A l'inverse d'aujourd'hui, dans les années 70, lorsqu'un accident impliquait un conducteur alcoolisé, celui-ci pouvait plaider l'état d’ébriété pour alléger sa sanction. À cette époque, l’alcool au volant était en effet considéré comme une circonstance atténuante pour le conducteur.
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A l heure actuelle si tu es une personne connue, un politicien ou autre la encore tu as des circonstances atténuantes :)
Ou à la démarche tout dépend du niveau d'ébriété après
(ce sont des suppositions, mais celle de l"haleine serair assez comique à voir)
Boire ou choisir il faut rentrer
La belle époque :-D
Savez-vous que si après avoir trop bu vous avez l'intelligence et la présence d'esprit de vous garé dans un coin ,même entre deux véhicules pour faire un petit roupillon,vous ne serez pas à l'abri d'une grosse prune avec retrait de points ?
En effet si vous êtes assis à la place du conducteur ,vous êtes considéré comme étant potentiellement capable de le démarrer et donc dangereux.
Pour d'assoupir en toute tranquillité,il faut s'installer sur le siège passager ou arrière.
Les contrôles peuvent être effectués aussi sur un parking,UNE AIRE DE REPOS,un terrain militaire.
Il est simplement dit que les moeurs n'étaient pas les mêmes.
On retrouve exactement ce schéma avec les lois d'aujourd'hui : on voit régulièrement des documentaires à la télévision où des malfrats passent devant le juge. La petite voix off signale qu'il encourt X milliers d'euros d'amende et X années de prison. Ce n'est pas pour autant qu'il prend la peine max. Il s'en sort avec du sursis et basta.
Pourtant les lois existent...
Cette anecdote signale simplement que l'alcool n'était pas un élément systématiquement pris en compte pour une condamnation et pouvait même l'alléger selon les juges.
Boire ou conduire il faut choisir mais choisir de boire c'est bien ce conduire
Il me semble que c'est assez explicite ...
www.lerepairedessciences.fr/sciences/questions_sciences/alcootest.htm
Intéressante, l'annecdote, d'une époque où il était courant de donner un petit verre de rouge aux enfants, on en servait même dans les cantines scolaires!!!
Heureusement que les moeurs ont changé.
Cela dit, au risque de provoquer une polémique, il y a un effet pervers avec les lois actuelles: si un conducteur a dépassé la limite autorisée et que quelqu'un de sobre comme un nouveau né provoque l'accident, c'est celui qui a bu qui en prendra plein la figure parce que"vous aviez bu, vous n'aurriez pas du prendre le volant et donc il n'y aurrait pas eu d'accident" . C'est arrivé a un ami. Pas de bobos, juste un refus de priorité mais bon.
Bon, la loi, c'est la loi, ok ok! mais quand même!!! A chaque fois que je prense à ça, j'espère les voitures qui se conduisent toutes seules, mais je sais que je ne les verrai jamais^^
Ce ne sont que des indices, maintenant, avec les prises de sang et les éthylomètres, on a une loi et des mesures précises. Le monde a changé.
Boire ou conduire, il faut faire les deux très vite.
Je ne comprends pas votre "acharnement" à essayer de démontrer par A+B que les lois édictent telles ou telles choses...
Il existent aujourd'hui des tas de loi qui régissent notre quotidien. Ce n'est pas pour autant que les forces de l'ordre les font appliquer à la lettre. Parmi tous les gens contrôlés sur les routes, qui n'est jamais reparti sans contravention / perte de points / retrait de permis ou je ne sais quoi d'autre ? Pourtant oui les lois existent. Arrêtez donc de chercher à démontrer que l'anecdote n'est pas véridique. Les moeurs n'étaient pas les mêmes, voilà tout.
Petit rappel :"taux d'alcoolémie " est un pléonasme.
Par contre les assurances c est tolerance 0, responsable ou pas de l accident, si tu es alcoolise (meme en dessous du seuil legal) elles remboursent rien.
Et ca les gens le savent pas forcement et ca revient tres vite cher surtout quand il y a des frais medicaux.
Désolée mais j'ai eu mon permis en 1973 et l'alcool, limité à 0,8g/l était déjà sanctionné quand le taux dépassait cette limite. Bien sûr les contrôles n'étaient pas nombreux mais déjà systématiques en cas d'accident et les juges n'étaient pas tendres et c'est normal / gens contrôlés positifs. Par contre la contestation des résultats était plus facile.
Peut-être que certains textes de loi n'avaient pas tous été modifiés et que les années 1970 à 1980 paraissent très lointaines mais il existait contrôles de vitesse et d'alcoolémie, dès le milieu de la décennie, sur les routes. Et...je ne souffre absolument pas de la maladie d'Alzheimer, pour ceux qui penseraient qu'à 59 ans on est sénile ! :-)