Comme tous les cétacés, les dauphins n'ont pas toujours vécu dans l'eau. Il y a 50 millions d'années, leurs ancêtres s'apparentaient à des ruminants qui vivaient sur terre. Pour échapper à leurs prédateurs, ils se sont mis à vivre dans l'eau et ont évolué pour prendre la forme qu'on leur connait aujourd'hui. D'ailleurs, leur squelette fait apparaître des vestiges de leurs pattes.
Tout comme les mammifères terrestres, le dauphin est un animal à sang chaud qui respire de l'air. Il est également vivipare et n'a généralement qu'un seul petit à la fois.
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Et ils ont toujours leur pattes avants mais les pattes arrières n'existent que sous forme de vestiges.
fr.m.wikipedia.org/wiki/Tetrapoda , peut être un peu maladroitement par contre ^^
Je crois qu'il fait référence à çaUne question simple:
A t'ton retrouvé un seul fossile de ce genre de mutation? (Entre deux espèces)
J'ai rencontré le plus gros dealer de fossile de France qui se trouve à Carpentras et après lui avoir posé la question, il m'a répondu "Non, tout les fossiles trouvés sont des espèces finis et bien aboutis"
Marrant non? D'ailleurs, Darwin dit à la fin de son livre "ma théorie sur l'évolution des espèces ne peut qu'être validée seulement si on trouve ce genre de fossile"
A réfléchir...
Quelques détails ici
planet-terre.ens-lyon.fr/article/fossiles-transitions.xml
Ça n'est qu'un exemple, il y a une foule d'informations à ce sujet.
Le terme de théorie scientifique n'a rien à voir avec le sens commun du mot théorie.
Rien de choquant, les artiodactyles sont un ordre, pas une espèce.
Faut changer de dealer ;). Il n'y a que sur des sites religieux fondamentalistes que ces fausses informations sont propagées. Et ce ne sont pas des références en science.
D'autres exemples ici
en.m.wikipedia.org/wiki/List_of_transitional_fossils
mais ce n'est pas parce que tu ne comprend pas que ça n'existe pas.
déjà, chaque être vivant comptent facilement une centaine de mutations par rapport a ses parents, à la naissance. et oui, même toi, c'est pour ça que tu n'es pas un clone de ton père.
l'évolution ne choisi pas, c'est juste une survie des plus adaptés.
par exemple, les ancêtres terrestres des dauphins naissaient tous différents, comme n'importe quelle espèce animale ( humain inclus)
mais ceux qui avait, pour une raison ou pour une autre, la colonne vertébrale plus souple, par exemple, nageaient mieux, et donc échappaient plus facilement aux prédateurs, et avaient plus de chance d'avoir des petits, qui eux même avaient plus de chance d'avoir une colonne souple, et ainsi de suite.
mais ce n'était pas immédiat, c'était long, très long, des centaines de milliers de générations étaient nécessaire rien que pour qu'il y ai un changement physique visible.
Par exemple, si nous ne sommes pas les clones de nos parents, les mutations ont très peu à voir là-dedans. Par la reproduction sexuée, nous récupérons des chromosomes de nos deux parents, impossible d'avoir un clone.
Et ce "brassage génétique" va encore plus loin, car lors de la formation des gamètes (spermatozoïde et ovule), ça n'est pas simplement une cellule qui partage chaque paire de chromosome (celui de notre père et celui de notre mère) entre 2 cellules qui deviendront les gamètes, mais il y a aussi des échanges d'ADN entre les 2 chromosomes de la paire ! Ce qui fait que les chromosomes que nous avons hérité de nos parents ne sont pas identiques à ceux de nos parents.
Des mutations peuvent aussi intervenir, mais ça n'est pas la principale raison de notre diversité génétique intra-espèce.
La théorie évolutionniste, bien que reconnue par la quasi totalité de la communauté scientifique, n'en reste pas moins une théorie.
Une de ses principales lacunes réside dans ces "sauts" de l'évolution animale que la paléontologie met en évidence et que la génétique récuse.
En clair, sur le chemin entre le ruminant et le dauphin, il y a beaucoup de "chaînons manquants" que les paléontologues n'espèrent plus vraiment découvrir.
Quant aux deux processus d'évolution possible (par saut ou bien de façon continue et lente), ils contredisent le principe de non hérédité des caractères acquis, répondent mal à la question de l'orientation de l'évolution et soulèvent encore l'objection de l'adaptation intermédiaire (n'ayant pas encore de nageoires, et ayant commencé à voir ses jambes s'atrophier, le dauphin-ruminant a t'il de réelles chances de survivre ?)
Ça voudrait dire qu'il fut un temps où les baleines marchaient dans de jolis pâturages ?! O_o
En philosophie des sciences, une théorie scientifique doit répondre à plusieurs critères, comme la correspondance entre les principes théoriques et les phénomènes observés. Une théorie doit également permettre de réaliser des prédictions sur ce qui va être observé (prédiction PUIS découverte de fossiles intermédiaires). Enfin, la théorie doit résister à l'expérience et être compatible avec les nouveaux faits qui peuvent s'ajouter au cours du temps (Darwin a loupé de peu la découverte de l'ADN, qui est venu confirmer sa théorie). Si ce n'est pas le cas, la théorie doit être corrigée ou invalidée. Et cela fait 150 ans que la "théorie scientifique" de Darwin s'affine et se confirme sans aucune remise en question fondamentale.
Tu cites des "sauts" dans l'évolution animale, ce qui n'a aucun sens dans la théorie de l'évolution. On peut éventuellement parler de trous dans la continuité des fossiles (et pas de saut), là nous ne pouvons que spéculer sur des espèces intermédiaires, faute d'avoir découvert ces fossiles. D'autres trous sont comblés de temps en temps par les découvertes, mais c'est physiquement assez logique, la conservation d'un fossile nécessite des conditions particulières, on n'espère pas tout trouver. Ça n'est absolument pas une lacune de la théorie, ni une alternative qui envisagerait de brusques sauts dans la continuité de l'évolution.
Autre point, en quoi le principe de l'origine des espèces par la sélection naturelle contredit-elle le "principe" de non hérédité des caractères acquis ? Je ne vois pas, pas plus que la notion d' "orientation" de l'évolution, comme si on devait y chercher un but.
Quant à l'adaptation intermédiaire, je connais des tas d'animaux qui savent nager sans nageoires, ainsi que des espèces qui vivent à la fois dans et en dehors de l'eau, comme les phocidés (phoques, éléphants de mer) : ils n'ont pas tout à fait des pattes mais s'en servent comme telles, pas tout à fait des nageoires mais s'en servent comme telles. Et pourtant ils vivent :).
Rien ne contredisant la théorie, donc.
Il n'avait probablement pas sa taille ni son poids, et ne filtrait pas le plancton :).