Un cimetière jardin avec sculptures précolombiennes

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On appelle ça des topières

Les cimetières sont souvent d une tristesse, hormis les cimetières passagers, mais celui la de part ses arbustes et leurs tailles, cela sors totalement du lot, les mauvaises langues diront qu un cimetière, n est pas un endroit joyeux, pour moi il ne doit pas pour autant en rester seulement un endroit de tristesse.
Ayant travaillé durant 2 ans comme fossoyeur du côté de Lyon j ai vu un peu tous les côtés possible. J ai passé le plus clair de mon temps sur le cimetière de Loyasse sur la colline de Fourvière, où nombre de grande famille Lyonnaise y ont établis des quasi mosolé. J ai notamment participé à une inhumation dans un caveau de plus où moins 10 mètres de profondeur et où pouvait être au bas mot posé quasi 100 cercueils.

D’après la photo de l’anecdote, on pourrait penser qu’il y a seulement quatre sculptures. Mais pas du tout, il y en a des dizaines. Un travail de dingue, je vous invite à visionner cette toute petite vidéo que l’on trouve sur Google Maps.

maps.app.goo.gl/SUDC886UoGqXC5iM6


Tous les commentaires (9)

Excellent ! Il me faut un tuto taillage ^^

On appelle ça des topières

Les cimetières sont souvent d une tristesse, hormis les cimetières passagers, mais celui la de part ses arbustes et leurs tailles, cela sors totalement du lot, les mauvaises langues diront qu un cimetière, n est pas un endroit joyeux, pour moi il ne doit pas pour autant en rester seulement un endroit de tristesse.
Ayant travaillé durant 2 ans comme fossoyeur du côté de Lyon j ai vu un peu tous les côtés possible. J ai passé le plus clair de mon temps sur le cimetière de Loyasse sur la colline de Fourvière, où nombre de grande famille Lyonnaise y ont établis des quasi mosolé. J ai notamment participé à une inhumation dans un caveau de plus où moins 10 mètres de profondeur et où pouvait être au bas mot posé quasi 100 cercueils.

D’après la photo de l’anecdote, on pourrait penser qu’il y a seulement quatre sculptures. Mais pas du tout, il y en a des dizaines. Un travail de dingue, je vous invite à visionner cette toute petite vidéo que l’on trouve sur Google Maps.

maps.app.goo.gl/SUDC886UoGqXC5iM6

Magnifique mais sacré boulot. Tout un art

a écrit : On appelle ça des topières Des topiaires oui, hormis l'orthographe c'est tout à fait juste ! Je ne comprends pas les votes négatifs sur ton commentaires. Un (une ?) topiaire désigne un arbre ou arbuste taillé pour lui donner une forme spécifique.

a écrit : Les cimetières sont souvent d une tristesse, hormis les cimetières passagers, mais celui la de part ses arbustes et leurs tailles, cela sors totalement du lot, les mauvaises langues diront qu un cimetière, n est pas un endroit joyeux, pour moi il ne doit pas pour autant en rester seulement un endroit de tristesse.
/> Ayant travaillé durant 2 ans comme fossoyeur du côté de Lyon j ai vu un peu tous les côtés possible. J ai passé le plus clair de mon temps sur le cimetière de Loyasse sur la colline de Fourvière, où nombre de grande famille Lyonnaise y ont établis des quasi mosolé. J ai notamment participé à une inhumation dans un caveau de plus où moins 10 mètres de profondeur et où pouvait être au bas mot posé quasi 100 cercueils. Afficher tout
C’est certain que Tulcán doit être plus chaud que Loyasse en automne-hiver, et si en plus les buissons ont plus de classe...

Blague mise à part, bien que ça transforme le cimetière en véritable jardin, je me demande quand même qui pose des congés pour traverser la planète et se rendre dans un cimetière, dans un pays comme l’Équateur, avec le risque de venir gonfler le nombre de tombes.

Il existe peut-être des cimetières tout aussi intéressants, dans des pays nettement plus sûrs.
Le Père-Lachaise à Paris, par exemple, où reposent Jim Morrison, Oscar Wilde, Édith Piaf, et tant d’autres, dans un labyrinthe de tombes sculptées à l’ombre des marronniers.
Green-Wood à New York, un immense cimetière-jardin du XIXe siècle, vallonné, paisible, avec vue sur Manhattan et des étangs fréquentés par les hérons.
Ou encore Okunoin au Japon, dans les montagnes de Koyasan, au cœur d’une forêt de cèdres centenaires, où plus de 200 000 moines reposent sous la mousse et les lanternes de pierre.
Et bien d'autres...

a écrit : Les cimetières sont souvent d une tristesse, hormis les cimetières passagers, mais celui la de part ses arbustes et leurs tailles, cela sors totalement du lot, les mauvaises langues diront qu un cimetière, n est pas un endroit joyeux, pour moi il ne doit pas pour autant en rester seulement un endroit de tristesse.
/> Ayant travaillé durant 2 ans comme fossoyeur du côté de Lyon j ai vu un peu tous les côtés possible. J ai passé le plus clair de mon temps sur le cimetière de Loyasse sur la colline de Fourvière, où nombre de grande famille Lyonnaise y ont établis des quasi mosolé. J ai notamment participé à une inhumation dans un caveau de plus où moins 10 mètres de profondeur et où pouvait être au bas mot posé quasi 100 cercueils. Afficher tout
C'est que tu ne connais pas le cimetière joyeux, en Roumanie, avec ses stèles bleues colorées de dessins et où l'histoire/anecdote sur le défunt y est inscrite.

Il existe une anecdote à ce sujet :
https://share.google/NhcTkUQMq6RE5po53

a écrit : C’est certain que Tulcán doit être plus chaud que Loyasse en automne-hiver, et si en plus les buissons ont plus de classe...

Blague mise à part, bien que ça transforme le cimetière en véritable jardin, je me demande quand même qui pose des congés pour traverser la planète et se rendre dans un cimetière, da
ns un pays comme l’Équateur, avec le risque de venir gonfler le nombre de tombes.

Il existe peut-être des cimetières tout aussi intéressants, dans des pays nettement plus sûrs.
Le Père-Lachaise à Paris, par exemple, où reposent Jim Morrison, Oscar Wilde, Édith Piaf, et tant d’autres, dans un labyrinthe de tombes sculptées à l’ombre des marronniers.
Green-Wood à New York, un immense cimetière-jardin du XIXe siècle, vallonné, paisible, avec vue sur Manhattan et des étangs fréquentés par les hérons.
Ou encore Okunoin au Japon, dans les montagnes de Koyasan, au cœur d’une forêt de cèdres centenaires, où plus de 200 000 moines reposent sous la mousse et les lanternes de pierre.
Et bien d'autres...
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Bizarre de penser tourisme. Le jardinier a le droit de sculpter les buissons pour son plaisir et celui des locaux.