaucoup !). Je ne veux pas faire le chauvin, car la plupart des langues ont une richesse semblable, mais lorsque j'entends les gens parler, et en particulier les plus jeunes, j'ai les poils qui s'hérissent. Entre anglicisme, néologisme et barbarisme, comment peut-on être aussi peu attentif à son parler ! Il s'agit tout de même du premier outil social !

Un autre exemple, dans le même domaine, est la richesse lexicale avec laquelle on désigne la pluie : ondée, nuée, précipitation, bruine, crachin, averse, flotte, trombe etc. (sans parler des verbes liés à ce phénomène météorologique).
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Le français a surtout l'avantage d'être très précis. L'anglais courant contient bien plus de termes (cf. anecdote antérieure), mais chacun renvoie à un nuage de notions.
Des synonymes parfaits en français? À la rigueur "anthologie" et "florilège", d'étymologies rigoureusement parallèles, et encore les deux mots ne seront pas employés dans le même contexte.
Bien d'accord pour condamner le franglais, Tommy-boy, c'est le fait de ceux qui ne parlent correctement aucune des deux langues. Pourquoi "badge" quand on a "affiquet"?

Et quand on voit pas à 10 m on dit quoi ?
Je prends le train.

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Et le terme est dépression quand tu ne peux pas te projeter au delà d'un jour

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a écrit : Et en plus, l'anglais a non seulement "fog", mais "smog" (mot-valise, "smoke" et "fog"). Le vocabulaire météo est particulièrement riche pour désigner un mauvais temps, en Grande-Bretagne.
C'est pire pour les assurances: si aucune station voisine n'a relevé un vent d'au moins 100km/h, il n'y a pas tempête.
Je ne sais pas comment pratiques les assurances, mais le mot "tempête" à une définition internationale sur la vitesse du vent : 48 noeuds, soit 89km/h... En régions sub-tropicales c'est différent : "dépression" jusqu'à 63 km/h... "Tempête tropicale" de 63 à 117 km/h... Et "cyclone" au delà de 117 km/h ; c'est à cette vitesse de vent que se forme l'œil...
Pour les "tornades" c'est encore autre chose : 6 classements à partir de 60 km/h...

a écrit : Le système zéro-zéro ne sert qu'à l'atterrissage. C'est un perfectionnement de l'ILS, qui permet un pilotage automatique après l'inner marker, avec arrondi et décrabage, c'est-à-dire jusqu'à ce les roues touchent le sol, et cela même en visibilité nulle.
J'en ai appris l�
39;existence en suivant les cours théoriques de pilote de ligne, et surtout par de nombreuses conversations avec des pilotes; en effet, quand je suis passager, je demande systématiquement à être reçu dans la cabine de pilotage car je m'ennuie mortellement autrement, et le plus souvent je suis accepté. Ça fait aussi une distraction pour les pilotes...
Les informations ne sont aucunement secrètes, mais il y a quand même un bond entre ce que l'on demande à un pilote privé VFR (des connaissances théoriques de base et un pilotage sans danger) et l'examen IFR (des questions nettement plus difficiles, souvent pièges, et un pilotage très précis). Cela dit, la navigation à vue, dans un petit avion d'aéroclub peu équipé est bien plus dure que la radio-navigation. Il y a encore un bond significatif pour être pilote de ligne.
C'est un principe de ne jamais se reposer sur un seul instrument, mais de toujours vérifier la cohérence entre toutes les indications; je me demande à quel pilote il n'est jamais arrivé, en basse altitude, de voir un instrument dérailler à cause d'une émission intempestive.
Telle que je l'ai écris par distraction, "l 'ILS ne sert pas beaucoup", c'est une très grosse sottise; au contraire! Je ne pensais qu'aux markers, d'où mon "ça va trop vite", qui serait absurde autrement. Mais les pilotes regardent, tout à la fin, surtout les phares et la piste.
Si, beaucoup de pilotes, en atterrissant sur une piste peu fréquentée et en VMC aiment se faire plaisir et tout reprendre à la main; ce serait impossible par exemple à Heathrow, dont l'approche est difficile.
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Du coup le doute m habite. Qui d alheal ou de returning a raison ? Ce o-o, c'est pour les avions de ligne, c'est bien ça ? Je souhaiterais des références, de mon côté je vais demander à une pote qui taffe comme hôtesse au sol si elle peut me trouver des infos.

