Les différentes formes d'amour activent les mêmes zones du cerveau

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Une étude finlandaise de 2024 a examiné comment différentes formes d’amour activent le cerveau. En utilisant l’IRMf, les chercheurs ont observé que toutes les formes d’amour activent des zones liées à la cognition sociale et au système de la récompense, mais à des intensités variées : l’amour parental serait le plus puissant, suivi de l’amour romantique et de l'amitié, qui activent les mêmes zones, mais moins intensément.

Chez les propriétaires d’animaux, la cognition sociale s’active aussi, suggérant un attachement proche de celui pour un humain.


Commentaires préférés (3)

Pour l’amour parental on parle de parent vers enfant ou enfant vers parent ? (Ou les deux)

a écrit : Bonjour,
La 2eme source parle de l’amour parent vers enfant
Très clairement c'est parents vers enfants, puisque très jeune ma fille (vers 4 ou 5 ans) projetait déjà de vivre à la maison quand elle sera grande parce que nous (ses parents) seront morts et que donc elle aura la maison pour elle toute seule.

Les enfants sont sans pitié ni scrupule

Et tout ça, finalement, n’est rien d’autre que le chef-d’œuvre chimique de milliers d’années d’évolution, dont le seul objectif est, bien sûr, de perpétuer l’espèce.
Un élégant cocktail neurochimique soigneusement calibré pour nous pousser à flirter, copuler, et protéger la femelle pendant la grossesse — l’amour dure trois ans, paraît-il.

Mais l’évolution ne s’est pas arrêtée là, non. Elle a ensuite peaufiné les processus chimiques pour nous pousser à protéger nos adorables petits êtres humains, ces créatures exceptionnelles qui figurent parmi les rares animaux incapables de survivre sans assistance pendant les trois premières années de leur vie (voire plus, on me dit 18 ans dans l'oreillette et 25 si le wifi est éteint).

Mais bon, hein, si on met de côté cette petite affaire de dopamine et de neuropeptides… c’est quand même super beau, l’amour. Vraiment. Une poésie.

PS : ne vous méprenez pas, j'aime ma femme et mes enfants profondément. Mais cela reste une histoire chimique évolutive... ^^ et ce n'est pas si grave.


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Pour l’amour parental on parle de parent vers enfant ou enfant vers parent ? (Ou les deux)

a écrit : Pour l’amour parental on parle de parent vers enfant ou enfant vers parent ? (Ou les deux) Bonjour,
La 2eme source parle de l’amour parent vers enfant

a écrit : Bonjour,
La 2eme source parle de l’amour parent vers enfant
Très clairement c'est parents vers enfants, puisque très jeune ma fille (vers 4 ou 5 ans) projetait déjà de vivre à la maison quand elle sera grande parce que nous (ses parents) seront morts et que donc elle aura la maison pour elle toute seule.

Les enfants sont sans pitié ni scrupule

a écrit : Pour l’amour parental on parle de parent vers enfant ou enfant vers parent ? (Ou les deux) En général pour l'amour enfant -> parent on parle d'amour filial
Et pour l'amour frère ou sœur -> frère ou soeur on parle d'amour fraternel.
Mais dans tous les cas s'il ne reste pas platonique ça s'appelle de l'inceste.

Aaaah ma 2eme anecdote publiée après plus de 3 mois, j’avais peur qu’elle ait été mise au rebut.

Pour complémenter l’anecdote je peux ajouter cela :
« En utilisant l’IRMf sur 55 adultes, les chercheurs ont observé que toutes les formes d’amour activent des zones liées à la cognition sociale et au système de la récompense, mais à des intensités variées. L’amour parental est le plus puissant, stimulant fortement le striatum. L’amour romantique suit, impliquant les mêmes régions que l’amour parental. L’amitié active ces zones, mais moins intensément. L’amour pour les animaux et la nature sollicite surtout le système de la récompense. Chez les propriétaires d’animaux, la cognition sociale s’active aussi, suggérant un attachement proche de celui pour un humain. Les chercheurs soulignent cependant que la culture peut influencer ces résultats. »

Désolé que la première source soit en Anglais et que la seconde ne soit pas accessible aux non abonnés.

Et tout ça, finalement, n’est rien d’autre que le chef-d’œuvre chimique de milliers d’années d’évolution, dont le seul objectif est, bien sûr, de perpétuer l’espèce.
Un élégant cocktail neurochimique soigneusement calibré pour nous pousser à flirter, copuler, et protéger la femelle pendant la grossesse — l’amour dure trois ans, paraît-il.

Mais l’évolution ne s’est pas arrêtée là, non. Elle a ensuite peaufiné les processus chimiques pour nous pousser à protéger nos adorables petits êtres humains, ces créatures exceptionnelles qui figurent parmi les rares animaux incapables de survivre sans assistance pendant les trois premières années de leur vie (voire plus, on me dit 18 ans dans l'oreillette et 25 si le wifi est éteint).

Mais bon, hein, si on met de côté cette petite affaire de dopamine et de neuropeptides… c’est quand même super beau, l’amour. Vraiment. Une poésie.

PS : ne vous méprenez pas, j'aime ma femme et mes enfants profondément. Mais cela reste une histoire chimique évolutive... ^^ et ce n'est pas si grave.

Cette anecdote apporte plus de questions que de réponses

a écrit : Très clairement c'est parents vers enfants, puisque très jeune ma fille (vers 4 ou 5 ans) projetait déjà de vivre à la maison quand elle sera grande parce que nous (ses parents) seront morts et que donc elle aura la maison pour elle toute seule.

Les enfants sont sans pitié ni scrupule
Si les enfants sont sans filtre c'est parce que leur développement cognitif n'est pas mature, ils n'ont pas encore intégrés les normes sociales. Ça n'a rien à voir avec l'amour qu'ils ont pour leurs parents ou entourage.

a écrit : Si les enfants sont sans filtre c'est parce que leur développement cognitif n'est pas mature, ils n'ont pas encore intégrés les normes sociales. Ça n'a rien à voir avec l'amour qu'ils ont pour leurs parents ou entourage. Si ce que j'ai écrit est vrai, je l'ai écrit au 2nd degrés si je puis dire !