Daniel Berreta, doubleur d'Arnold Schwarzenegger, fut choisi de manière assez particulière. En 1987, alors que ce dernier accompagnait un ami, il salua une personne (Jacqueline Porel) qui, interpellée par sa voix, lui demanda de la rappeler en prenant un accent russe et avec une voix plus grave.
En plus de ses doublages cinématographiques, Daniel Berreta accompagna l'acteur lors de ses interviews.
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Mais non, il ne s'agit pas d'une erreur de français.
Le premier et dernier individu dont il est question, c'est berreta.
Schwarzi étant entre virgule, l'anecdote donne ca :
«Daniel Berreta (doubleur d'Arnold Schwarzenegger) fut choisi de manière assez particulière. En 1987, alors que ce dernier accompagnait un ami ......»
Ma logique lorsque j'ai lu le texte : "à qui "ce dernier" fait référence ? Je suppose Schwarzy, c'est le dernier nommé. Oui mais il ne fait pas partie de la proposition principale, il n'y a donc qu'un seul choix possible ! Sauf que s'il n'y avait qu'un choix possible, l'utilisation de "ce dernier" n'aurait pas lieu d'être. Je considère donc qu'il y a plusieurs choix et qu'en l'occurrence c'est le dernier, donc Schwarzy.
La grammaire a des règles c'est vrai, mais après il faut faire un choix entre suivre ces règles jusqu'au bout et choisir la meilleure formulation possible ^^ je dis simplement qu'il y a d'autres manières de le dire, tout aussi justes grammaticalement mais bien plus compréhensibles au premier coup d'oeil.
(Note : je sais très bien que tout ceci n'est que chipotage et que ça ne va rien changer à l'anecdote, mais puisqu'on était lancé dedans autant finir rapidement !)
Je comprends néanmoins que cela puisse vous induire en erreur vu que l'usage grammaticale initial de «ce dernier» est de lever une ambiguïté entre deux choix. Mais la syntaxe ici ne s'y prête pas.
Après c'est plus une histoire de style. Professionnellement je préfère l'usage de «ce dernier», à «celui-ci» qui est trop "littéraire" à mon goût.
(C'est vrai qu'on s'écarte de l'anecdote, désolé j'arrête ;)
Si l'on suit ton raisonnement, on a raison d'utiliser cette anaphore, qui sert à référencer le dernier élément en cas d'ambiguïté, pour désigner le premier et seul élément parce qu'il n'y aurait pas d'ambiguïté...
Ça me semble tordu. Parce que là, au contraire, cela crée une ambiguïté au lieu d'en lever une.
Bon moi aussi, j'arrête.
Par contre chose à retenir... On ne dit pas "doubleur" (ni même doublure d'ailleurs).
La synchro est une corde à l'arc de comédien. Et ce comédien en général ne fait pas que du doublage... on dit donc "comédien" à la limite "comédien faisant du doublage".
D'ailleurs pour info le "doubleur" c'est le studio de doublage.
Un peu comme si dans une pâtisserie, on disait du pâtissier qui s' occupe de faire les tartes c'est un "tarteur"... ça n'a pas de sens et c'est réducteur.
Il double également Sam Fisher le hero du jeux vidéo Splinter Cell
"Alors que ce dernier" dans l'anecdote, le dernier cité étant Schwarzenegger, faut comprendre qu'on parle de l'autre ;-)
Alors c'est lui la fameuse omelette aux oeufs ... :)
Doubleur = patron de boîte de doublage. Lui est la doublure française.