Les avions de ligne actuels vont moins vite que par le passé

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Les avions de ligne actuels pourraient aller plus vite. Mais à cause de la consommation de kérosène (35% des dépenses des compagnies) qui augmente avec la vitesse pour une même distance parcourue (l'intensité des frottements augmente au carré avec la vitesse), les compagnies préfèrent ralentir leurs avions.

Il s'agit alors de trouver un équilibre de durée de voyage, entre le carburant dépensé, les heures de travail des employés (30% des dépenses) et l'usure liée à l'avion pendant les vols plus longs.
Ainsi, la compagnie JetBlue a estimé avoir effectué une économie d'échelle de 13,6 millions de dollars en rallongeant la durée de chacun de ses vols de 2 minutes.


Commentaires préférés (3)

Intéressant de constater qu'aucun argument écologique ne semble apparaître. Ce sont bien des considérations économiques.

Détail, mais selon la deuxième source, c'est Associated press qui a estimé le chiffre de 13.6, pas JetBlue elle meme. Mais peu importe.

Par contre je vois pas trop ce que ce chiffre apporte : la source ne dit pas en combien de temps, ni en combien de vols.

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a écrit : Intéressant de constater qu'aucun argument écologique ne semble apparaître. Ce sont bien des considérations économiques.

Détail, mais selon la deuxième source, c'est Associated press qui a estimé le chiffre de 13.6, pas JetBlue elle meme. Mais peu importe.

Par contre je vois pas tro
p ce que ce chiffre apporte : la source ne dit pas en combien de temps, ni en combien de vols. Afficher tout
L'écologie (pour les entreprises) passent toujours en second plan. Et quand c'est pas le cas c'est que l'écologie EST le business de l'entreprise.
Et quand les entreprises prendront réellement le problème en considération c'est que les problèmes environnementaux leurs couteront trop d'argent.

a écrit : Intéressant de constater qu'aucun argument écologique ne semble apparaître. Ce sont bien des considérations économiques.

Détail, mais selon la deuxième source, c'est Associated press qui a estimé le chiffre de 13.6, pas JetBlue elle meme. Mais peu importe.

Par contre je vois pas tro
p ce que ce chiffre apporte : la source ne dit pas en combien de temps, ni en combien de vols. Afficher tout
En réalité, l'économie a toujours été fortement liée à l'écologie. Je parle ici d'économie au sens de:
- réduire les coûts
- réduire les déchets dans la production (et donc les pertes et leur traitement financier)
- réduire le gaspillage d'énergie.

Cela a toujours été ainsi, ce qui a changé c'est notre regard sur ces pratiques:
Avant une famille qui fabriquait sa lessive elle-même, qui filtrait son eau pour ne pas acheter de l'eau de source en bouteille, qui réparer au lieu de jeter, qui surveillait sa consommation d'eau et d'électricité... On appelait ça une famille de radins, aujourd'hui ils sont devenus "éco-responsables" !


Tous les commentaires (45)

Intéressant de constater qu'aucun argument écologique ne semble apparaître. Ce sont bien des considérations économiques.

Détail, mais selon la deuxième source, c'est Associated press qui a estimé le chiffre de 13.6, pas JetBlue elle meme. Mais peu importe.

Par contre je vois pas trop ce que ce chiffre apporte : la source ne dit pas en combien de temps, ni en combien de vols.

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a écrit : Intéressant de constater qu'aucun argument écologique ne semble apparaître. Ce sont bien des considérations économiques.

Détail, mais selon la deuxième source, c'est Associated press qui a estimé le chiffre de 13.6, pas JetBlue elle meme. Mais peu importe.

Par contre je vois pas tro
p ce que ce chiffre apporte : la source ne dit pas en combien de temps, ni en combien de vols. Afficher tout
L'écologie (pour les entreprises) passent toujours en second plan. Et quand c'est pas le cas c'est que l'écologie EST le business de l'entreprise.
Et quand les entreprises prendront réellement le problème en considération c'est que les problèmes environnementaux leurs couteront trop d'argent.

a écrit : L'écologie (pour les entreprises) passent toujours en second plan. Et quand c'est pas le cas c'est que l'écologie EST le business de l'entreprise.
Et quand les entreprises prendront réellement le problème en considération c'est que les problèmes environnementaux leurs couteront trop d'argent.
>Et quand les entreprises prendront réellement le problème en considération c'est que les problèmes environnementaux leurs couteront trop d'argent.

