Peu d'ossements de la bataille de Waterloo

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La bataille de Waterloo fit environ 12 000 victimes, mais pratiquement aucun ossement n'a été retrouvé. Cette particularité serait due à l'industrie du sucre : les ossements, une fois réduits en poudre, auraient été utilisés pour filtrer et blanchir le sucre de betterave. De nombreuses usines de sucre s'installèrent d'ailleurs non loin du site de la bataille.


Commentaires préférés (3)

Vous prendrez bien un morceau ou deux de grand-papa dans votre café ?

a écrit : Vous prendrez bien un morceau ou deux de grand-papa dans votre café ? Un morceau de grand-père dans le café grand-mère

On appelait cette poudre "charbon d'os" ou "noir animal".

Ce sont les os d'animaux qui sont normalement utilisés par l'industrie du sucre.

Mais à l'époque, le prix au kg de cette poudre s'était envolé.

Les paysans aux abords de Waterloo ont alors vite réalisé la manne financière qui se tenait sur l'ancien champ de bataille.

En creusant et ramassant les ossements, en une journée il pouvait revendre l'équivalent d'un an de salaire.
Officiellement, sous l'appellation d'os de chevaux.

Pas étonnant que la quasi totalité des ossements ont disparu !
On parle ici jusqu'à 30 000 cadavres déterrés.

Conséquences aussi : le manque de main-d'œuvre dans les métiers de "tous les jours" car les gens des alentours ont soudainement arrêté de travailler pendant plusieurs mois !


Tous les commentaires (11)

Vous prendrez bien un morceau ou deux de grand-papa dans votre café ?

a écrit : Vous prendrez bien un morceau ou deux de grand-papa dans votre café ? Un morceau de grand-père dans le café grand-mère

On appelait cette poudre "charbon d'os" ou "noir animal".

Ce sont les os d'animaux qui sont normalement utilisés par l'industrie du sucre.

Mais à l'époque, le prix au kg de cette poudre s'était envolé.

Les paysans aux abords de Waterloo ont alors vite réalisé la manne financière qui se tenait sur l'ancien champ de bataille.

En creusant et ramassant les ossements, en une journée il pouvait revendre l'équivalent d'un an de salaire.
Officiellement, sous l'appellation d'os de chevaux.

Pas étonnant que la quasi totalité des ossements ont disparu !
On parle ici jusqu'à 30 000 cadavres déterrés.

Conséquences aussi : le manque de main-d'œuvre dans les métiers de "tous les jours" car les gens des alentours ont soudainement arrêté de travailler pendant plusieurs mois !

a écrit : C'est étonnant : j'ai trouvé plusieurs textes indiquant que le sucre de BETETRAVE est naturellement blanc après le premier cycle de cristallisation, ce qui n'est pas le cas du sucre de CANNE.
Exemple : www.cultures-sucre.com/plantes-et-production/extraction-et-fabrication-du-sucre-de-betterave/
Ça n'a pas l'air incompatible : dans ta source on parle d'évolution de l'usage du "noir animal" : "Support de filtration efficace, il a aussi été utilisé pour la décoloration des sirops produits dans les premières sucreries de betteraves, qui étaient en développement en Europe fin XIXe.

Cependant, l’usage du noir animal a cessé en sucrerie de betterave au cours de la première moitié du XXe siècle, car l’amélioration des techniques d’extraction a rapidement permis de produire un sucre blanc dès la première cristallisation."
On peut donc imaginer que quelques décennies après la fin de la bataille de Waterloo des personnes aient exhumé des ossements animaux et humains de certains charniers de cette bataille pour les revendre, puis que l'industrie de la betterave sucrière n'ayant plus besoin de "noir animal", ces pratiques aient cessé.

La morale n'arrête pas le business !

a écrit : La morale n'arrête pas le business ! C'est le business qui fabrique la morale.

a écrit : On appelait cette poudre "charbon d'os" ou "noir animal".

Ce sont les os d'animaux qui sont normalement utilisés par l'industrie du sucre.

Mais à l'époque, le prix au kg de cette poudre s'était envolé.

Les paysans aux abords de Waterloo
ont alors vite réalisé la manne financière qui se tenait sur l'ancien champ de bataille.

En creusant et ramassant les ossements, en une journée il pouvait revendre l'équivalent d'un an de salaire.
Officiellement, sous l'appellation d'os de chevaux.

Pas étonnant que la quasi totalité des ossements ont disparu !
On parle ici jusqu'à 30 000 cadavres déterrés.

Conséquences aussi : le manque de main-d'œuvre dans les métiers de "tous les jours" car les gens des alentours ont soudainement arrêté de travailler pendant plusieurs mois !
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Tu te trompes. C'était pour jouer à GTA V.

a écrit : C'est le business qui fabrique la morale. Théorie presque Marxiste. Mais j'adhère.

a écrit : On appelait cette poudre "charbon d'os" ou "noir animal".

Ce sont les os d'animaux qui sont normalement utilisés par l'industrie du sucre.

Mais à l'époque, le prix au kg de cette poudre s'était envolé.

Les paysans aux abords de Waterloo
ont alors vite réalisé la manne financière qui se tenait sur l'ancien champ de bataille.

En creusant et ramassant les ossements, en une journée il pouvait revendre l'équivalent d'un an de salaire.
Officiellement, sous l'appellation d'os de chevaux.

Pas étonnant que la quasi totalité des ossements ont disparu !
On parle ici jusqu'à 30 000 cadavres déterrés.

Conséquences aussi : le manque de main-d'œuvre dans les métiers de "tous les jours" car les gens des alentours ont soudainement arrêté de travailler pendant plusieurs mois !
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Comment peut il y avoir 30 000 cadavres déterré si il n'y a eu que 16 000 victime?