Sur les porte-avions, les avions ne décollent pas uniquement grâce à leur propre force de propulsion, qui est insuffisante pour une si courte distance (75 mètres sur le Charles de Gaulle). Ce sont des catapultes à vapeur qui aident l'avion à atteindre la vitesse nécessaire au décollage. L'avion passera grâce à ces catapultes combinées à sa propre propulsion d'une vitesse de 0 à 250 km/h en 75 mètres.
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Il faut aussi que le porte avions se mette face au vent.
De plus, l' avion pousse ses moteurs à fond (post-combustion enclenchée) et un astucieux dispositif nommé "train -sauteur" en fin de catapulte donne une impulsion verticale au train avant et facilite encore un peu l'envol de l'avion.
Les porte avions américains , qui pour la plupart portent des noms de président américain (oui oui, il y a un USS G.W Bush et il y aura un USS Obama !) sont capables de mettre en l'air 4 gros chasseurs en moins de 2 minutes !
Les Harrier ont en effet un système de tuyère d'éjection très amovible qui leur permet de décoller verticalement.
Sans aller jusqu'au décollage vertical, le F-22 Raptor permet lui aussi un décollage court grâce à ses tuyères à propulsion vectorielle. Propulsion vectorielle qui, aussi longtemps que je puisse m'en souvenir, était une des caractéristiques du célèbre MIG-29 Fulcrum.
Et non bigdoudou , les russes n'ont pas de porte avions mais ims ont des porte aeronefs ... L anecdote est donc exacte. Il n'y a que 3 pays au monde ayant des porte avions : France , USA et Brésil ( avec le Sao paulo , qui n est autre que l ancien porte avion Français Foch )
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Il faut aussi que le porte avions se mette face au vent.
De plus, l' avion pousse ses moteurs à fond (post-combustion enclenchée) et un astucieux dispositif nommé "train -sauteur" en fin de catapulte donne une impulsion verticale au train avant et facilite encore un peu l'envol de l'avion.
Les porte avions américains , qui pour la plupart portent des noms de président américain (oui oui, il y a un USS G.W Bush et il y aura un USS Obama !) sont capables de mettre en l'air 4 gros chasseurs en moins de 2 minutes !
a tout cela il faut ajouter la vitesse de déplacement du porte avion.
C'est pas les anglais qui ont des avions de chasse a "décollage vertical" ?
Les Harrier ont en effet un système de tuyère d'éjection très amovible qui leur permet de décoller verticalement.
Sans aller jusqu'au décollage vertical, le F-22 Raptor permet lui aussi un décollage court grâce à ses tuyères à propulsion vectorielle. Propulsion vectorielle qui, aussi longtemps que je puisse m'en souvenir, était une des caractéristiques du célèbre MIG-29 Fulcrum.
Il y a le F-35 qui lui sera le premier chasseur furtif à décollage court et/ ou vertical.
Cette anecdote n'est vraie que pour les portes-avions de l'OTAN . Les russes n'ont jamais reussi à mettre au point les catapultes et préfèrent une piste plus longue curvée vers le haut en bout de piste. L'avantage pour les russes est l'absence de maintenace. Merci de corriger l'anecdote.
Et non bigdoudou , les russes n'ont pas de porte avions mais ims ont des porte aeronefs ... L anecdote est donc exacte. Il n'y a que 3 pays au monde ayant des porte avions : France , USA et Brésil ( avec le Sao paulo , qui n est autre que l ancien porte avion Français Foch )
Mais le systeme que tu as décrit est vrai aussi ...;)
L'anecdote est surement vraie dans la mesure où par définition, un porte-avion est un bâtiment qui comporte des catapultes, à la différence d'un porte-aéronef qui n'en dispose pas.
Il faut aussi prendre en compte la vitesse du porte-avion et la force du vent de face (le PA se place "debout" au vent) qui permettent de gagner encore quelques nœuds non négligeables lors d'un décollage.
De même pour l'appontage (= atterrissage sur le pont d'envol) les avions accrochent un gros câble tendu pour pouvoir décélérer suffisamment vite
Pour l'appontage c'est un système de câbles flexibles fixés au raz du pont qui servent à freiner les avions. Autrefois ces câbles élastiques servaient aussi de "catapulte" pour le lancement mais sur les portes avions actuels le décollage et l'appontage se font sur deux "pistes" distinctes, celle de décollage étant plus courte.
Il me semble qu'un décollage de Harrier a la verticale sur un pont d'envole fait des dégâts (brûlure notamment)
De plus le Charles De Gaule atteint sa vitesse maximum pour que l'écart de vitesse entre l'avion et lui soit moindre de sorte que l'avion reste le plus longtemps possible sur le pont
On peut aussi noter que la piste de décollage est différente de la piste d'appontage, et orientée dans le même sens que la marche du bateau. Cela permet d'ajouter les environ 20 nœuds (~35km/h) de vent de face générés par la vitesse de croisière du porte-avions, et ainsi d'augmenter la vitesse de l'avion dans l'air ce qui lui permet de décoller plus facilement.
En plus de ça, le pilote doit chercher à cabrer rapidement son appareil, ainsi, la puissante poussée des réacteurs orientée légèrement vers le haut contribue à faire décoller l'avion.
La bonne recette d'un "catshot" (décollage catapulté depuis un porte-avions) réussi : gaz à fond, volets à 50%, et on lâche la catapulte.
@johnkafé : petite précision sur l'utilisation du train sauteur.
Il ne permet pas de faciliter le décollage mais est utilisé afin d'obtenir automatiquement la bonne incidence après envol. En France seul le rafal M possède ce type de train. Aussi pendant tout le catapultage le pilote " ne touche à rien ".
Un autre systeme hydrolique est quand a lui utilisé pour l'atterissagage (rangés de cables perpendiculaires a la piste)