Et qu'il sera bien trop tard (pour réduire ces coûts).

Au moins s'ils ont un accident, ils l'auront moins vite

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a écrit : Intéressant de constater qu'aucun argument écologique ne semble apparaître. Ce sont bien des considérations économiques.

Détail, mais selon la deuxième source, c'est Associated press qui a estimé le chiffre de 13.6, pas JetBlue elle meme. Mais peu importe.

Par contre je vois pas tro
p ce que ce chiffre apporte : la source ne dit pas en combien de temps, ni en combien de vols. Afficher tout
En réalité, l'économie a toujours été fortement liée à l'écologie. Je parle ici d'économie au sens de:
- réduire les coûts
- réduire les déchets dans la production (et donc les pertes et leur traitement financier)
- réduire le gaspillage d'énergie.

Cela a toujours été ainsi, ce qui a changé c'est notre regard sur ces pratiques:
Avant une famille qui fabriquait sa lessive elle-même, qui filtrait son eau pour ne pas acheter de l'eau de source en bouteille, qui réparer au lieu de jeter, qui surveillait sa consommation d'eau et d'électricité... On appelait ça une famille de radins, aujourd'hui ils sont devenus "éco-responsables" !

Le fait de ne pas voler habituellement à la vitesse maximum de l'avion permet aussi de voler plus vite pour rattraper un peu le retard, s'il y a eu plus de 3 h de retard au départ, afin d'arriver avec moins de 3 h de retard et ne pas avoir à payer des pénalités de retard à tous les passagers. Comme pour le coût du carburant, c'est une considération économique qui prime : la compagnie cherche le meilleur compromis, celui qui lui coûtera le moins cher, entre le coût du carburant et le coût des pénalités, donc, comme par hasard, l'avion arrive avec 2h50 ou 2h55 de retard, quel que soit le retard au départ, mais il ne va pas voler encore plus vite pour chercher à rattraper davantage son retard afin de ne pas consommer inutilement du carburant !

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Voilà une explication intéressante.
Sur un vol depuis l'Afrique du Sud, parti avec plus d'une heure de retard, je suis arrivé à l'heure prévue.
Je m'étais toujours demandé par où le pilote était passé :-)

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a écrit : Voilà une explication intéressante.
Sur un vol depuis l'Afrique du Sud, parti avec plus d'une heure de retard, je suis arrivé à l'heure prévue.
Je m'étais toujours demandé par où le pilote était passé :-)
Si c'était un très long trajet et que l'avion était dans le sens du vent, ça suffit.

Je vois que beaucoup de commentaire sont en rapport avec l'environnement, comme quoi les avions ils sont méchants pas beaux.
Juste pour apporter quelques faits :
-Les rejets de gaz à effet de serre par passager par kilomètre de l'avion sont inférieur à ceux de la voiture (on parle de gCO2/passager/Km). Cela englobe toute la durée de vie, fabrication, recyclage etc. et c'est notamment dû au fait que le taux de remplissage des voitures est très faible. Donc à chaque fois que vous prenez la voiture seul, vous polluez plus que si vous preniez l'avion. Sachant que plus la distance augmente, mieux l'avion est.
-Le poids global de l'aviation dans le réchauffement climatique n'est que d'environ 2%. C'est inférieur à celui de la mode par exemple.

a écrit : Je vois que beaucoup de commentaire sont en rapport avec l'environnement, comme quoi les avions ils sont méchants pas beaux.
Juste pour apporter quelques faits :
-Les rejets de gaz à effet de serre par passager par kilomètre de l'avion sont inférieur à ceux de la voiture (on parle de gCO2/passag
er/Km). Cela englobe toute la durée de vie, fabrication, recyclage etc. et c'est notamment dû au fait que le taux de remplissage des voitures est très faible. Donc à chaque fois que vous prenez la voiture seul, vous polluez plus que si vous preniez l'avion. Sachant que plus la distance augmente, mieux l'avion est.
-Le poids global de l'aviation dans le réchauffement climatique n'est que d'environ 2%. C'est inférieur à celui de la mode par exemple.
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C'est pas parce qu'il y a pire que c'est bien.
D'ailleurs la bagnole c'est aussi un "méchant pas beaux" comme tu dis et la mode c'est de la mer**
Maintenant à chaque fois que l'on critique quelque chose on a droit à l’éternelle rengaine du y'a pire.
Dans quelques commentaires on devrait voir apparaitre "bobo/écolo" avec bien sûr une connotation négative.
La critique principale c'était juste que l'écologie les entreprises s'en foutent t'en que ça rapporte pas d'argent.

