Le nombre de Dunbar est le nombre maximum d'individus avec lesquels il est possible simultanément d'avoir une relation stable. Ce nombre, lié au fonctionnement de notre cerveau, et notamment du néocortex, est estimé à 150 personnes en moyenne. Il a été défini en 1992 par l'anthropologue Robin Dunbar et des études réalisées depuis l'avènement des réseaux sociaux l'a confirmé.
Commentaires préférés (3)
- se rappeller du prénom
- se rappeller du comportement de l'autre interlocuteur, enclencher la discussion avec des événements qu'il t'a raconte.
- se rappeller des noms de certaines personnes de sa famille, son humour, son ton, son humeur...
Pour moi, ce nombre me paraît pas dénudé de sens.
Le néocortex est justement le moins responsable, cela se passe au niveau interne du cerveau et par le jeu d'hormones.
Source: mes cours de psychiatrie et de neurosience.
2 - Je ne crois pas que toi ou la personne qui a rédigés ta source aient bien compris la signification du nombre de Dunbar. Il s'agit du nombre d'individu avec qui il est possible d'entretenir des relations stables dans le cadre d'une société. Pour simplifier c'est la taille maximum d'une société pour laquelle il est possible de vivre sans gouvernement ou règles écrites, avec un fonctionnement tacite si tu préfères. Ca n'a absolument rien avoir avec le nombre de bon copains que tu as, tu peux avoir une relation stable avec une personne que tu détestes.
3 - Le fait que ta source parle de relation faible enrichissante est intéressant mais n'a rien à voir et ne s'oppose en rien au nombre de Dunbar. L'auteur de cette source à juste voulu faire du putaclick en se posant à tort en grand penseur qui démonte une théorie.
Tous les commentaires (41)
Cela n'a aucun sens. Les termes "relation stable" et "amitié" ne sont pas définis, donc on peut dire n'importe quoi à leur sujet.
Voir par ex. thefutureorganization.com/why-dunbars-number-is-irrelevant/
Des personnes aussi différentes que l'abbé Pierre et Coluche avaient combien de relations stables?
Je dois avoir l'esprit relativement mal placé, j'ai osé penser à une relation disons... plus coquine , et c'est en arrivant à 150 que je me suis dit que c'était extremement obsène...
- se rappeller du prénom
- se rappeller du comportement de l'autre interlocuteur, enclencher la discussion avec des événements qu'il t'a raconte.
- se rappeller des noms de certaines personnes de sa famille, son humour, son ton, son humeur...
Pour moi, ce nombre me paraît pas dénudé de sens.
Le néocortex est justement le moins responsable, cela se passe au niveau interne du cerveau et par le jeu d'hormones.
Source: mes cours de psychiatrie et de neurosience.
2 - Je ne crois pas que toi ou la personne qui a rédigés ta source aient bien compris la signification du nombre de Dunbar. Il s'agit du nombre d'individu avec qui il est possible d'entretenir des relations stables dans le cadre d'une société. Pour simplifier c'est la taille maximum d'une société pour laquelle il est possible de vivre sans gouvernement ou règles écrites, avec un fonctionnement tacite si tu préfères. Ca n'a absolument rien avoir avec le nombre de bon copains que tu as, tu peux avoir une relation stable avec une personne que tu détestes.
3 - Le fait que ta source parle de relation faible enrichissante est intéressant mais n'a rien à voir et ne s'oppose en rien au nombre de Dunbar. L'auteur de cette source à juste voulu faire du putaclick en se posant à tort en grand penseur qui démonte une théorie.
Des curés en blouse blanche. Encore plus arrogants que les anciens ...
Quelqu'un qui n'a pas eu au moins 1000 partenaires sexuels différents dans toute sa vie (c'est un minimum), peut-on encore appeler çà une vie ?
Nota: la "profession" de psychanalyste n'est pas reconnue; n'importe qui peut mettre ça sur sa carte de visite aussi bien que "voyante extra-lucide".
Se confesser à Monsieur le Curé pouvait aussi être une cure psychologique qui accordait l'absolution, donc soulageait la conscience.
Les prostituées qui en ont eu encore bien plus sont-elles satisfaites (sauf du paiement de la passe)?
Ce serait bien qu’il y ait une petite parenthèse dans l’anecdote qui explique ce que c’est qu’est une « relation stable ». De la personne croisée régulièrement au travail sans plus d’affinités à l’âme sœur en passant par les personnes avec qui on entretiendrait des relations sexuelles stables,, il y a une sacrée amplitude dans ce qu’on peut appeler relation stable. Ce serait bien de donner des critères précis.
Que deux personnes qui se désirent mutuellement veuillent se faire plaisir, quel inconvénient?
À moins de trahir un(e) autre. Ou d'être en chasse de conquêtes passagères ou mensongères.
Au passage, j'ai bien ri du lapsus (enfin, je suppose), de Gguigui1, qui a écrit "dénudé" pour "denué".
PS : Bravo car 300 personnes, je trouve ça énorme.
Voilà pourquoi certaines personnes s'insultent dans les stades
En fait, il est très interessant de voir comment le nombre a été extrapolé.
A la base, il vient d'étude sur des grands singes, l'idée était de dire qu'un néocortex plus gros permettait d'avoir plus de relations, et c'est effectivement la tendance (du a des observation empiriques) qui a été trouvé. Un plus gros néocortex = plus de relation. Mais plus surprenant, cette relation semblait linéaire : un neocortex deux fois plus gros permettait d'avoir 2 fois plus de relation. L'étude a donc extrapolé le nombre de relation en fonction de la taille du néocortex humain, et est tombé sur 150.
Au passage, c'est aussi un nombre qui se justifie bien d'un point de vue évolutionniste, il représente probablement les tailles maximales des groupes écologiques dans lesquels nous avons pu évoluer jadis.
Mais à la base, le chiffre n'est qu'une extrapolation.