Aristide Aubert du Petit-Thouars (1760-1798) fut un capitaine de frégate français mort lors de la bataille d'Aboukir de façon héroïque. Après avoir eu deux jambes et un bras arrachés par des boulets de canon, il continua à donner des ordres à son équipage depuis un tonneau. Parmi les ordres donnés ce jour-là : clouer son pavillon sur un mât pour bien faire comprendre aux Anglais qu'il ne se rendrait pas.
Commentaires préférés (3)
C'est un dur à cuire !
Cette anecdote ma directement fait penser a un passage des monty python où le chevalier perds ses membres un par un et ne s avoue jamais vaincu!
Impressionnant de volonté et de résistance ! Un capitaine n'abandonne jamais son navire me direz vous. La source, qui décrit son parcours, ne ternit en rien son image de héros. Il aurait vendu ses propres biens pour arpenter le monde, aurait donné la quasi-totalité de ses vivres à des naufragés sur une île, repartant a l'aventure sans garantie aucune de survie, entre autres mésaventures comme la prison ou la maladie. Lors de la bataille évoquée dans l'anecdote, ses derniers mots vont à son équipage, à qui il ordonne de ne pas donner le navire, ne supportant pas de laisser son bateau aux anglais. Derniers survivants de la bataille, les marins arrivent à fuir le combat, la nuit aidant... avant de s'échouer en Égypte, l'honneur est sauf, dit on.
Tous les commentaires (79)
C'est un dur à cuire !
Hardcore !
j imagine le mousaillon:
trois membres a la mer! allez du nerf les gars faut les avoir !
"La fureur de vaincre"
Cette anecdote ma directement fait penser a un passage des monty python où le chevalier perds ses membres un par un et ne s avoue jamais vaincu!
Encore un homme incroyable... A savoir que le plus souvent se sont les éclats de bois créés par les boulets qui blessaient les hommes je crois.
Impressionnant de volonté et de résistance ! Un capitaine n'abandonne jamais son navire me direz vous. La source, qui décrit son parcours, ne ternit en rien son image de héros. Il aurait vendu ses propres biens pour arpenter le monde, aurait donné la quasi-totalité de ses vivres à des naufragés sur une île, repartant a l'aventure sans garantie aucune de survie, entre autres mésaventures comme la prison ou la maladie. Lors de la bataille évoquée dans l'anecdote, ses derniers mots vont à son équipage, à qui il ordonne de ne pas donner le navire, ne supportant pas de laisser son bateau aux anglais. Derniers survivants de la bataille, les marins arrivent à fuir le combat, la nuit aidant... avant de s'échouer en Égypte, l'honneur est sauf, dit on.
de quoi ridiculiser chuck norris !!! Plus serieusement quand on pense que nous les hommes , maintenant nous sommes alliter pendant trois semaines pour un simple virus . la prochaine fois que je chope un rhume je tenterais de relativiser .
J'aurais sauté à la mer pour rejoindre une île ou un autre navire ou je me serais suicidé lâchement :)
Nous pouvons lire dans la source : " il rencontre un aventurier entouré de quinze camera de télévision " quelqu'un pour m'aider à comprendre cette phrase ?
"Après s'être fait arraché la tête il continua à donner des ordres!" Voilà une anecdote qui aurait été sensationnelle.
Aurais-je mal lu la source ?
Que viens faire Nicolas Vannier et ses 15 caméras de télévision dans l'aventure de notre commandant ?
Du coup, la crédibilité de l'ensemble du texte en prend un coup ...
Là tu peux y voir une pique envers les Koh-Lanta et simili aventures de la télévision.
(Ils ont reconstitué une partie de coque de bateau de la même manière qu'à l'époque puis ont tiré au canon sur la coque et il y avais des cadavres de porc derrière figurant l'équipage)
Dernier ordre : les gars, rapportez-moi un autre tonneau ! Y'a plus de rhum dans c'ui-là !
Il n'y a pas un problème dans la source ? "En 1791 louis XVI et l'assemblée nationale lui offre une somme":
Heu.. il était pas en tôle à cette date le roi ?!
Tout à fait
On commence à avoir une recrudescence de mythe et légendes sur scmb...