Durant la Seconde Guerre mondiale, Hitler voulut faire communiquer les chiens avec leurs maîtres SS, et créa pour cela une école pour chiens afin de leur apprendre à «parler». Il pensait en effet que les chiens étaient presque aussi intelligents que les hommes et que l'on pouvait leur apprendre à communiquer. Selon les rapports de l'époque, certains chiens s'exprimaient grâce à leurs pattes (en pointant des lettres ou en faisant des signes) ou à leurs aboiements.
Tous les commentaires (132)
À ta guise!
"The more I learn about people, the more I like my dog" Mark Twain
Mais qui aboie le plus dans l'histoire?
Quant à Goebbels, c'est absolument sûr.
Ce qui est plus étonnant c'est le fait que le peuple allemand l'ait suivi si loin dans la guerre. Mais peut on en vouloir à Hitler d'avoir eu l'ambition de dominer l'Europe ? Je ne pense pas, on a tout de même une pléthore de types qui ce sont également lancés dans ce "jeu".
d'ou pourquoi en ce suicidant il tua aussi son chien..il aurait put tout devoiler
Étonnant de la part d'un fou qui s'est trompé sur sa propre espèce, et qui pensait qu'il y avait plusieurs races chez l'Homme, d'autant aimer l'une des espèces où il y a le plus de différence entre les races et pourtant aucun racisme! En tout cas ces pauvres chiens étaient eux bien plus intelligents que les nazis!
Il était fou de sa chienne, une bergère allemande, Blondie.
Mais en réalité, ce n'est pas si étonnant. Ce n'est pas une spécificité du peuple allemand qui n'était pas plus con qu'un autre, un mec comme Hitler aurait pu avoir du succès dans n'importe quel pays. Il n'est pas dit que si toi ou moi avions été allemands à cette époque, nous n'aurions pas adhéré à de telles idées.
C'est un phénomène largement expliqué par Gustave le Bon dans "Psychologie des foules", ouvrage d'ailleurs étudié par Hitler. Je vais pas m'étaler mais ça parle d'unité mentale des foules, du raisonnement collectif, des limites de variabilité des opinions des foules, etc...
C'est exactement le même principe quand par exemple une manifestation se transforme en baston collective (à une moindre échelle). Dans ce genre d'occasion l'opinion collective prime sur l'opinion individuelle.
D'ailleurs l'humanité de nos jours n'est pas plus intelligente qu'elle ne l'était à cette époque, il n'est donc pas exclu que le scénario se répète (plus ou moins variablement) même dans nos pays occidentaux qui ont traversés les grandes crises du 20e siècle.
- Peut-etre, mais c'est quand meme son pere!"
Merci Hubert Bonisseur de la bath !
(OSS 117) ;)