Un pourboire particulier laissé par Einstein

Proposé par
Invité
le

En 1922, alors qu'il séjournait dans un hôtel nippon, Albert Einstein reçut un courrier des mains d'un coursier. On ignore pourquoi, mais, en guise de pourboire, il griffonna deux notes à son intention, en lui disant qu'elles vaudraient un jour probablement un peu plus qu’un simple pourboire. En 2017, ces deux notes furent vendues aux enchères, pour 1,56 million et 240 0000 dollars.

On peut y lire : "Une vie tranquille et modeste apporte plus de joie que la recherche du succès qui implique une agitation permanente" et "Là où il y a une volonté, il y a un chemin".


Commentaires préférés (3)

a écrit : Einstein a bel et bien "emprunté" la citation. D'où, probablement, le fait qu'elle ait été vendue bien moins cher que la première. Il y a donc un zéro de trop dans le second nombre de l’anecdote

a écrit : Ça m'a fait penser une une anecdote assez proche avec Picasso. Pour payer sa note de restaurant il dessina sur une nappe en papier mais le restaurateur lui fit remarquer qu'il ne l'avait pas signé. Sa réponse fut qu'il ne souhaitait pas acheter le restaurant. Picasso avait un ego relativement développé.

Ce qui aurait été sympa c'est de lui donner un pourboire à utilité immédiate en plus du reste. Un coursier au Japon en 1922 n'avait peut-être pas le temps d'attendre un retour sur investissement pour se nourrir au quotidien.
Quant à Picasso il suffit d'entendre les témoignages de sa descendance pour comprendre à quel point c'était un immondice.


Tous les commentaires (13)

Je ne sais pas si on peut attester qu'Einstein ait réellement dit cette phrase. Elle est bien commode pour attester que c'est un don duquel les ayant droits éventuels d'Einstein n'ont pas à dire leur mot.

J'ai toujours pensé que la deuxième citation était de Lénine...

a écrit : J'ai toujours pensé que la deuxième citation était de Lénine... Einstein a bel et bien "emprunté" la citation. D'où, probablement, le fait qu'elle ait été vendue bien moins cher que la première.

a écrit : Einstein a bel et bien "emprunté" la citation. D'où, probablement, le fait qu'elle ait été vendue bien moins cher que la première. La première fait terriblement penser à une citation du type « confucius ». Le fait d’être au Japon fait émerger le doute.
Mais ce sont de belles citations.

a écrit : Einstein a bel et bien "emprunté" la citation. D'où, probablement, le fait qu'elle ait été vendue bien moins cher que la première. Il y a donc un zéro de trop dans le second nombre de l’anecdote

Ça m'a fait penser une une anecdote assez proche avec Picasso. Pour payer sa note de restaurant il dessina sur une nappe en papier mais le restaurateur lui fit remarquer qu'il ne l'avait pas signé. Sa réponse fut qu'il ne souhaitait pas acheter le restaurant.

a écrit : Einstein a bel et bien "emprunté" la citation. D'où, probablement, le fait qu'elle ait été vendue bien moins cher que la première. Einstein a emprunté beaucoup de choses, d'où son génie.

a écrit : Ça m'a fait penser une une anecdote assez proche avec Picasso. Pour payer sa note de restaurant il dessina sur une nappe en papier mais le restaurateur lui fit remarquer qu'il ne l'avait pas signé. Sa réponse fut qu'il ne souhaitait pas acheter le restaurant. Picasso avait un ego relativement développé.

Ce qui aurait été sympa c'est de lui donner un pourboire à utilité immédiate en plus du reste. Un coursier au Japon en 1922 n'avait peut-être pas le temps d'attendre un retour sur investissement pour se nourrir au quotidien.
Quant à Picasso il suffit d'entendre les témoignages de sa descendance pour comprendre à quel point c'était un immondice.

a écrit : Einstein a emprunté beaucoup de choses, d'où son génie. Là, je suis navré, mais je ne suis pas sûr de comprendre ce que tu veux dire, ou alors c'est terriblement faux...

Exercice de pensée, comme il semblait tant les aimer : combien aurait été vendu un proverbe débile du genre "qui s'endort avec le c*l qui gratte ..." ? (ceux qui ne connaissent pas chercheront ^^) Avec sa signature et avec un ticket de loto gagnant j'aurais été prêt à payer ça très cher ! :-)

a écrit : Einstein a emprunté beaucoup de choses, d'où son génie. C'est plus facile de descendre les autres pour les ramener à son niveau que de reconnaître leur valeur. Surtout quand ils sont absents ou morts.

a écrit : Exercice de pensée, comme il semblait tant les aimer : combien aurait été vendu un proverbe débile du genre "qui s'endort avec le c*l qui gratte ..." ? (ceux qui ne connaissent pas chercheront ^^) Avec sa signature et avec un ticket de loto gagnant j'aurais été prêt à payer ça très cher ! :-) Ou tout comme celle ci :
«si un soir, au crépuscule, Tu as 4 testicules, Ne te prends pas pour Hercule, C'est que quelqu'un t'enc*le»
Proverbe Grec #Pardon!