Ce que nous désignons communément comme étant des "accoudoirs" sur les chaises et fauteuils sont en réalité des accotoirs. Les accoudoirs étaient en fait la partie horizontale sur le haut du dossier d'un siège où l'on s'accoude. Une "chaise prie dieu" en est la parfaite illustration.
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Je vais reprendre tellement de monde grâce à ça MHUHAHAHAHAHAAHAHAHAHAAH
A l'origine l'accoudoir désignait le sommet capitonné du dossier d'un siège conçu pour s'y reposer les coudes, mais désormais il s'agit de toute partie sur laquelle on peut appuyer le coude ou le bras.
www.larousse.fr/dictionnaires/francais/accoudoir/513
fr.wikipedia.org/wiki/Accoudoir
www.cnrtl.fr/definition/accoudoir
Toute notre vie n'est que mensonges et désillusions :'(
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Je vais reprendre tellement de monde grâce à ça MHUHAHAHAHAHAAHAHAHAHAAH
A l'origine l'accoudoir désignait le sommet capitonné du dossier d'un siège conçu pour s'y reposer les coudes, mais désormais il s'agit de toute partie sur laquelle on peut appuyer le coude ou le bras.
www.larousse.fr/dictionnaires/francais/accoudoir/513
fr.wikipedia.org/wiki/Accoudoir
www.cnrtl.fr/definition/accoudoir
Mais les accotoirs de fauteuils sont aussi des accoudoirs. Merci pour le vocabulaire mais l'utilisation d'accoudoir reste correcte
Toute notre vie n'est que mensonges et désillusions :'(
Mais à l'origine c’était bien pour désigner un autre élément.
Prie-Dieu s'écrit avec un trait d'union et une majuscule à Dieu (par respect). C'était un mot invariable car les verbes ne prennent pas la marque du pluriel et on prie un seul Dieu même s'il y a plusieurs chaises, mais la réforme de l'orthographe autorise désormais à mettre un s au pluriel pour tous les noms composés donc on peut maintenant écrire: des prie-Dieus...
Si on attend l'Académie, on peut considérer que très peu de personnes parlent correctement français :
S'avérer faux
Danger potentiel
De manière à ce que
Se rappeler de
Elle s'est permise de
Les heures de sont succédées
Suite à
Trop mauvais
Après que je sois
C'est de cela dont je parle
Nous avions convenu de
...
Tout ça c'est erroné
Intéressant et surprenant que les accoudoirs sur lesquels on pose ses coudes s'appelle accotoirs.
D'un autre côté, une chaise ne s'appelle pas un "aculoir" et pourtant c'est bien son cul qu'on y pose.
Car comme disait je ne sais plus qui :
"Si haut que soit un trône, on y est toujours assis que sur son cul"
Je vais garder le mot accoudoirs car j'ai des choses plus importantes à penser et je ne veux pas me faire détester par mes semblables :) 'Ah non ce ne sont pas des accoudoirs...'
Petit complément : un accotoir est nommé ainsi car à l’époque de la cour, les femmes portaient des robes avec des armatures et une fois assises, elles n’avaient la possibilité de poser que leurs côtes et non leurs coudes.
Source : mes cours d’histoire de l’art en tapisserie d’ameublement
- On (se) rappelle quelque chose et on se souvient DE quelque chose (c'est la construction des verbes en question qui veut ça. Ils impliquent ou non des compléments de différentes natures)
- Elle s'est permis de : Là il est question de l'accord du participe passé et c'est pas compliqué mais il y a tellement de règles différentes que c'est assez ardu à expliquer. Déjà là il s'agit pas du verbe "permettre", auquel cas on pourrait avoir (bien que la phrase sonne bizarre sans contexte) "elle s'est permise". Il y aurait accord entre le participe passé "permise" et le COD (complément d'objet direct) "s' " (Elle a permis quoi ? Elle a permis elle-même).
(Mais on dira plutôt "elle a été permise grâce à..." par exemple. )
Ici on a le verbe pronominal "se permettre" qui n'a pas le même sens que "permettre" (et "se" n'a pas le même statut que dans l'exemple du dessus) qui implique forcément un complément APRÈS le verbe.
Comme on a l'auxiliaire être on pourrait se dire qu'il doit y avoir accord (comme pour l'exemple du dessus, ou pour "les fruits se sont venduS", "elles se sont embrasséES" qui font appel à différentes règles). Or ici le complément est forcément un COI (complément d'objet indirect) : on se permet [DE + verbe à l'infinitif] donc pas d'accord.
Bon j'avoue cette explication est un peu brouillon (les souvenirs sont loin) mais ça nécessiterait un pavé d'expliquer convenablement les règles d'accord des verbes pronominaux. Je peux le faire à part si tu veux :)
-Trop mauvais : Là c'est une supposition mais je pense que, question de logique, le sens de "trop" (= excès) fait que quelque chose ne peut pas être TROP mauvais, comme ça ne peut pas être "trop" bon (ça deviendrait même négatif dans ce cas). C'est très bon/mauvais, extrêmement bon/mauvais, mais pas "trop". Par contre dire "c'est trop mauvais POUR être sélectionné", par exemple, ne me paraît pas illogique puisqu'il y a bien notion d'excès par rapport à quelque chose.
-Après que je suis : Après que + indicatif ; avant que + subjontif. Là encore question de sens, et aussi de valeurs des modes verbaux. Quand tu dis "après que je suis allé au cinéma j'ai dîné au restaurant" ça veut dire que le moment dont tu parles (ton dîner) se passe après ton action d'aller au ciné. Tu y es déjà allé, donc c'est quelque chose de certain, d'accompli, de vrai. Quand tu dis "la séance s'est terminée juste avant que j'y sois allé", le moment dont tu parles (la fin de la séance) a lieu avant ton action et rien ne dit que tu a accompli cette action par la suite : ici rien ne dit que tu y sois effectivement allé. On peut très bien imaginer qu'un ami t'a prévenu de la fin de la séance et que par conséquent tu n'as pas eu à te déplacer.
-C'est cela dont je parle : "dont" c'est un pronom relatif comme "que" mais qui a une double fonction, celle de préposition et celle de pronom relatif : c'est une combinaison "de + que".
En fait la structure canonique (structure de base de la phrase en français, sujet-verbe-objet) est "je parle DE cela" avec la préposition DE, ("cela" est donc COI).
Donc quand on modifie la phrase pour avoir une subordonnée relative, l'utilisation de "dont" suffit à retrouver la préposition. Dire "c'est de cela dont je parle" ça fait répéter inutilement la préposition "de".
Par exemple :
Bidule dit "Je te parle de + la séance d'hier, pas de celle de la semaine passée"
Machin répond "Oui, c'est la séance DONT je parle aussi" (Littéralement = "c'est DE la séance (d'hier) QUE je parle")
Mais si Truc demande à Muche : "DE quoi parlent-ils ?" Alors Muche produit des énoncés grammaticaux en disant "Il est question DE la séance d'hier" ou "C'est DE la séance d'hier QU'ils parlent".
J'ai pris un mot féminin pour simplifier l'exemple mais on aurait exactement le même fonctionnement avec "je parle du match", il faut juste avoir en tête que "du" = "de le" (comme "des" = "de les").
Bon en relisant je me rends compte que c'est vachement brouillon et que mes exemples sont un peu bancals... S'il y a besoin que je reformule hésite pas !
Moi je vote et je dis l'accoudotoir...