Le syndrome de Stockholm est un comportement étonnant où des victimes de prise d'otage s'attachent à leur ravisseur, et peuvent même en tomber amoureuses. Ce syndrome tient son nom d'une affaire qui s'est déroulée dans la ville de Stockholm en 1973, où des braqueurs de banque ont pris en otage un groupe de personnes qui se sont au final interposées aux forces de l'ordre et ont refusé de témoigner contre leurs ravisseurs.

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Tu me fais culpabiliser d'un coup...
Si tu as lu son livre tu peux lire qu'elle n'a justement pas développer ce syndrome. Elle insiste d'ailleurs bien là dessus
Pour répondre à Sduroy en même temps:
Je copie colle ce que j'ai trouvé dans les sources (wiki)
"Il est nécessaire que les victimes potentielles n'aient pas été préalablement informées de l'existence de ce syndrome (dans certains cas, l'agresseur peut faire preuve d'une conceptualisation idéologique capable de convaincre une victime préalablement informée du syndrome)."
Je vous laisse en tirer vos propres conclusions, n'étant pas un expert en la matière, cela m'évitera de vous induire en erreur!:)
Cordialement.
C'est ce qui a du arriver à Belle.
Ce qui me gène c'est de constater que l'être humain est trop proche de l'animal. Le chien battu leche la main de son maître aussi. ...
Son agresseur qui s'appelle Renard d'ailleurs. -ça n'a pas de rapport-
Non. La société est une organisation. Personne ne vous force à en faire parti. À moins de vivre en République Dominicaine, à Cuba ou en Corée du Nord, vous êtes libre de la quitter en allant dans un autre système). Bon nombre de gens vivent en marge de la société. C'est un choix.
On ne peut pas dire " je ne veux pas travailler mais être payé quand même ". La société fonctionne pareille. Si vous voulez jouir de ses avantages (allocations, sécurité assurée par la police et les pompiers, infrastructures pour vous déplacer, etc.), il faut participer. Cette participation s'appelle les taxes et les impôts.
Si vous invitez un ami chez vous pendant une semaine et qu'il reste les pieds sous la table quand vous cuisinez ou qu'il passe son temps à regarder la télé pendant que vous faites les courses et le ménage, il y a fort à parier que vous ne le recevrez plus. Si au contraire il vous aide, vous ne vous direz pas que cela traduit un syndrôme de Stockolhm. Cela s'appelle des contre-parties.
Tiens, une anecdote qui pour une fois ne fera pas se coucher moins bête une majorité de lecteurs.
Un peu léger pour le coup, Stockholm.
Citer Wikipedia c'est prendre le risque d'induire les gens en erreur!!! Ce n'est pas une source sûr, n'importe qui peut la modifier...
Il est donc étrange de dire je ne suis pas expert en la matière ... voila un article écrit par d'autre personne possiblement non experte, tirez en des conclusions ^^
Justement, je répondais à un commentaire disant que 2 victimes avaient eu ce symptôme. Comme cela m'étonnait (jamais entendu parlé de ça et pourtant cette histoire a fait couler beaucoup d'encre) j'ai demandé plus d'informations à la personne. Je suis un peu plus jeune que les victimes mais je me souviens parfaitement de l'angoisse générale des parents et des remarques de ma mère pour être très prudente
Il y a un film " the town " ou c'est le braqueur qui tombe amoureux de son otage
Ca peut aussi etre juste un moyen que les ravisseurs ne leur fasse pas de mal... comme ca , une fois les prises d otages libres , elles s en vont ...
(Ca parait plus logique quand meme...)
J'avais lu quelque part que c'était un espèce de réflexe de survie: en "aimant" son ravisseur, la victime se sent comme protégé par ses sentiments. Il y a un film dont le nom m'échappe avec Scarlett Johanson qui en parle :)
Et parlons du syndrome de Lima-Stockohlm autrement appelé le syndrome d'orgie , c'est le ravisseur et la victime qui s'attache l'un à l'autre .
C'est comme ça que Bonnie And clyde se sont connus
Concernant le cas de Natasha Kampusch, cette dernière explique bien dans son livre que son esprit est extrement confus par le fait que son bourreaux soit en même temps son seul espoir et sa seule source de nourriture. Son ravisseur l'affamait régulièrement pour ensuite lui redonner à manger. Elle passait donc par des phases tordues mais obligatoires de reconnaissance, celle du ventre. Comme elle était enfermée dans une pièce cachée dont seul son ravisseur connaissait l'existence, elle savait que s'il arrivait malheur à ce dernier, elle mourrait sûrement. Chaque fois qu'il partait de la maison, elle était terrorisée à l'idée qu'il ne revienne pas et du coup ressentait un immense soulagement lorqu'elle entendait qu'il était revenu. Une source névrotique mais réelle d'affection à force. Sans oublier le fait que ce fut le seul humain à interagir avec elle pendant toutes ces années et pour monstrueux qu'il fut, elle n'avait que lui...
Effectivement si c'est une situation indésirable qui se produit, ca paraît logique qu'elle se produise sans qu'on le veuille....
Bonjour, je ne sais pas si ça importe dans les modalité de rédaction de l'anectode, mais "au final" ne se dit pas.
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