a écrit : Je vois que beaucoup de commentaire sont en rapport avec l'environnement, comme quoi les avions ils sont méchants pas beaux.
Juste pour apporter quelques faits :
-Les rejets de gaz à effet de serre par passager par kilomètre de l'avion sont inférieur à ceux de la voiture (on parle de gCO2/passag
er/Km). Cela englobe toute la durée de vie, fabrication, recyclage etc. et c'est notamment dû au fait que le taux de remplissage des voitures est très faible. Donc à chaque fois que vous prenez la voiture seul, vous polluez plus que si vous preniez l'avion. Sachant que plus la distance augmente, mieux l'avion est.
-Le poids global de l'aviation dans le réchauffement climatique n'est que d'environ 2%. C'est inférieur à celui de la mode par exemple.
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A mon sens, c'est une erreur logique de mettre l'avion en concurrence avec la voiture, le vélo ou tout autre moyen de transport.

Sur une distance Paris Dubaï par exemple, peut être que la pollution par passager d'un avion est moindre que celle d'une voiture. Peut être, je sais pas. (Par curiosité, tu aurais une source pour ça ?)

Mais ce qui est sûr, c'est que si l'avion n'était pas la, personne n'irait a Dubaï en voiture pour remplacer.

Donc il faut comparer la pollution créée par "aller là bas en avion" à celle créée par "ne pas aller la bas".

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a écrit : L'écologie (pour les entreprises) passent toujours en second plan. Et quand c'est pas le cas c'est que l'écologie EST le business de l'entreprise.
Et quand les entreprises prendront réellement le problème en considération c'est que les problèmes environnementaux leurs couteront trop d'argent.
Et oui, c'est tout le problème d'avoir des entreprises complétement séparés de la politique : tout ce qui compte, ce sont les bénéfices.
Peu importe les conditions de travail, la pollution ou tout autre considération : tant qu'on fait du fric, on continue.
Et le profit, c'est une conséquence du système capitaliste, alors à moins d'un gros bouleversement c'est pas près de changer...

a écrit : Intéressant de constater qu'aucun argument écologique ne semble apparaître. Ce sont bien des considérations économiques.

Détail, mais selon la deuxième source, c'est Associated press qui a estimé le chiffre de 13.6, pas JetBlue elle meme. Mais peu importe.

Par contre je vois pas tro
p ce que ce chiffre apporte : la source ne dit pas en combien de temps, ni en combien de vols. Afficher tout
On ne peut pas concevoir d'une entreprise dont le but est de réaliser du profit de s'impliquer dans de l'écologie sans contrepartie économique.
La solution serait de trouver des moyens qui rendraient rentables des mesures écologiques (outre le simple coup de comm')

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a écrit : A mon sens, c'est une erreur logique de mettre l'avion en concurrence avec la voiture, le vélo ou tout autre moyen de transport.

Sur une distance Paris Dubaï par exemple, peut être que la pollution par passager d'un avion est moindre que celle d'une voiture. Peut être, je sais pas. (Pa
r curiosité, tu aurais une source pour ça ?)

Mais ce qui est sûr, c'est que si l'avion n'était pas la, personne n'irait a Dubaï en voiture pour remplacer.

Donc il faut comparer la pollution créée par "aller là bas en avion" à celle créée par "ne pas aller la bas".
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Raisonnement très intéressant.

