Sur l’ensemble de son cycle de vie, la consommation énergétique d’un véhicule électrique est globalement proche de celle d’un véhicule diesel. Il faut en effet 2 fois plus d'énergie pour construire une voiture électrique qu'une voiture thermique, notamment à cause des batteries extrêmement énergivores.

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Je tiens a ajouté une anecdote : j'ai travaillé dans une boite qui a eu un contrat sympatoche avec le RER de paris.
Etude en mécanique des fluides, de l'air lorsque le rer arrive en gare.
Lorsque celui-ci freine, jusqu'à dans les années 90(pas sûr) les plaquettes étaient en amiante, le rer les consomme et produit des microparticules. L'arrivé en gare, comme un effet piston, creer un courant d air qui entraîne les depos des anciens train.
Le nettoyage etant impossible ou chère je ne sais pas, une étude a été faite, c'est déjà ça.
Pareil pour les plaquettes de freins de voiture qui ont longtemps contenu de l'amiante (contenu seulement, ce n'était pas entièrement en amiante, de même que pour le RER).
C'est faux !
Ton argumentation si bien construite et développé vient de tous nous convaincre. Bravo
on ne l'oublie pas mais alors les voitures utilisant de l'énergie focile doivent être bien mieux selon vous?
et les pièces et batteries de ces voitures "normales", ou sont elles produites et par qui?
ce n'est peut etre pas la solution géniale mais c'est beaucoup mieux.
Un véhicule électrique n'use pratiquement pas ses freins. La très grosse majorité (99 %) des freinages et ralentissements étant assurée par le système régénératif constitué par le système propulsif qui, en s'opposant à la rotation des roues, convertit l'énergie de freinage en courant de recharge de la batterie, ceci jusqu'à l'arrêt complet du véhicule. Il n'y a donc pas ou pratiquement pas d'usure ni des plaquettes, ni des garnitures, et encore moins des disques ou des tambours. Une condition pour cela, ne pas charger la batterie à plus de de 98 %. Au delà, il ne sera pas possible de fournir de l'énergie à la batterie, ou en quantité homéopathique pour cause de manque de place et de temps. Le système régénératif ne peut pas non plus faire face seul à un freinage d'urgence. Sur une ZOÉ, par exemple, au-delà de 43 kW (60 cv) le système de freinage classique vient épaulé le régénératif. On peut supposer que plus l'ensemble propulsif électrique est puissant, plus le freinage régénératif l'est également.
merci pour cette explication instructif et surtout pour cette réponse à quelqu'un qui n'y connait rien et qui fabrique son opinion sur des idées reçues et sans fondement.
Il ne risquera pas de vous répondre vu qu’il a changé de compte ;)