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a écrit : Je ne sais pas comment pratiques les assurances, mais le mot "tempête" à une définition internationale sur la vitesse du vent : 48 noeuds, soit 89km/h... En régions sub-tropicales c'est différent : "dépression" jusqu'à 63 km/h... "Tempête tropicale" de 63 à 117 km/h... Et "cyclone" au delà de 117 km/h ; c'est à cette vitesse de vent que se forme l'œil...
Pour les "tornades" c'est encore autre chose : 6 classements à partir de 60 km/h...
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J'imagine que les valeurs que vous donnez correspondent à l'échelle de Beaufort ?

a écrit : Du coup le doute m habite. Qui d alheal ou de returning a raison ? Ce o-o, c'est pour les avions de ligne, c'est bien ça ? Je souhaiterais des références, de mon côté je vais demander à une pote qui taffe comme hôtesse au sol si elle peut me trouver des infos. C'est moi, forcément. Démonstration:
1- alheal n'en n'a jamais entendu parler; il n'est donc pas témoin, et cela ne prouve pas que ça n'existe pas.
2- returning dit qu'il en a entendu parler (sans l'avoir jamais vu en fonctionnement, il est vrai); donc il est témoin, et cela prouve que ça existe.
C.Q.F.D.
;-D

a écrit : Du coup le doute m habite. Qui d alheal ou de returning a raison ? Ce o-o, c'est pour les avions de ligne, c'est bien ça ? Je souhaiterais des références, de mon côté je vais demander à une pote qui taffe comme hôtesse au sol si elle peut me trouver des infos. En fait, soit les deux, soit aucun...

Pas de système 0-0, le système c'est l'ILS.
Instrument Landing System.

Ensuite, il existe plusieur catégorie dont la plus élevée permet, si l'avion est équipé et l'équipage qualifié, d'atterrir avec visibilité nulle.

Donc, pour le zéro-zéro, et pour ne pas remettre en cause la crédibilité des deux intervenant, je pencherai pour un jargon de pilote (genre barre Mansfield, ou barre anti encastrement sur les camions... à chacun son vocabulaire ;) )

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a écrit : Je ne sais pas comment pratiques les assurances, mais le mot "tempête" à une définition internationale sur la vitesse du vent : 48 noeuds, soit 89km/h... En régions sub-tropicales c'est différent : "dépression" jusqu'à 63 km/h... "Tempête tropicale" de 63 à 117 km/h... Et "cyclone" au delà de 117 km/h ; c'est à cette vitesse de vent que se forme l'œil...
Pour les "tornades" c'est encore autre chose : 6 classements à partir de 60 km/h...
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C'est bien 100km/h pour les assurances françaises (ou certaines?):
www.gema.fr/assurance/la-garantie-tempete.html
Encore faut-il le prouver, donc se référer à la station météo la plus proche, ce qui fait le jeu des assurances, car une rafale locale peut excéder la vitesse moyenne. Et puis, si votre voiture est écrasée par un arbre sain, la chute dépend bien plus de la surface des feuilles que de la vitesse du vent. Le bon sens devrait dire "chute imprévisible, imparable, provoquée par un vent de force inhabituelle".

La classification m'étonne, car tempête, ouragan, tornade, cyclone sont des phénomènes intrinsèquement différents, qui ne sont pas caractérisés par la vitesse du vent. Par exemple, il y a beaucoup de tornades très faibles qui ne font aucun dégât.

a écrit : En bourgogne. C est tous les matins de novembre a fevrier... Et 1km ccest bien. Car le matin c est 100 mètre maxi Tout à fais d'accord et le creusot dans le 71 c'est l'apothéose

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a écrit : Je ne sais pas comment pratiques les assurances, mais le mot "tempête" à une définition internationale sur la vitesse du vent : 48 noeuds, soit 89km/h... En régions sub-tropicales c'est différent : "dépression" jusqu'à 63 km/h... "Tempête tropicale" de 63 à 117 km/h... Et "cyclone" au delà de 117 km/h ; c'est à cette vitesse de vent que se forme l'œil...
Pour les "tornades" c'est encore autre chose : 6 classements à partir de 60 km/h...
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Merci pour ces precisions qui m'etaient inconnues. jmcmb

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a écrit : Le français a surtout l'avantage d'être très précis. L'anglais courant contient bien plus de termes (cf. anecdote antérieure), mais chacun renvoie à un nuage de notions.
Des synonymes parfaits en français? À la rigueur "anthologie" et "florilège", d'étymologies rigoureuseme
nt parallèles, et encore les deux mots ne seront pas employés dans le même contexte.
Bien d'accord pour condamner le franglais, Tommy-boy, c'est le fait de ceux qui ne parlent correctement aucune des deux langues. Pourquoi "badge" quand on a "affiquet"?
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Le plus terrible étant cette classe de mots anglais (qui, paradoxalement, n'existe parfois pas dans la langue de Shakespeare) qui ont pénétré notre langue jusqu'à phagocyter des termes bien "gaulois". Vous citez badge, j'ajoute quelques mots (plus connus) comme "weekend", "parking", "chewing-gum", "meeting" ou "leadership". On entend trop rarement des phrases comme : "En cette fin de semaine, l'hégémonie de la célèbre marque de pâte à mâcher s'est encore fait sentir avec un grand rassemblement populaire sur le parc à véhicules de la grande place."

