La seule école d'armurerie de France se trouve à Saint-Etienne, au lycée professionnel Fourneyron. Le choix de cette ville remonte à des siècles, et répond au fait que les matières premières nécessaires à la réalisation des armes se trouvaient à proximité. Les classes accueillent une poignée d'élèves sélectionnés par les professeurs eux-mêmes sur dossier puis entretien personnel.
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Fin 1986, il ne restait en liste que le 92f et le P226 et c'est le 92f qui fût retenu le 7 juillet 1987.
Suite à ça le PAMAS (variante du 92f, différence au niveau de la sûreté qui désarme le chien) fut fabriquer par la MAS, ils ont fait aussi le PAMAS G2 (plus compact) et suite à des accidents de culasse dans les têtes des tireur du à un mauvais alliage de glissière, est apparu le PAMAS G1 S: (le S pour sécuriser) fin 2001 décision de modifier tout les G1 en G1S.
Mais personnellement je ne connais pas les résultats de ces tests, mais si tu en a connaissance j'aimerais bien savoir tes sources, ça m'intéresse.
et quand j’évoquais la richesse , je ne parle pas de la condition ouvrière , je sais très bien, et je l'ais écrit, que st Etienne était la 1ere ville ouvrière de France au 19 eme siècle , mais si il y avait autant d'ouvrier c'est que les industries était fleurissante
et dans se cas certain patrons ont fait des fortunes ,
les Gerentet , balay , staron, et giron , sont les grands profiteurs de la main d'oeuvre et se sont enrichie considérablement
l'industrie du ruban est devenu stephanoise du fait de la proximité de Lyon , ville de la soie qui trouvais la une main d'oeuvre peu organisé et moins exigeante
mais pour l'histoire la révolte des soyeux de Lyon contre leur conditions de travail est de triste mémoire , j'aurais pas plus que rubanière voulu devenir soyeuse
des ouvriers pauvres il y en avait pléthore a Lyon
peuplé d'ouvriers et d'artisans, fabriquant notamment de la soie, surnommés les canuts. La révolte des canuts, à Lyon en France, en 1831, est l'une des grandes insurrections sociales du début de l’ère de la grande industrie. Elle avait été précédée, entre autres en 1819, d’émeutes, écrasées par l'armée, à Vienne lors de l’introduction de nouvelles machines : les ouvriers du textile brisent les nouvelles machines à tisser, à l'image de celle inventée par Jacquard ; car ces machines les concurrencent et les privent de leur gagne-pain.
le 22 novembre 1831 au terme d’une rude bataille – environ 600 victimes dont quelque 100 morts et 263 blessés côté militaire, et 69 morts et 140 blessés côté civil –, les émeutiers se rendent maîtres de la ville que fuient, dans la nuit du 22 au 23 novembre,le maire, Victor Prunelle
les conditions social a Lyon était pas meilleurs que st Etienne
Lyon faisait fortune avec la soie et st Etienne avec le ruban
il y a plus de bourgeoisie a Lyon du faite de la situation géographique de la ville , d'ou son aspect plus spectaculaire par son l'architecture
mais a sainté il y a aussi de belle façade et de belle avenue , même si actuellement la vie est pas reluisante en ville , ses belles façades ils y a eu du "beau monde" pour les faire construire
les ouvriers étaient pauvres , mais on brassait de l'argent ds les salons
tu ira voir rue élisée-reclus le bâtiment de la condition des soie , vestige du prestige de st Etienne au 19 eme siècle
et sur la place de l’hôtel de ville la statue de la rubanerie tenant a la main la navette ( si indispensable a tous rubanier)
mais ca c'etait avant !
Tu y rentre sur concours et le premier truc auquel tu goûte pendant 3 mois c'est la formation militaire, car tu en sort peu être pas Gendarme mais pas loin, tu est tout de même qualifier de sous-officiers du corps de soutien technique et administratif... après cette étape tu pourra être en soutien d'unité opérationnelle de la gendarmerie en France mais aussi en opération extérieur...
