Le plus grave accident ferroviaire français s'est déroulé le 12 décembre 1917 à Saint-Michel de Maurienne avec 435 morts. Il s'agissait d'un train de soldats qui rentraient chez eux, et le train était trop bondé : les freins ont lâché, causant une vitesse excessive (150 km/h) et un déraillement.
Commentaires préférés (3)
Pauvres soldats qui pensaient être tiré d'affaire en rentrant à la maison !
Vraiment horrible les soldats étaient déjà détruits par la guerre mais sur le chemin du retour ils meurent tous dans cet accident...reposez en paix !
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Pauvres soldats qui pensaient être tiré d'affaire en rentrant à la maison !
150km/h ? Mais à l'époque qu'elle était la vitesse moyenne d'un train ?
Vraiment horrible les soldats étaient déjà détruits par la guerre mais sur le chemin du retour ils meurent tous dans cet accident...reposez en paix !
Le gouvernement les aura traité comme des merdes jusqu'au bout!
Au nom d'une notion nommé patrie alors qu'il n'était séparé de leurs voisins que par la langue.
Vous êtes sur que le conducteur du train n'était pas un allemand ? Sinon triste pour les soldats qui devaient être joyeux de rentrer chez eux et qui sont morts.
Ni la première fois ni la dernière que l'armée déraille !
Une fin tragique.
Un dénivelé qui amena cette grande vitesse, les wagons ,qui étaient alors à cette époque en bois, brûlèrent encore apres l'accident.
Apres l'horreur de la guerre, ils ont connu une fin tout aussi horrible et en plus, juste avant les fêtes qu'ils auraient pu passer avec leurs proches.
Contrairement à ce qu'on peut lire le problème n'était pas le nombre de passager mais le nombre de rame. Ne pouvant véhiculer assez de soldats car ne disposant pas assez de locomotives, la direction des transports aux armées décida de rajouter des voitures à la rame.
Donc
1) c'est pas le gouvernement qui a choisir de rajouter des voitures mais un département militaire.
2) les soldats étaient certainement heureux de ne pas avoir à attendre une journée de plus pour avoir le droit à leur permission. Je rappelle qu'on est en 1917: y avait pas mal de mutinerie, on évitait de contrarier les hommes si on le pouvait.
Cette anecdote est relate dans le film " un long dimanche de fiançailles " pour ceux qui connaissent.( et pour ceux qui ne connaissent pas, je le recommande)
Ce que tu dis est aberrant, un autre commentaire le montre. Mais bon, l'idéologie communiste du 19ème semble t'être encore d'actualité en même temps, ça aide à se persuader que même l'aberration est vérité.