Durant le Tour de France 1950, Abdel-Kader Zaaf, cycliste algérien, eut un malaise et s'écroula sur le bord de la route. Des vignerons qui se trouvaient là l'adossèrent à un arbre, et n'ayant pas d'eau, l'aspergèrent de vin. Empestant le vin, il reprit la course, mais en sens inverse et finit par croiser la voiture balai.

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Quelle remarque ridicule. Il était algérien, que le pays appartenait à la France ou non.
Merci
Depuis quand la religion c'est une nationalité?
Et donc on ne peut pas être un coureur Alsacien parce que l'Alsace est française par exemple ?
Plutôt "énervement". Énervé se dira plus "za ´fan" (la lettre ´ correspond au début de Aicha, sans équivalent en français).
C'est de la faute à la poire !!!
Ah le film La vache, je viens de le voir, très sympa ! (désolée pour le hors sujet)
C'est pas faux!
Les 2 orthographes coexistent
Mais n'ont pas le même sens !
+1 vous avez tout dit
On était en 1950, le Tour de France n'était pas ce qu'il est aujourd'hui. Il n'y avait pas des rangées de spectateurs tout le long du trajet, des hélicoptères pour filmer depuis le ciel et des ambulances derrière. D'ailleurs, de nos jours, ce ne sont probablement pas des riverains qui l'auraient secouru avec les moyens du bord, mais des équipes médicales qui auraient surgi dans la minute qui suit.