a écrit : Je vois que beaucoup de commentaire sont en rapport avec l'environnement, comme quoi les avions ils sont méchants pas beaux.
Juste pour apporter quelques faits :
-Les rejets de gaz à effet de serre par passager par kilomètre de l'avion sont inférieur à ceux de la voiture (on parle de gCO2/passag
er/Km). Cela englobe toute la durée de vie, fabrication, recyclage etc. et c'est notamment dû au fait que le taux de remplissage des voitures est très faible. Donc à chaque fois que vous prenez la voiture seul, vous polluez plus que si vous preniez l'avion. Sachant que plus la distance augmente, mieux l'avion est.
-Le poids global de l'aviation dans le réchauffement climatique n'est que d'environ 2%. C'est inférieur à celui de la mode par exemple.
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Je pense que tes stats sont un peu anciennes, aujourd'hui, le transport aérien (fret+pax) consomme 14% (quatorze pour cent) des énergies fossiles, et l'avion le plus économe, quand il est plein, produit, au mieux 202 g de CO2 par km passager (capacité entre 180 et 250 passagers - distance entre 7 et 8000 km) au pire, c'est 1200 g (<50 pax, 2-3000 km)
Ma voiture qui a 10 ans en produit 136, pour cinq places, au moins trois d'occupées en permanence (même pour aller chercher le pain, il y a des pots de colle...)

a écrit : Je pense que tes stats sont un peu anciennes, aujourd'hui, le transport aérien (fret+pax) consomme 14% (quatorze pour cent) des énergies fossiles, et l'avion le plus économe, quand il est plein, produit, au mieux 202 g de CO2 par km passager (capacité entre 180 et 250 passagers - distance entre 7 et 8000 km) au pire, c'est 1200 g (<50 pax, 2-3000 km)
Ma voiture qui a 10 ans en produit 136, pour cinq places, au moins trois d'occupées en permanence (même pour aller chercher le pain, il y a des pots de colle...)
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J'espère que tu es quand même conscient que le fait que plusieurs places dans la voiture sont occupées pour aller chercher le pain n'améliore pas le bilan-carbone de l'opération "aller chercher le pain"... Sauf si c'est en même temps une promenade auquel cas, on peut en effet diviser le CO2 par le nombre de passagers. Je crois que c'est en Indonésie que j'avais vu et on m'avait expliqué le système des gamins qui attendaient au bord de la route qu'on les prenne en voiture, non pas parce qu'ils faisaient du stop pour aller quelque part mais parce qu'ils se faisaient payer pour occuper une place dans la voiture car les voitures n'avaient pas le droit de rouler avec moins de 3 passagers aux heures de pointe et les policiers contrôlaient sévèrement le respect de cette réglementation. Cette réglementation avait été mise en place pour lutter contre la pollution mais les gens ont rapidement trouvé le moyen de la détourner. L'avantage c'est que ça permettait aux enfants de ramener de l'argent à la maison. L'inconvénient c'est que pendant qu'ils faisaient ça, ils n'allaient pas à l'école. Tu fais pareil avec ton trajet pour aller chercher du pain si tu penses que c'est mieux pour le bilan-carbone quand il y a davantage de places occupées dans la voiture.

a écrit : J'espère que tu es quand même conscient que le fait que plusieurs places dans la voiture sont occupées pour aller chercher le pain n'améliore pas le bilan-carbone de l'opération "aller chercher le pain"... Sauf si c'est en même temps une promenade auquel cas, on peut en effet diviser le CO2 par le nombre de passagers. Je crois que c'est en Indonésie que j'avais vu et on m'avait expliqué le système des gamins qui attendaient au bord de la route qu'on les prenne en voiture, non pas parce qu'ils faisaient du stop pour aller quelque part mais parce qu'ils se faisaient payer pour occuper une place dans la voiture car les voitures n'avaient pas le droit de rouler avec moins de 3 passagers aux heures de pointe et les policiers contrôlaient sévèrement le respect de cette réglementation. Cette réglementation avait été mise en place pour lutter contre la pollution mais les gens ont rapidement trouvé le moyen de la détourner. L'avantage c'est que ça permettait aux enfants de ramener de l'argent à la maison. L'inconvénient c'est que pendant qu'ils faisaient ça, ils n'allaient pas à l'école. Tu fais pareil avec ton trajet pour aller chercher du pain si tu penses que c'est mieux pour le bilan-carbone quand il y a davantage de places occupées dans la voiture. Afficher tout C'est à Mexico city.

J'ai eu le même raisonnement que toi s'agissant du pain. Si Latour a besoin d'être assisté par 2 personnes pour aller chercher le pain, l'urgence n'est pas climatique mais médicale.
Or Latour me semble tout à fait sain d'esprit. Déduction, ses assistants en boulangerie ne sont autres que ses enfants qu'il ne peut laisser seul à la maison.
Élémentaire...

a écrit : C'est à Mexico city.

