Au début des années 1990, l'opération "Mains propres" fit basculer la politique italienne. Cette série d'enquêtes mit au jour un système de corruption généralisée et de financement illicite des partis politiques, dans lequel 5000 personnalités du monde économique et politique furent impliquées. Plus de la moitié du parlement italien fut inculpé, et plus de 400 conseils municipaux furent dissous. L'affaire entraina la disparition des partis historiques.
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Commentaires préférés (3)
Malheureusement en Italie mafia et politique sont encore étroitement liés surtout à la droite de la droite, pour ceux qui se souviennent de Berlusconi.
Et maintenant Meloni, dont les nouvelles lois viennent à l'encontre des avancées faites dans les années 90, en tête l'abandon du statut de "temoin d'état" qui vise à protéger les personnes témoignant contre le crime organisé mais aussi l'abolition du délit "d'abus de fonction" concernant les administrateurs locaux.
La route est décidément encore longue.
L’éthique n’existe que lorsqu’on part du principe qu’une sagesse et justice objectives existent. Quand la fin justifie les moyens (visions subjectives), l’éthique n’a plus sa place que ce soit dans un gouvernement ou dans toute autre organisation, se proclamant bienveillante ou pas d’ailleurs. Ironiquement, au sein même de la mafia italienne par exemple, une certaine éthique se veut d’être respectée et instaurée, assurant ainsi une stabilité et une confiance pérennes.
Nous on va aux Seychelles avant d’enfiler notre bracelet électronique. Opération chevilles propres.
Tous les commentaires (10)
Malheureusement en Italie mafia et politique sont encore étroitement liés surtout à la droite de la droite, pour ceux qui se souviennent de Berlusconi.
Et maintenant Meloni, dont les nouvelles lois viennent à l'encontre des avancées faites dans les années 90, en tête l'abandon du statut de "temoin d'état" qui vise à protéger les personnes témoignant contre le crime organisé mais aussi l'abolition du délit "d'abus de fonction" concernant les administrateurs locaux.
La route est décidément encore longue.
Ça ne donne des idées à personne ?
En France nous avons opération place nette...
L’éthique n’existe que lorsqu’on part du principe qu’une sagesse et justice objectives existent. Quand la fin justifie les moyens (visions subjectives), l’éthique n’a plus sa place que ce soit dans un gouvernement ou dans toute autre organisation, se proclamant bienveillante ou pas d’ailleurs. Ironiquement, au sein même de la mafia italienne par exemple, une certaine éthique se veut d’être respectée et instaurée, assurant ainsi une stabilité et une confiance pérennes.
Nous avons certainement qques politiques français dont il conviendrait de remonter les bretelles en France.
Mais mains propres avait une toute autre envergure puisqu’il s’agissait de la collusion entre politiques et mafieux.
Je souligne d’ailleurs que l’un des mots clefs de l’anecdote devrait être « Mafia », autant que « Politiques »
Nous on va aux Seychelles avant d’enfiler notre bracelet électronique. Opération chevilles propres.
Ninja !
sacré Gibert!
Niak ^^
Nous, on dissout l'assemblée... Puis on fait la danse des ministres. Ou la chaise musicale.