Pour tester les sièges éjectables du bombardier supersonique B-58 Hustler, l'US Air Force engagea... des ours ! Anesthésiés et sanglés dans leur siège, ils furent éjectés à différentes altitudes et vitesses pour vérifier que le système d'éjection ne présentait pas de danger pour l'Homme.
Le système d'éjection, original pour l'époque, consistait en une capsule qui se refermait après éjection pour protéger le pilote des températures glaciales et des vents violents présents à haute altitude.
Les ours, ainsi que des singes impliqués aussi dans les tests, furent cependant euthanasiés peu après leur vol pour vérifier l'impact de l'éjection sur leurs organes internes. Les résultats conclurent que le système d'éjection était parfaitement fiable.
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- l'éjection (avec les dommages corporels potentiels associés, et donc la souffrance) d'un ours dans le but de sécuriser un engin de meurtre.
- les recherches en cosmétique qui se faisaient dans des conditions d'éthique inhumaines
- la recherche médicale qui se fait actuellement dans des conditions strictes où le bien être de l'animal et dans l'absolu la limitation maximale de sa souffrance sont au cœur des préoccupations.
Les deux premiers sont plus ou moins de la torture au nom de futilités, le dernier un emploi aussi respectueux que possible de sujets animaux pour assurer notre propre survie.
Parce qu'on quelque chose de superieur ?
Ok ,donc quand un peuple different de nous et plus avance et plus intelligent debarquera sur terre ,vous trouverais ca normal qu'il prennent des humains pour faire des tests de ce genre j'imagine.
Simple question de superiorite en fait.
Si vous avez vraiment faim je ferais aucun reproche a ce vous mangiez un ours.
Mais prendre l'ours pour des tests militaire la je suis pas d'accord.
Ensuite, il y a une bonne dizaine d'espèces d'ours différents dans le monde, et si certaines espèces sont en voie de disparition, c'est surtout à cause de la déforestation, ou de la fonte des glaces pour l'ours blanc.
Donc arrête de dire n'importe quoi, ces tests n'ont rien à voir avec la raréfaction des ours dans le monde.
Je me coucherai moins... Humain
Et puis soyons cohérents, comment peut-on vouloir protéger les animaux sauvages (en général on les protège proportionnellement a la sympathie que les public leur porte par exemple les bébés phoques sont bien mieux protégées que les requins bien que moins menacés) et continuer à manger du cochon élevé à 10 dans 15 m2 et tué au bout de 4 ou 5 mois.
Je respecte un végétarien qui défend les animaux. Je respecte tout autant quelqu'un qui défend les espèces menacées.
J'ai le plus grand mépris par contre pour ceux qui défendent les animaux au nom de principes anthropomorphiques idiots et qui mangent goulûment leur steak.
Tout comme les singes qui furent envoyés dans l'espace, Tyler Durden approuve
Horrible.
Ca compte et on ne doit pas jouer avec ca .
Pour la deuxieme c vrai on protege et on mange (alors que les conditions d'elevage sont scandaleuse).
Alors n'allons pas en rajouter avec des essais militaire.
Et ensuite pour ta deuxième question, oui, cela s'appelle le contrôle de population et c'est le job des chasseurs. Quand une espèce prolifère, on peut réduire sa population sans problème.
Sauf que ça n'a pas grand chose à voir avec prendre 12 ours et les impliquer dans des tests parce qu'on a pas le choix.
Je n'ai pas de solution évidente, je dis juste qu'il faut garder un minimum de cohérence.
Refuser qu'un chasseur tue un animal qui a vécu en liberté et accepter l'élevage de poulet en batterie, c'est incohérent. Sauf si les motivations sont autres que le bien être de l'animal.
Accepter la Syrie (on peut remplacer la Syrie par une bonne quinzaine de régions du monde) et refuser les tests sur les ours, c'est tout aussi incohérent d'ailleurs.
Tout comme aussi faire tout un pataquès sur un épidémie ebola qui va tuer 20 ou 30000 personne et ne pas parler du paludisme qui devrait en tuer 1,5 millions dont 700000 enfants dans le même temps.
Je ne dis pas qu'il ne faut se moquer du bien être des animaux ou des malades de l'ebola, je dis qu'il faut gérer ses priorités.