J'ai eu le même raisonnement que toi s'agissant du pain. Si Latour a besoin d'être assisté par 2 personnes pour aller chercher le pain, l'urgence n'est pas climatique mais médicale.
Or Latour me semble tout à fait sain d'esprit. Déduction, ses a
ssistants en boulangerie ne sont autres que ses enfants qu'il ne peut laisser seul à la maison.
Élémentaire...
Afficher tout
C'est peut-être aussi le cas à Mexico (la restriction de circulation en fonction du nombre de passagers à bord), mais je n'y suis jamais allé alors ça existe (ou existait) aussi ailleurs, là où je l'ai découvert, et c'était donc probablement en Indonésie car ça colle à peu près à mes souvenirs de voyage. Il y avait aussi des voies réservées "car pooling" (et elles existent peut-être toujours) permettant d'éviter les bouchons, je crois, aux USA pour favoriser le co-voiturage, mais je ne crois pas qu'ils allaient jusqu'à payer des petits figurants pour pouvoir les emprunter. Quant à Latour, j'ai bien compris que ce sont ses enfants qui l'accompagnent mais la question est : est-ce qu'aller chercher le pain fait aussi office de promenade ? Auquel cas la production de carbone peut effectivement être divisée par le nombre de passagers, sinon il se fourre le doigt dans l'oeil en pensant que c'est plus acceptable d'aller chercher le pain en voiture quand il y a davantage de passagers à bord car on peut toujours diviser par le nombre de passagers, quel que soit le but du trajet.

a écrit : L'écologie (pour les entreprises) passent toujours en second plan. Et quand c'est pas le cas c'est que l'écologie EST le business de l'entreprise.
Et quand les entreprises prendront réellement le problème en considération c'est que les problèmes environnementaux leurs couteront trop d'argent.
Comment condamner moralement une entreprise sur ce point alors que les États ne sont pas capable de montrer l'exemple.

Cela me fait penser au scandale de l'amiante en France.
Les employés se sont retournés contre les entreprises qui ne faisaient qu'appliquer la loi puisque l'utilisation de l'amiante était légale (sauf utilisation délictueuse bien sûr)
C'était contre l'État qu'il fallait se retourner et c'est à l'État de payer pour sa connerie.
Le Canada a par exemple continuer à exporter de l'amiante pendant 20 ou 30 ans alors que l'utilisation était interdite dans ce pays car on en connaissait les danger.

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a écrit : Je vois que beaucoup de commentaire sont en rapport avec l'environnement, comme quoi les avions ils sont méchants pas beaux.
Juste pour apporter quelques faits :
-Les rejets de gaz à effet de serre par passager par kilomètre de l'avion sont inférieur à ceux de la voiture (on parle de gCO2/passag
er/Km). Cela englobe toute la durée de vie, fabrication, recyclage etc. et c'est notamment dû au fait que le taux de remplissage des voitures est très faible. Donc à chaque fois que vous prenez la voiture seul, vous polluez plus que si vous preniez l'avion. Sachant que plus la distance augmente, mieux l'avion est.
-Le poids global de l'aviation dans le réchauffement climatique n'est que d'environ 2%. C'est inférieur à celui de la mode par exemple.
Afficher tout
2% c'est le transport maritime.
Comparer transport en commun et transport individuel est un non sens, d'autant que le transport aérien est touristique dans 90% des cas, voir plus et qu'on pourrait s'en passer, mais bon, c'est un autre débat.

Pour en revenir à l'anecdote, tous les systèmes de transport en commun font ça, les bateaux, les trains, les bus, peuvent aller plus vite mais ne le font pas (AAPRL a très bien expliqué pourquoi mais j'en rajoute un peu) car la consommation d'énergie augmente de façon exponentielle avec la vitesse (E=mc²) et il arrive un moment où le gain de temps est écrasé par le coût en carburant/énergie, sans compter l'usure plus rapide du matos.
Le Concorde en a d'ailleurs toujours fait les frais, c'est à peine s'il était rentable malgré les tarifs exorbitants des billets. Les trains aussi d'ailleurs, les TGV récents peuvent facilement dépasser les 400kmh à pleine charge mais le jus n'est pas gratuit, et bonjour l'usure des rails et des caténaires!