Ensuite celons les résultats obtenu de ton concours d'entré et tout, on te propose des spécialités, et il se peut que tu n'ai pas le droit à celle pour quoi tu y est entré: je le sais de source sure, j'ai moi même demander à faire cette formation et on m'a clairement fait comprendre que si mes résultat n'était pas en relation avec la formation souhaiter on m'en proposerait une autre.
J'avais demander pour être réparateur des armes individuelle, et il m'a été dit que si ça se trouve je me retrouverais à l'armement sur les blindés... et même si mes résultat était bon, dans le cas où il n'y avait pas de place d'armurier je ne serais armurier...
Ils sont donc formé à être armurier certes, mais armurier de l'armée: ils seront beaucoup moins polyvalent qu'un armurier civil (le vrai civil). Leurs formations fait un peu moins de 5 mois, le CAP armurerie fait 1 ans et le BMA 2 ans, alors certes c'est l'éducation nationale mais la formation est complètement différente, à l’école de St Etienne, c'est le travail manuel en priorité (le travail du bois de l'acier...), dans l'armée c'est connaitre le fonctionnement de l'armement utilisé par la gendarmerie, tu n'apprends pas à faire une crosse de tes mains par exemple. Donc même si la gendarmerie a du matos, tu verra toujours moins de matériel que dans une armurerie civil qui vend des armes de ces catégorie.
Un armurier civil va savoir réparer une arme militaire alors qu'un armurier du corps de soutiens si tu lui met un fusil artisanal à 100'000€ dans les mains avec un problème je suis quasiment sur qu'il va pas y arriver.
Très grossièrement il n'y a pas une grande variété en type de fonctionnement dans l'armement militaire, alors que dans l'arme de chasse.. entre tout les types de semi-automatique, de superposé, juxtaposé, carabine à verrou.... bref il y a des centaines de mécanique différentes.
Donc pour finir je certifie qu'un "armurier du corps de soutien" sera moins bon qu'un armurier du civil, tout simplement parce qu’il sera enfermer dans un seul type d'arme, son travail sera beaucoup plus répétitif que celui d'un armurier civil.
Exemple: les armes militaires à empreint de gaz, sans entré dans les détails c'est les mêmes mécaniques sur les carabines semi-auto de chasse, alors que va me trouver une mécanique de fusil juxtaposé harmmerless dans les râteliers de la gendarmerie...
pour toi c' est une ville qui a toujours été une ville ouvrière , pauvre et sale
ca me laisse pantoise
et bien, je persiste et signe , l'age d'or de st Etienne c'est le 19 eme siècle quand l'industrie du ruban + l'armurerie et la mine faisaient travaillé des milliers de gens , dégagent de grand bénéfice , si il y a eu 18 maire de st Etienne rubaniers c'est pas anodin
et j'ais jamais comparé la mine au textile , c'est toi qui le fait
mais osé pensé que les ouvriers soyeux était plus heureux que les rubaniers de sainté , les usines étaient les mêmes et les conditions de travail aussi
ps : je suis stephanoise
Elle te parle d'une chose tu parle d'une autre, relis donc ses commentaires, tu n'as pris aucun recul dessus sinon tu comprendrais qu'elle n'a jamais parlé de la richesse des ouvriers ou de la ville en elle même, mais de la richesse dans la diversité des entreprises et si il y'avait tellement d'ouvrier a st etienne c'est bien parce que les entreprises étaient prospères et qu'il fallait de la main d'oeuvre, et derrière la main d'oeuvre il y'a des patrons, qui eux, ont fait fortune.
Elle parle de ça!
Sur ce je m'arrête là car je ne m'y connais en rien sur la ville de st etienne, puis ça vire totalement au hs, mais c'était assez agaçant de voir tes réponses sans rapports (ce que tu y dit est sans doute bien vrai, y'a pas de soucis la dessus, mais elle t'a jamais contredit la dessus, elle parlait d'autre chose)