Le plus grave accident ferroviaire français a presque 100 ans

Proposé par
le
dans

Le plus grave accident ferroviaire français s'est déroulé le 12 décembre 1917 à Saint-Michel de Maurienne avec 435 morts. Il s'agissait d'un train de soldats qui rentraient chez eux, et le train était trop bondé : les freins ont lâché, causant une vitesse excessive (150 km/h) et un déraillement.


Commentaires préférés (3)

Pauvres soldats qui pensaient être tiré d'affaire en rentrant à la maison !

Posté le

android

(248)

Répondre

Vraiment horrible les soldats étaient déjà détruits par la guerre mais sur le chemin du retour ils meurent tous dans cet accident...reposez en paix !

a écrit : Le gouvernement les aura traité comme des merdes jusqu'au bout!
Au nom d'une notion nommé patrie alors qu'il n'était séparé de leurs voisins que par la langue.
C'est quoi le rapport avec le gouvernement ? S'agissait-il d'un sabotage des freins par le gouvernement ?...

Posté le

android

(211)

Répondre


Tous les commentaires (48)

Pauvres soldats qui pensaient être tiré d'affaire en rentrant à la maison !

Posté le

android

(248)

Répondre

150km/h ? Mais à l'époque qu'elle était la vitesse moyenne d'un train ?

Vraiment horrible les soldats étaient déjà détruits par la guerre mais sur le chemin du retour ils meurent tous dans cet accident...reposez en paix !

Le gouvernement les aura traité comme des merdes jusqu'au bout!
Au nom d'une notion nommé patrie alors qu'il n'était séparé de leurs voisins que par la langue.

Vous êtes sur que le conducteur du train n'était pas un allemand ? Sinon triste pour les soldats qui devaient être joyeux de rentrer chez eux et qui sont morts.

Posté le

android

(8)

Répondre

a écrit : Le gouvernement les aura traité comme des merdes jusqu'au bout!
Au nom d'une notion nommé patrie alors qu'il n'était séparé de leurs voisins que par la langue.
C'est quoi le rapport avec le gouvernement ? S'agissait-il d'un sabotage des freins par le gouvernement ?...

Posté le

android

(211)

Répondre

Ni la première fois ni la dernière que l'armée déraille !

Posté le

android

(7)

Répondre

a écrit : 150km/h ? Mais à l'époque qu'elle était la vitesse moyenne d'un train ? D'après wikipedia, la locomotive qui tirait les soldats pouvait rouler jusqu'à 110km/h maximum.

Posté le

android

(22)

Répondre

a écrit : Vraiment horrible les soldats étaient déjà détruits par la guerre mais sur le chemin du retour ils meurent tous dans cet accident...reposez en paix ! J'espère pour eux qu'ils ne t'ont pas attendu pour reposer en paix

Une fin tragique.
Un dénivelé qui amena cette grande vitesse, les wagons ,qui étaient alors à cette époque en bois, brûlèrent encore apres l'accident.

Apres l'horreur de la guerre, ils ont connu une fin tout aussi horrible et en plus, juste avant les fêtes qu'ils auraient pu passer avec leurs proches.

a écrit : C'est quoi le rapport avec le gouvernement ? S'agissait-il d'un sabotage des freins par le gouvernement ?... Le rapport s'est qu'ils ont fait partir des trains surchargé, ils ne l'ont pas voulu mais ils s'en moquaient

a écrit : C'est quoi le rapport avec le gouvernement ? S'agissait-il d'un sabotage des freins par le gouvernement ?... Non mais le gouvernement aurait pû mettre plus de train à disposition...

Posté le

android

(12)

Répondre

a écrit : Pauvres soldats qui pensaient être tiré d'affaire en rentrant à la maison ! Destination finale : les origines

Posté le

android

(12)

Répondre

a écrit : D'après wikipedia, la locomotive qui tirait les soldats pouvait rouler jusqu'à 110km/h maximum. Trop de monde dans le train , frein qui lâche , la vitesse n'étant plus contrôlée , toujours plus vite , déraillement . Malheureusement logique

Posté le

android

(3)

Répondre

a écrit : Ni la première fois ni la dernière que l'armée déraille ! Un train bondé de soldats qui rentre de la guerre? Pas étonnant que les freins lâchent!

a écrit : C'est quoi le rapport avec le gouvernement ? S'agissait-il d'un sabotage des freins par le gouvernement ?... De plus si la seule différence entre les nations étaient là langue ça ce serait

Posté le

android

(5)

Répondre

Contrairement à ce qu'on peut lire le problème n'était pas le nombre de passager mais le nombre de rame. Ne pouvant véhiculer assez de soldats car ne disposant pas assez de locomotives, la direction des transports aux armées décida de rajouter des voitures à la rame.
Donc
1) c'est pas le gouvernement qui a choisir de rajouter des voitures mais un département militaire.
2) les soldats étaient certainement heureux de ne pas avoir à attendre une journée de plus pour avoir le droit à leur permission. Je rappelle qu'on est en 1917: y avait pas mal de mutinerie, on évitait de contrarier les hommes si on le pouvait.

Posté le

android

(38)

Répondre

Cette anecdote est relate dans le film " un long dimanche de fiançailles " pour ceux qui connaissent.( et pour ceux qui ne connaissent pas, je le recommande)

Posté le

android

(8)

Répondre

a écrit : Le gouvernement les aura traité comme des merdes jusqu'au bout!
Au nom d'une notion nommé patrie alors qu'il n'était séparé de leurs voisins que par la langue.
Écoeurant ton commentaire et les 4 j'aime qui vont avec.
Ce que tu dis est aberrant, un autre commentaire le montre. Mais bon, l'idéologie communiste du 19ème semble t'être encore d'actualité en même temps, ça aide à se persuader que même l'aberration est vérité.

Posté le

android

(11)

Répondre

a écrit : Le gouvernement les aura traité comme des merdes jusqu'au bout!
Au nom d'une notion nommé patrie alors qu'il n'était séparé de leurs voisins que par la langue.
Que par la langue? Déjà que les bretons avaient du mal à se considérer comme français au début du vingtième faut pas aller dire à un Munichois qu'il est comme les français! :p

Posté le

android

(8)

Répondre