Jamsetji Tata, plus grand philanthrope de l'Histoire

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Comme d'habitude "parti de rien" veut dire : fils du directeur de groupe d'import/export Nusserwanji Tata, qui fit fortune dans le commerce du coton et de l'opium.
Jamsetji fait des études supérieures dans une grande école de commerce fréquentée par le futur gratin des grandes sociétés indienne et britanniques...

Parti de rien.

a écrit : Comme d'habitude "parti de rien" veut dire : fils du directeur de groupe d'import/export Nusserwanji Tata, qui fit fortune dans le commerce du coton et de l'opium.
Jamsetji fait des études supérieures dans une grande école de commerce fréquentée par le futur gratin des grandes sociétés in
dienne et britanniques...

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Certains des plus grands hommes d'affaires ont commencé dans leurs garages. Moi je n'ai pas de garage...


Tous les commentaires (10)

Comme d'habitude "parti de rien" veut dire : fils du directeur de groupe d'import/export Nusserwanji Tata, qui fit fortune dans le commerce du coton et de l'opium.
Jamsetji fait des études supérieures dans une grande école de commerce fréquentée par le futur gratin des grandes sociétés indienne et britanniques...

Parti de rien.

a écrit : Comme d'habitude "parti de rien" veut dire : fils du directeur de groupe d'import/export Nusserwanji Tata, qui fit fortune dans le commerce du coton et de l'opium.
Jamsetji fait des études supérieures dans une grande école de commerce fréquentée par le futur gratin des grandes sociétés in
dienne et britanniques...

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Certains des plus grands hommes d'affaires ont commencé dans leurs garages. Moi je n'ai pas de garage...

a écrit : Comme d'habitude "parti de rien" veut dire : fils du directeur de groupe d'import/export Nusserwanji Tata, qui fit fortune dans le commerce du coton et de l'opium.
Jamsetji fait des études supérieures dans une grande école de commerce fréquentée par le futur gratin des grandes sociétés in
dienne et britanniques...

Parti de rien.
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"Parti de rien" se réfère au fait que c'est surtout lui qui a développé le négoce de son père, à l'international.
Certes, son père avait déjà une succursale à Hong Kong, quand il est entré en 1958 à Bombay, pour l'épauler dans l'entreprise paternelle, mais durant les dix années où ils ont travaillé ensemble, c'est lui qui a développé l'entreprise, travaillant dorénavant avec la Chine, le Japon, l'Europe et les États-Unis.

Si Jamsetji Tata a eu une éducation Occidentale et a effectué des études supérieures équivalentes à l'Université, c'est parce qu'il avait un don, détecté très tôt, pour le calcul mental. On ne peut peut-être pas parler de mémoire prodigieuse, mais il y a peu de doute que ses capacités intellectuelles l'ont aidé dans ses études, puis dans ses affaires.

En 1868, Jamsetji -qui n'a alors que 29 ans- décide de quitter l'entreprise familiale et de fonder la sienne. Le capital investi provient de ses gains accumulés durant son travail avec son père.
Il se lance dans la manufacture du coton, voulant arriver à terme (selon l'idée du Mouvement Swadeshi) à produire des tissus aussi fins que ceux alors fabriqués à Manchester (Grande-Bretagne). Son but est de faire de l'Inde, une Puissance internationale dans la filature du coton de qualité.

Indépendamment de la manufacture du coton, Jamsetji avait quatre autres objectifs dans la vie: créer un secteur sidérurgie Indien, une centrale électrique, ouvrir un établissement d'enseignement de renommée mondiale, et un hôtel unique. Il ne concrétisera que le dernier cité, le Taj Mahal Hotel de Bombay, qui est aujourd'hui un Palace 5 étoiles.

Quant à ses autres objectifs, ce sont ses successeurs qui les ont concrétisé.

(*) le Mouvement Swadeshi se réfère au Nationalisme Indien. Son image la plus connue, est celle de Gandhi filant le coton, afin de ne pas être tributaire des confections Britanniques pour se vêtir.

a écrit : Il aurait été intéressant de préciser qu'il est le fondateur du Groupe Tata qui possède Tata Motors (et donc maintenant Jaguar et Land Rover)
fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_Tata
Marrant que « Tata » te fasse penser à Tata Motors, là où moi je pense surtout à Tata Consulting.
Après vérification rapide, c’est 80k employés pour la partie Motors, et 300k employés pour la partie Consulting.
Cela dit j’ignorais l’existence des autres filiales très variées et un historique de 200 ans

a écrit : Marrant que « Tata » te fasse penser à Tata Motors, là où moi je pense surtout à Tata Consulting.
Après vérification rapide, c’est 80k employés pour la partie Motors, et 300k employés pour la partie Consulting.
Cela dit j’ignorais l’existence des autres filiales très variées et un historique de 200 ans
Et par chez moi on connaît plutôt Tata Steel :)
80k employés aussi, spécialistes de la sidérurgie

Merci pour ta remarque, j’ai découvert aussi beaucoup de choses sur ce groupe que je n’imaginais pas si étendu !

Pourquoi personne n’a fait de commentaire sur ses dons qui s’élèvent à 127 milliards ? Ça ne court pas les rues des milliardaires philanthropes à ce point ! Sans parler du nombre d’emplois créés et les opportunités qui vont avec…

Et il y a Tata Tea qui occupe environ 60k personnes. Elle met en avant une production durable et éthique contrôlant les processus "du buisson à la tasse".

a écrit : Pourquoi personne n’a fait de commentaire sur ses dons qui s’élèvent à 127 milliards ? Ça ne court pas les rues des milliardaires philanthropes à ce point ! Sans parler du nombre d’emplois créés et les opportunités qui vont avec… Yes.

Surtout que certains milliardaires malins affichent officiellement des dons faramineux, mais à des associations "caritatives" qu'ils contrôlent à 100%. Pour des raisons fiscales évidemment.

Exemple le plus connu cest Bill Gates.

a écrit : Pourquoi personne n’a fait de commentaire sur ses dons qui s’élèvent à 127 milliards ? Ça ne court pas les rues des milliardaires philanthropes à ce point ! Sans parler du nombre d’emplois créés et les opportunités qui vont avec… Peut-être car ce n'est que l'excuse d'un système ou une société fondamentalement inégalitaire : cette argent aurait dû soit être principalement obtenu par ses employés (ceux qui ont vraiment créé la valeur) ou ses clients soit, en dernier recourt, à la société. Et ne pas faire croire que c'est juste son travail qui lui a permis de gagner cette somme indécente et ensuite se payer de la respectabilité (avec l'argent indécemment perçu).

Billou "la porte" est fort pour ça aussi (alors que c'était le roi des coups tordus)