Entre la fin du XVIIe siècle et le début du XXe siècle, lorsque le divorce était impossible, car trop onéreux, il existait une coutume anglaise qui consistait à vendre sa femme au marché en la faisant parader publiquement, un collet autour du cou. Les femmes ainsi vendues étaient souvent consentantes, car cela leur permettait de quitter un mari souvent en difficulté financière et de trouver un mari plus riche.
Cette coutume s'est ensuite étendue à l'Ecosse et à l’Australie avant de disparaître au début du 20e siècle.
Commentaires préférés (3)
Le pire reste l'article du code pénal francais de l'époque napoléonnienne ("l'article rouge") qui innocentait les époux du meurtre de leur femme quand il y avait adultère ou supposition d'adultère
Parceque maintenant les femmes ne sont plus attirées par l'argent ?!? :P
Je suis de près ce site depuis bien un an et demi (ne pas se fier à ma date d'inscription, je l'ai fais exprès pour ce qui suit), et le niveau des commentaires est de plus en plus bas, certainement postés par les plus jeunes, je trouve ca navrant. Où sont passés les personnes qui postaient des commentaires utiles et pleins de compléments d'informations ? Certes on peux rire, mais il y a des limites dans l'humour, surtout quand on le trouve partout, maintenant. Parfois, il vaux mieux se taire que de "parler" pour parler. La plupart n'appréciereront pas mon intervention, mais je fais part de mon ressenti sur l'évolution des commentaires.
Tous les commentaires (117)
XXème siècle!! Mais c'est ya pas longtemps ça!!!!
Le pire reste l'article du code pénal francais de l'époque napoléonnienne ("l'article rouge") qui innocentait les époux du meurtre de leur femme quand il y avait adultère ou supposition d'adultère
Parceque maintenant les femmes ne sont plus attirées par l'argent ?!? :P
j'imagine la scene
"femme d'occasion! quasi neuf pas abimé!"
et dire que c'était y'a meme pas 100ans...
Du moment que la femme était consentante, je trouve pas ça choquant... au contraire, ça sauvait le mari et sa femme !
"Allez, allez ! On en profite ! Qui qui nen veux qui nen prends ! -20% sur ma meuf ! Et celle-là c'est la fille d'un baron, c'est pas d'la gourdasse ! Allez, allez !" ^^
La réponse est non .
Je suis de près ce site depuis bien un an et demi (ne pas se fier à ma date d'inscription, je l'ai fais exprès pour ce qui suit), et le niveau des commentaires est de plus en plus bas, certainement postés par les plus jeunes, je trouve ca navrant. Où sont passés les personnes qui postaient des commentaires utiles et pleins de compléments d'informations ? Certes on peux rire, mais il y a des limites dans l'humour, surtout quand on le trouve partout, maintenant. Parfois, il vaux mieux se taire que de "parler" pour parler. La plupart n'appréciereront pas mon intervention, mais je fais part de mon ressenti sur l'évolution des commentaires.
Je ne vois guère qu'une explication au collier. Déshumaniser la femme, en faire un animal-objet apte à être vendu. Ça devait permettre au vendeur et à l'acheteur, au moins d'un point de vue symbolique, d'avoir bonne conscience. Et même si à cette époque, la notion d'humanité était encore mal définie (traite des nègres, haine des youpins et mépris des macaques ; j'emploie ces termes injurieux pour bien montrer à quel point les hommes de cette époque voyaient des humanités là où nous n'en voyons qu'une seule), traiter une femme blanche comme un esclave africain devait choquer. Il s'agissait alors soit de tourner le geste à la dérision et en faire une parodie de vente d'esclave pour en rire plutôt qu'en pleurer, soit de déchoir la femme vendue de son statut d'être humain pour pouvoir mener la transaction sans cas de conscience.
heu... on est au 21eme siecle! donc c'etait dans les annees 1900 pas 2000. l'anecdote dit bien "début"!
Il est d'ailleurs amusant de remarquer qu'il s'agit là de l'exact opposé de la dot traditionnelle, qui voyait le père de la jeune mariée rembourser au mari le manque à gagner que ce dernier subirait à prendre femme. Alors de deux choses l'une, soit la femme prend de la valeur avec l'âge, et auquel cas on peut difficilement arguer que le critère de qualité est la beauté, soit l'on considère que la femme coûte dans ses jeunes années et rapporte dans les vieilles. Mais je ne vois pas pourquoi ce serait le cas. Dans tous les cas, la coexistence de ces deux traditions de la dot et de la vente d'épouse est le signe d'une incohérence de la culture populaire de l'époque. Mais sommes-nous réellement plus logiques ?