En écrivant ces lignes, je repense à un article paru sur Slate (que voici : www.slate.fr/story/69533/francais-anglais-angliscismes-franglais) qui mérite d'être lu.

a écrit : Le système zéro-zéro ne sert qu'à l'atterrissage. C'est un perfectionnement de l'ILS, qui permet un pilotage automatique après l'inner marker, avec arrondi et décrabage, c'est-à-dire jusqu'à ce les roues touchent le sol, et cela même en visibilité nulle.
J'en ai appris l�
39;existence en suivant les cours théoriques de pilote de ligne, et surtout par de nombreuses conversations avec des pilotes; en effet, quand je suis passager, je demande systématiquement à être reçu dans la cabine de pilotage car je m'ennuie mortellement autrement, et le plus souvent je suis accepté. Ça fait aussi une distraction pour les pilotes...
Les informations ne sont aucunement secrètes, mais il y a quand même un bond entre ce que l'on demande à un pilote privé VFR (des connaissances théoriques de base et un pilotage sans danger) et l'examen IFR (des questions nettement plus difficiles, souvent pièges, et un pilotage très précis). Cela dit, la navigation à vue, dans un petit avion d'aéroclub peu équipé est bien plus dure que la radio-navigation. Il y a encore un bond significatif pour être pilote de ligne.
C'est un principe de ne jamais se reposer sur un seul instrument, mais de toujours vérifier la cohérence entre toutes les indications; je me demande à quel pilote il n'est jamais arrivé, en basse altitude, de voir un instrument dérailler à cause d'une émission intempestive.
Telle que je l'ai écris par distraction, "l 'ILS ne sert pas beaucoup", c'est une très grosse sottise; au contraire! Je ne pensais qu'aux markers, d'où mon "ça va trop vite", qui serait absurde autrement. Mais les pilotes regardent, tout à la fin, surtout les phares et la piste.
Si, beaucoup de pilotes, en atterrissant sur une piste peu fréquentée et en VMC aiment se faire plaisir et tout reprendre à la main; ce serait impossible par exemple à Heathrow, dont l'approche est difficile.
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Forcément on ne demande pas les mêmes connaissances théoriques à un pilote ayant son BB qu'à un piltoe de ligne, jamais je n'ai remis cela en cause, je disais juste par là que ce n'est pas pour autant que les connaissances pointues destinées aux pilotes de ligne ne sont pas cachées pour autant au collégien qui passe son BIA, elles sont réputées accessibles pour peu qu'on se donne la peine (ce que j'ai la prétention de faire).

Quoiqu'il en soit, merci pour toutes ces précisions très intéressantes, et bienvenue sur ce site, ca fait plaisir de voir un nouvel intervenant de qualité dans les dernières anecdotes, ca change des first et autres blagues foireuses en top commentaire ;)

a écrit : Forcément on ne demande pas les mêmes connaissances théoriques à un pilote ayant son BB qu'à un piltoe de ligne, jamais je n'ai remis cela en cause, je disais juste par là que ce n'est pas pour autant que les connaissances pointues destinées aux pilotes de ligne ne sont pas cachées pour autant au collégien qui passe son BIA, elles sont réputées accessibles pour peu qu'on se donne la peine (ce que j'ai la prétention de faire).

Quoiqu'il en soit, merci pour toutes ces précisions très intéressantes, et bienvenue sur ce site, ca fait plaisir de voir un nouvel intervenant de qualité dans les dernières anecdotes, ca change des first et autres blagues foireuses en top commentaire ;)
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Ma pote qu est hôtesse au sol me dit que ça s appelle catégorie 3c, que le aéroport de Buenos aires n en est pas équipé car il est en catégorie 3b, qu il faut une automobile pour guider l avion (j ai pas tout pigé non plus). Bien!

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a écrit : Ma pote qu est hôtesse au sol me dit que ça s appelle catégorie 3c, que le aéroport de Buenos aires n en est pas équipé car il est en catégorie 3b, qu il faut une automobile pour guider l avion (j ai pas tout pigé non plus). Bien! Tu mélanges quelques trucs là ^^

Ce qu'on appelle cat 3C est en gros une catégorie d'ILS (système d'aide à l'atterrissage couplé au pilote automatique) la plus développée qui soit, qui permet théoriquement de se poser avec zéro visibilité sachant que le pilote auto pourra tout gérer, de l'approche au freinage sur la piste en passant par l'arrondi (contrairement à ce que j'avais dit dans un précédent commentaire) et le maintien dans l'axe.
Les autres catégories (IIIb, IIIa, II, I) sont distinguées par un couple hauteur de décision (hauteur à laquelle on choisit si l'on continue l'atterrissage -à condition de voir la piste- ou si on l'annule) et visibilité horizontale minimale.

La voiture (qu'on appelle aussi une "follow me") n'a rien à voir avec l'installation ILS, c'est une méthode simple de guider un avion au roulage quand il ne connait pas l'aéroport ou que les conditions météo le nécessitent.

Dailleurs que ce soit brume, brouillard, nuages, etc...ce sont tous des hydrométéores

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