John Kennedy Toole est un écrivain qui se suicida, convaincu d'être un écrivain raté. Après sa disparition, et grâce aux efforts de sa mère, son livre "La conjuration des imbéciles" fut publié et vendu à plus de 1,5 millions d'exemplaires. Il a même décroché le prix Pulitzer en 1981.
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Commentaires préférés (3)
Ce livre est vraiment génial, je le conseille à tous les amateurs d'humour noir.
L'encyclopédie du savoir relatif et absolu en fait une grande mention
Le pauvre ecrivain... Comme quoi le suicide n'est pas la solution.
Tous les commentaires (41)
Ce livre est vraiment génial, je le conseille à tous les amateurs d'humour noir.
Absolumment à lire
Grand moment de bonheur
Un des meilleurs livres que j ai jamais lu
L'encyclopédie du savoir relatif et absolu en fait une grande mention
Le pauvre ecrivain... Comme quoi le suicide n'est pas la solution.
Oui aindi que dans "l arbre des possibles" toujours de weber d ' ailleurs , dans ce livre il raconte sous forme de petite histoire le suicide de bertrand adjemian
J'ai ta parole?! Je le lis alors?!
Ah, merde c'est con pour lui, il n'a jamais pu savourer son succès...
Je prends note du titre.
Merci!
Ce sont toujours les meilleurs qui partent les premiers...
le suicide a été la solution, pour une fois
Sympa pour deux qui restent !
Alors juste pour rire un peu, tu vas te l'appliquer à toi ta théorie. C'est pas bon signe pour ta longévité : sois tu meurs "dans les 1ers" et tu passes pour un "des meilleurs", sois tu meurs vieux et tu passes pour un crétin !
Je ne pense pas que ce prix va lui servir maintenant..
C'est triste ..
C'est quoi le prix Pulitzer??????
Dans le genre mort bête, il mériterait presque un Darwin award.
Les mamans toujours là,meme après la mort ^^
Le Pulitzer c'est en gros le Goncourt américain a la différence qu'il existe pour de nombreuse catégories notamment le journalisme. J'ai lu La conjuration des Imbéciles 2 fois, le (anti)héros est unique et plutôt intéressant mais pas de quoi se relever la nuit. L'anecdote de sa publication apporte un plus comme lorsqu'un roman est "inspiré d'une histoire vrai".
Ha le boulet.
La pouasse des Kennedy les touches même de loin dites donc !