La néophobie alimentaire est une aversion à certains aliments développée par certains enfants. Elle consiste en un refus de goûter certains aliments ou groupes d’aliments. L'enfant peut ainsi se limiter à certaines textures, groupes alimentaires ou marques commerciales déjà connues. Dans des cas extrêmes, elle peut persister, provoquant des carences et de graves séquelles.

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Je suis moi-même ex néophobe. Cela va beaucoup mieux depuis que j’ai découvert mon haut potentiel ainsi que mon hypersensibilité. Dont j’ai d’ailleurs fait ma force, je suis devenue coach bien être pour aider les gens comme moi.
C'est très bien de devenir coach pour aider les autres après avoir trouvé comment résoudre ses problèmes. Sauf si la solution que la personne a trouvé pour résoudre son problème c'est de devenir coach, comme c'est le cas apparemment de beaucoup de coaches. Il y a tellement d'autres coaches qui semblent vouloir aider les autres à trouver un sens à leur vie et pourtant, eux, tout ce qu'ils ont trouvé pour donner un sens à leur vie c'est de devenir coach ! Ce genre de coaches me rappelle une conseillère de Pôle Emploi qui était là pour m'expliquer comment trouver du travail et qui me disait que tout ce qu'elle avait trouvé comme travail c'est... conseillère Pôle Emploi ! Heureusement ce n'est pas votre cas, mais je me demande s'il ne faudrait pas du coup éviter de se définir comme coach si on ne veut pas passer pour quelqu'un qui s'aide plus lui-même qu'il n'aide les autres en faisant ce métier ?
Effectivement, j’ai appris récemment que les orthophonistes peuvent intervenir sur les soucis alimentaires des nourrissons et enfants. Ceci grâce à une orthophoniste spécialisée dans les troubles alimentaires des nourrissons. Elle suit parents/ enfants dès les premières semaines et cela peut toucher les nourrissons qu’ils soient allaités ou prenant le biberon. Tout est question de sensibilité et du ressentie de l’aliment dans la bouche.
j'ai envie de vomir la... ^^
La franchement, désolé mais t'aurais mieux fait de la boucler.
Dans le genre jugement arbitraire, tu as la palme. Il a trouvé un moyen de s'épanouir, ca force le respect, et toi tu l'enfonce?
Je t'ai connu plus gentil.
SAUVAGE!!! ^^
Je t'ai connu plus malin si tu n'as pas compris que ce n'est pas lui que j'enfonce et que je dis justement que le terme de coach est dévoyé par des charlatans qui n'ont rien à voir avec sa démarche. Tu veux un autre exemple ? Un coach qui s'était fait poser un anneau gastrique pour maigrir tellement il ne contrôlait pas sa propre vie et que ça n'empêchait pas de conseiller les autres sur leur vie... Alors le message serait que si même un coach n'avait pas réussi à faire autrement, la seule solution aux problèmes de poids c'est l'anneau gastrique ? Et donc si tu es un vrai exemple inspirant pour les gens que tu conseilles, comme semble l'être l'auteur du commentaire, auquel je répondais, ça ne te dérange pas que l'image de ce métier soit associée à des gens qui ont échoué et qui prétendent aider les autres à réussir ?
Boarf c'est pas pire que d'être publicitaire.
je voyais juste une personne qui bosse sur elle même que tu as taclée, peut être sans le faire exprès, mais cela n'engage que moi.
Désolé si j'ai compris ton commentaire de traviole, pô fait exprès.
Il est impossible de me faire manger de l’avocat, depuis tout petit. Pour la blague mon frère m’en avait fait avaler à mon insu. La sentence fut immédiate avec un vomito immédiat sur…lui (il n’a jamais réessayé depuis). En revanche je mange du guacamole sans problème (si bien épicé et bien mixé) !
Idem pour les épinard, les feuilles entières, fraiche, ok. Bouillie avec un peu de beurre, ok.
