Il existe un bouton sur les avions Airbus permettant l'amerrissage. Une fois engagé, ce bouton appelé « ditching » active la fermeture de toutes les vannes de ventilation et de pressurisation de l'appareil, et accroît donc sa flottaison. Le fuselage de l'avion étant alors étanche, le temps pour évacuer l'avion avant qu'il ne coule et donc le taux de survie des passagers sont augmentés.
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À 30000 pieds au dessus du pacifique en chute libre, je crois que j'aurais plus besoin d'un bouton de distribution de doses massives de morphine
Mais si les portes sont ouvertes, le renouvellement de l'air peut se faire, donc les passagers vont mourir noyés s'ils ne survivent pas.
Et s'ils survivent, soit ils sont récupérés a temps, soit ils meurent de soif, de faim etc...
Si je dois attendre que la moitié du temps de l'examen pour sortir, je ferais des avions en papiers pendant 1het50min
Il n'existe donc pas de système comparable sur les avions du constructeur Boeing ?
Ils disposent aussi d un mode planeur en cas de panne des reacteurs!
C'est le rapport entre la distance parcourue pour une hauteur perdue.
Ainsi, la forme des ailes des avions de ligne permettent a l'appareil d'avoir une finesse max atteignant 25 (10km d'altitude = 250km parcourus)
Les planeurs de compétition ont une finesse pouvant atteindre presque 70 mais un avion de chasse type M2000 aura une finesse de 5-7 grand max, un parachute encore moins.
Le "mode" dont tu parle sont les actions qu'effectue le pilote pour conserver cette finesse max en jouant sur la vitesse et l'assiette.
Si il y a des pilotes qui peuvent corriger- compléter ou confirmer mes dires, merci
Lors du "miracle de l'Hudson" (amerrissage d'un A320 sur le fleuve Hudson 3 minutes après son décollage de New York), les pilotes ont... oublié ce bouton par manque de temps et concentration intense sur la gestion du vol plané !
il y a un problème à ton anecdote, c'est que si la fermeture de ces vannes empêche l'avion de couler, il n'augmente pas pour autant sa flottaison, puisque cette dernière dépend du rapport entre le volume de l'objet flottant et sa masse, la quantité d'air n'influence donc la flottaison que pour un objet souple, et pas pour un contenant solide tel qu'un avion