Bien que souvent utilisé, "un espèce de ..." n'est pas correct. En effet, une espèce est féminin et le reste quel que soit le genre du complément qui l'accompagne. Ainsi, on dira bien "une espèce de camion" et non "un espèce de camion".
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Bien que souvent utilisé, "un espèce de ..." n'est pas correct. En effet, une espèce est féminin et le reste quel que soit le genre du complément qui l'accompagne. Ainsi, on dira bien "une espèce de camion" et non "un espèce de camion".
Tous les commentaires (48)
En fait ça peut marcher dans une phrase du genre
Un espèce de petit sacripant
Mais ça marche mieux avec une phrase québécoise
Un espèce de p’tit criss
Pour prendre un exemple qui n'a concrètement pas beaucoup de points communs, je tique à chaque fois que j'entends "malgré que" ou bien "malgré le fait que", qu'il convient de remplacer simplement par "même si". Ou bien s'il s'agit d'énoncer un ou des éléments, nous pouvons simplement dire "malgré (le/la/les...)".
Voici un lien sur le bon usage du subjonctif.
fr.m.wikipedia.org/wiki/Subjonctif
Déjà que j'ai du mal à déceler l'ironie dans une conversation, alors dans un texte écrit... :/
C'est pas comme ça que ça marche. Une langue est faite par les gens qui la parlent, pas par quarante vieillards qui choisissent arbitrairement ce qui leur plaît. "Un espèce de" est une expression très courante, elle fait donc partie du français.
Ça doit sûrement dépendre des régions car je ne l'ai jamais entendu masculinisé chez moi (Lyon). J'ai toujours dis "une espèce de camion"...
C'est moi ou c'est parfaitement évident quand on sait parler sa langue... ? -_-
La dégradation de la langue Française vient cette fois... de l’anecdote. Qui est juste fausse.
UN espèce de est parfaitement valable mais indique l’insulte.
Alors que UNE espèce indique l’espèce.
La langue Française, ça sert à ça : faire des nuances.
Un espèce = une sorte de
Une espèce = le regroupement d’individus dont la descendance est biologiquement interféconde.
C’est seulement que celui qui a rédigé l’anecdote ne consulte que des règles « pêtes sec » qui ne spécifie pas les usages des insultes ou le langage grossier.
Qui reste du Français quand même ! Il n’y a même rien de plus marrant que de corriger les fautes dans une insulte :p
En l’occurrence quelqu’un qui dit « une espèce de connard » se trompe, on ne parle pas du groupe mais de l’individu.
c’est « un espèce de connard » qu’il faut dire pour insulter correctement le type.
Même pour une insulte, espèce est féminin.
www.larousse.fr/dictionnaires/francais/espèce/31030
Une anecdote qui reprend une règle de français... Quel intérêt ?
J'ai malheureusement de plus en plus le sentiment qu'on commence à tourner en rond...
Le nombre de personnes qui le savaient déjà en est le reflet
On est encore loin d’un novlangue imposél
Ça ne suffisait plus de corriger l'orthographe et la grammaire dans les commentaires, maintenant il faut une anecdote pour soi-disant nous apprendre quelque chose que tout un chacun devrait savoir depuis la primaire. Triste époque pour notre langue française...
Pour la leçon de demain, nous apprendrons que les participes passés s'accordent avec l'emploi du verbe "être".
Bon après, c'est généralement les mêmes qui disent "c'est qu'est-ce que je voulais" ou "ils croivent". Dans le genre "agression des oreilles", c'est champion...