Mélangé avec n’importe quoi d’autre et ça ressort tout de suite…
N'y a t'il pas également une cause génétique.
Mon frère et moi avons une aversion ( le mot est faible) pour le fromage, et nos deux fils respectifs ont hérité de cette aversion, malgré que leurs mères adorant le fromage ne les ont jamais empêcher d'y goûter.
Dernièrement j'ai découvert que mon petit fils de 5 ans éprouvé la même aversion, il refuse par exemple de passer dans le rayon crèmerie d'une grande surface à cause de l'odeur dit il.
Hé bah ... entre les commentaires ci-dessus et les goûts de mes amis, je crois que je suis une exception : je mange de tout, et sans aucun problème. À la limite, j'aime pas trop les olives, je les enlève sur une pizza par exemple, mais c'est tout.
C'était parfois compliqué quand j'étais gamin, le dicton familial c'était « t'as le droit de pas aimer, mais t'as pas le droit de pas manger ! ». Mais force est de constater qu'une fois adulte, dans ma famille (même éloignée, ou famille par alliance) on est pas très difficiles sur les aliments. C'est plutôt la qualité de la nourriture qui va nous rebuter (personne ne mange de plats industriels par exemple). Mais pour certains (dont je fais partie), on a horreur du gaspillage et on préfère se forcer un peu et manger un plat de piètre qualité plutôt que le jeter. Et je n'ai presque jamais vu ce comportement en dehors de ma famille ..
Je me demande si ça ne vient pas des origines rurales et modestes de ma famille (il faut remonter assez loin, au moins mes grands-parents).
Et à l'inverse, je pense que ce genre de phobie est très lié à l'opulence du mode de vie moderne occidental : la nourriture n'a jamais été aussi accessible, tant sur le prix que le choix, ou même les quantités. Du coup on voit apparaitre ce genre de problèmes inconcevables dans un contexte différent d'accès à la nourriture : autres régions du monde, autres époques, autres niveaux de vie, etc.
Tout dépend ce que tu appelles "manger de tout" : il y a manger de tout dans son pays et manger de tout dans le monde entier ! Manger de tout dans le monde entier ça veut dire manger par exemple des vers ou des scorpions grillés ou du serpent ou du rat, qui sans avoir un goût très prononcé peuvent rebuter certaines personnes à la simple évocation du nom de l'animal. Il y a aussi les sauces gluantes qu'il faut manger à la main tellement les couverts passent au travers sans produire aucun effet, ou des sauces fermentées à base de poissons ou de crevettes qui ont une odeur et un goût vraiment prononcé de pourri mais donc on raffole dans certains pays. Et il y a aussi les plats tellement pimentés que tu te demandes si le cuisinier à mis du piment dans ses légumes ou un peu de légumes dans son piment... Alors comme j'ai goûté tout ça, je peux dire que je mange de tout, mais je n'irais pas jusqu'à dire que j'ai pris plaisir à manger les plats très fortement pimentés ni ceux qui ont tellement l'odeur de pourri que ça se répand dans toute la maison !
Comment ça se passe exactement?
Parce que j'ai remarqué que c'est souvent les textures qui me dégoûtent (spongieuse par exemple), les peaux (j'épluche tout, même les raisins) et je ne supporte pas le goût "trop végétal" de la salade, des crudités en général, même melon et pastèque. J'aimerais être moins limitée au niveau de la nourriture.
Essaie le baba au rhum, c'est spongieux mais tellement bon !
Cette neophobie est naturelle et normale. Des études ont montré qu’il faut présenter 7 fois aux enfants un nouveau plat dans les cantines pour qu’ils commencent à y goûter.
Pour prendre exemple sur moi je suis lactophobe donc un dégoût pour le lait sous forme liquide et aussi étant petit j'avais un manque de fibre ( ressenti sur mon doigt de pied gauche) du un manque de carrance au fruit que je mangeait pas et mange presque pas en 2021