Chuter de 3000 mètres et survivre

Proposé par
le
dans

En 1971, Juliane Koepcke, âgée de 17 ans, survécut à une chute de 3 000 mètres. Son avion, en partance pour Lima, explosa en vol après avoir pris la foudre. Encore attachée à son siège, sa chute fut amortie par les arbres de la forêt. Sachant qu’attendre les secours serait trop long, elle marcha pendant 11 jours en pleine forêt amazonienne, malgré de graves blessures, avant de retrouver la civilisation.


Tous les commentaires (119)

C'est tout simplement miraculeux mais savez-vous que se n'est pas elle qui détient le record??
C'est une hôtesse de l'air serbe Vesna Vulovic qui détient le record en ayant survécu à une chute de 10160 mètre sans parachute et en plus aujourd'hui encore elle continue d'exercer le métier d'hôtesse de l'air

fr.m.wikipedia.org/wiki/Vesna_Vulovi?

Posté le

iphone

(24)

Répondre

a écrit : L'instinct de survie couplé à la chance Quand c'est pas le moment....c'est pas le moment ;-)

Posté le

android

(5)

Répondre

a écrit : Imaginez ce que la famille a dû ressentir quand, 11 jours après le crash, ils ont appris qu'elle était en vie... Sa famille est morte durant ledit crash...

Posté le

iphone

(11)

Répondre

Quand on a pas envie de mourir on est pret à repousser ses limites. En revanche la chute de 3000 mètres... "merci d'avoir choisis notre compagnie aériene au revoir et attention à la marche".

Posté le

android

(8)

Répondre

Faire preuve de courage et de volonté n'ont jamais été des qualités exclusives aux hommes :).

Posté le

android

(3)

Répondre

J'aime bien les commentaires du genre " Ouah, c'te volonté ! ". Je n'ose penser à toutes ces personnes qui ont vécu de terribles catastrophes et qui auraient bien aimé s'en sortir, mais : Avoir voulu, avoir pas pu ! Il ne suffit pas toujours que de volonté, mais également de concours de circonstance ! Certains sont des trompe-la-mort, d'autres ont la scoumoune ...

Posté le

iphone

(40)

Répondre

une belle histoire qui ferait bien un bon film

Posté le

android

(9)

Répondre

Ça me rappelle une histoire d'un de mes grands pères alors prisonnier de guerre en URSS (pendant la 2nde guerre mondiale) qui me racontait l'histoire de 2 pilotes dont les parachutes ne s'étaient pas ouverts pendant leur chute
Cette dernière avait été amortie par des branches de sapin (bien ebourrifées) puis la neige au et s'en étaient sortis avec de légères blessures !

Posté le

android

(12)

Répondre

Son père n'était pas dans l'avion !
Pour ceux que cela intéresse, il y a un très bon documentaire de Werner Herzog sur le sujet, "wings of hope" il me semble.

Posté le

android

(1)

Répondre

Tiens, j'ai lu son histoire y'a pas longtemps, je sais plus où... Je crois qu'elle sort un bouquin. Je me souviens qu'elle avait l'habitude de voyager avec sa mère, qui avait dit "j'aime pas ça" au moment des turbulences puis "c'est la fin". Elle était pas trop blessée, a suivi le cours de la rivière comme lui avait appris son père, et a retrouvé la civilisation 11 jours après, elle était dans un état pitoyable, les yeux plein de sang... Elle parlait parfaitement espagnol et a pu se faire comprendre des habitants qui l'ont secouru et qui avaient effectivement entendu parler du crash. Bon, c'est peut-être dans les sources, mais voici ce dont je me souviens.

Posté le

website

(28)

Répondre

a écrit : Imaginez ce que la famille a dû ressentir quand, 11 jours après le crash, ils ont appris qu'elle était en vie... Sa réapparition a due être une très grande surprise "choquant" pour ces proches.

Posté le

iphone

(0)

Répondre

a écrit : J'ai le même âge et je ne m'imagine pas endurer tout ce qu'elle a subit. Qui sait! Tu pourrais faire mieux si tu étais à sa place...!

Posté le

iphone

(3)

Répondre

a écrit : Elle peut remercier la chance et comme quoi parfois ne pas suivre les règles de sécurité ( ici attendre les secours ) ça peut porter ses fruits ! Mouais, elle peut remercier son père qui a l'époque l'a briefé si le cas se présentait. Par ailleurs, la 3ème source indique selon son récit, qu'elle n'a pu bouger et quitter la carlingue que le lendemain 9h (elle s'en souvient car "sa montre fonctionnait encore"). Le risque était plutôt de ne rien tenter. En dépit de la déforestation de l'Amazonie, ce secteur reste très important en terme de volume et je rappelle que le crash à eu lieu en 79...elle raconte aussi que quand elle a pris la route, elle a rencontré des cadavres et comme elle cherchait sa mère, elle a du les toucher pour identification. Pour finir, je me fais plutôt la réflexion du genre : sur 92 personnes seule elle a survécu au crash + à ses blessures et évidemment le traumatisme afférent.

Posté le

iphone

(15)

Répondre

a écrit : Quand on a pas envie de mourir on est pret à repousser ses limites. En revanche la chute de 3000 mètres... "merci d'avoir choisis notre compagnie aériene au revoir et attention à la marche". C'est un peu ça. D'ailleurs à cette époque la compagnie aérienne avait très mauvaise réputation. Sa mère et elle le savait mais elles voulaient absolument passer Noël avec le père qui était au Pérou.

Posté le

iphone

(0)

Répondre

a écrit : Sa famille est morte durant ledit crash... Seule sa mère faisait partie des victimes.

Posté le

iphone

(5)

Répondre

a écrit : Oui j'avais vu un reportage sur cette incroyable histoire.. J'ai trouvé un lien vidéo où elle raconte son histoire, mais il est traduit en anglais (désolée pour ceux qui ne comprennent pas l'anglais..)

Part 1 sur 7
www.youtube.com/watch?v=uEFrOmqnktQ&feature=youtube_gdata_p
layer

Edit: pardon je pensais avoir copié le lien .. ^^
Afficher tout
Merci beaucoup pour ce lien qui est très intéressant. Je viens de voir tout le film. C'est impressionnant.

Posté le

iphone

(1)

Répondre