Au Brésil, une loi permet aux détenus de réduire leur peine de prison s'ils lisent des livres. Chaque livre lu permet de bénéficier d'une réduction de 4 jours de prison, dans la limite de 12 livres par an (soit 48 jours de réduction de peine par an) et après avoir écrit une dissertation sur le livre en question. Un panel juge ensuite si la réduction de peine est accordée.
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www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417402&dateTexte=20131212. Et si ta question concernait les dérenus décédés, il y en a tout un paquet, mais j'en connais un, en Martinique.
Il y a notamment Pierre Bodein et Michel Fourniret, mais peut être qu'un lien renvoyant vers l'article de loi qui le stipule sera plus parlant :Ensuite la vie n'est pas œil pour œil, dent pour dent, ok je suis d'accord sauf qu'il y a des écarts de conduite ou des fautes qui ne sont pas pardonnable ou pour lesquels il faudrai ne pas être indulgent.
48 jours de réduction par ans ? Vous imaginez le temps qu'il faut pour réduire une peine à perpétuité ?
Faut savoir que quand on tue quelqu'un et qu'on prend 30 ans de prison ( c'est un exemple je sais pas ce que c'est en vrai ) la lecture pour réduire un petit peu la prison est une bonne idée , 1 mois dans 30 ans c'est pas grand chose
Les cas extrèmes que tu juges non pardonnables ne sont pas concernés par cette initiative. Lire un livre ne veux pas dire réduire sa peine. Il faut: livre le livre, le comprendre, écrire une disert sur le sujet du livre, sans faute, lisible, avec des paragraphes, des marges. Ensuite un panel de juges lisent la disert et décident de la remise de peine (et surement pas que en fonction de la disert). Donc un type qui ne doit pas être libéré n'aura pas de remise c'est tout.
Celui qui l'aura (4 jours au max!) ça l'insitera à recommencer; Pour avoir une remise valable il lui faudra un niveau superieur à pas mal de lycéens. C'est quand même pas mal pour une réinsertion.
De plus c'est une prison énorme et difficile, faut penser aussi que ça occupe les détenus.
La pauvreté, le manque d'éducation et d'intégration favorise la délinquance et donc la prison. Que 80% (à vérifier) des détenus soient d'origine étrangère indique que ces personnes sont plus pauvres, moins bien éduqués et intégrés que les autres personnes résidantes en France.
Il faut reconnaître que maintenant au jour d'aujourd'hui (ça se dit pas ça :) ) la pauvreté, l'éducation et la discrimination sont de véritables problèmes de société.
La source que tu cites affiche les chiffres qui plaisent (choquent, excitent) à sa cible. D'autres interprétations, moins populistes, sont possibles.