La procédure du labyrinthe de Cox est une méthode chirurgicale cardiaque destinée à traiter la fibrillation auriculaire. Elle consiste à créer des lignes de blocage formant un labyrinthe qui empêche la propagation anarchique de l’influx électrique et le redirige vers le nœud auriculo-ventriculaire.
Ceci permet de rétablir un rythme sinusal normal. Initialement, ce "labyrinthe" était créé en pratiquant des incisions, mais dans la version moderne, le tracé est réalisé à l’aide de sources d’énergie, ce qui rend la procédure plus rapide et moins invasive.

Commentaires préférés (3)
C'est pas faux
Voici la version de Chat GPT traduite pour un enfant de 12 ans :
La procédure du labyrinthe de Cox consiste pour le chirurgien à créer, dans les oreillettes du cœur, des petites lignes de cicatrices qui ressemblent à un labyrinthe bien organisé. Ces lignes bloquent les signaux électriques qui partent dans tous les sens lors d’une fibrillation atriale. Grâce à cela, l’électricité est forcée de suivre un chemin précis, ce qui permet au cœur de battre de façon régulière et normale. C’est un peu comme remettre de l’ordre dans un réseau électrique qui s’emballe.
Tu es allongé à poil sur une table d'opération moins large que toi, tu as les bras qui pendent de chaque côté, c'est inconfortable, et rapidement douloureux
On t'injecte du curare dans un bras, la dose juste suffisante pour t'insensibiliser
On te perfore l'artère fémorale, et le chirurgien y enfile ses outils et les "pousse" jusqu'au cœur
Il te laisse et va s'installer (confortablement, lui) derrière son ordi, auquel sont connectés 4 ou 5 écrans. Il va examiner tes "courants électriques" et couper (brûler) des circuits pendant "un certain temps"
Tu es à moitié KO, mais parfaitement conscient. Le bloc opératoire est glacé, tu n'aimes pas tous ces gens qui tournent autour de toi alors que tu es tout nu, qu'est-ce qu'ils peuvent bien faire ici?
Et de temps en temps, l'anesthésiste, qui s'emmerde autant que toi, te demande : "ça va monsieur?"... et là tu te rends compte que tu as un mal de chien à lui répondre le mensonge attendu : "oui, oui"
En fait ses putains de bras commencent à tirer si fort sur les épaules que tu te demandes si c'est pas ça qui va te faire mourir, comme Jésus.
Le chirurgien dit : "mets le à la morphine" - comme si t'étais pas là - et à ce moment tout le monde, y compris toi, apprend que tu y es allergique, t'as rien dans l'estomac depuis 36 heures, mais tu vomis quand même. On t'injecte un truc, et l'opération reprend
Au bout de 6 (SIX!) heures, le chirurgien demande à la cantonade si tout est correct, annonce que l'opération n'est pas réussie à 100 % et s'en va. Une infirmière retire tout cet attirail (tu ne sens rien à ce niveau, que les bras, que les bras), et t'envoie dans ta chambre, où tu vas rester deux jours, pour être sûr que la fémorale ne va pas se rouvrir
Deux semaines plus tard, tu vas consulter ton cardiologue qui te dit : "dommage que l'opération n'ait pas pu se terminer…"
Ouais, dommage
Tous les commentaires (7)
C'est pas faux
Voici la version de Chat GPT traduite pour un enfant de 12 ans :
La procédure du labyrinthe de Cox consiste pour le chirurgien à créer, dans les oreillettes du cœur, des petites lignes de cicatrices qui ressemblent à un labyrinthe bien organisé. Ces lignes bloquent les signaux électriques qui partent dans tous les sens lors d’une fibrillation atriale. Grâce à cela, l’électricité est forcée de suivre un chemin précis, ce qui permet au cœur de battre de façon régulière et normale. C’est un peu comme remettre de l’ordre dans un réseau électrique qui s’emballe.
J'ai rien compris
PS : C'est encore plus difficile à comprendre avec les schémas représentant l'opération
Tu es allongé à poil sur une table d'opération moins large que toi, tu as les bras qui pendent de chaque côté, c'est inconfortable, et rapidement douloureux
On t'injecte du curare dans un bras, la dose juste suffisante pour t'insensibiliser
On te perfore l'artère fémorale, et le chirurgien y enfile ses outils et les "pousse" jusqu'au cœur
Il te laisse et va s'installer (confortablement, lui) derrière son ordi, auquel sont connectés 4 ou 5 écrans. Il va examiner tes "courants électriques" et couper (brûler) des circuits pendant "un certain temps"
Tu es à moitié KO, mais parfaitement conscient. Le bloc opératoire est glacé, tu n'aimes pas tous ces gens qui tournent autour de toi alors que tu es tout nu, qu'est-ce qu'ils peuvent bien faire ici?
Et de temps en temps, l'anesthésiste, qui s'emmerde autant que toi, te demande : "ça va monsieur?"... et là tu te rends compte que tu as un mal de chien à lui répondre le mensonge attendu : "oui, oui"
En fait ses putains de bras commencent à tirer si fort sur les épaules que tu te demandes si c'est pas ça qui va te faire mourir, comme Jésus.
Le chirurgien dit : "mets le à la morphine" - comme si t'étais pas là - et à ce moment tout le monde, y compris toi, apprend que tu y es allergique, t'as rien dans l'estomac depuis 36 heures, mais tu vomis quand même. On t'injecte un truc, et l'opération reprend
Au bout de 6 (SIX!) heures, le chirurgien demande à la cantonade si tout est correct, annonce que l'opération n'est pas réussie à 100 % et s'en va. Une infirmière retire tout cet attirail (tu ne sens rien à ce niveau, que les bras, que les bras), et t'envoie dans ta chambre, où tu vas rester deux jours, pour être sûr que la fémorale ne va pas se rouvrir
Deux semaines plus tard, tu vas consulter ton cardiologue qui te dit : "dommage que l'opération n'ait pas pu se terminer…"
Ouais, dommage
J'aurais pas dit mieux !
On sent comme un vécu dans ce récit, et qui n’a pas été des plus agréable et humain. :-O
L’équipe n’avait pas l’air très attentive au patient dans ce que tu décrit :-/