Je le savais déjà grace à un des livres de Pierre Bellemare :)

«Ce fut la première fois qu'un assassin fut confondu par ses empreintes digitales.» En France *

En effet, bien que Bertillon ai inventé une technique d'identification criminelle dans les années 1870 (le «bertillonage») par la mise en place pour la première fois d'un fichier national des criminels (en y répertoriant photos, mensurations etc), celui-ci n'incluait pas à l'origine les empreintes digitales.

Il faudra attendre 1880, où l'écossais Henry Faulds confondra pour la première fois dans le monde un criminel grâce à ses empreintes digitales.

Au vue de l'efficacité et l'infaillibilité d'une telle méthode, l'utilisation dans le milieu judiciaire des empreintes digitales naîtra d'abord en Argentine en 1891, puis convaincra Scotland Yard en 1901 avant de conquérir la France en 1904 (même si Bertillon l'utilisait déjà officieusement. Là les dates concernent l'officialisation de la méthode au niveau national. Voilà je chipote)

Depuis 2010, le FAED (Fichier Automatisé des Empreintes Digitales en France) est complété avec les empreintes dites palmaires, càd de la paume de la main ; empreintes recensées grâce à la carte d'identité ou au passeport de chaque français. Il me semble d'ailleurs qu'un terroriste français avait être confondu dans une vidéo où il était pourtant masqué juste grâce aux empreintes de ses veines de la main visibles sur ladite vidéo (je n'en sais pas plus pour le coup).

Ceci est un très très bref résumé de la partie historique de la source Wiki qui est vraiment intéressante.

J'en profite pour dire que, toujours selon Wiki, les empreintes digitales étaient utilisées déjà sur des poteries préhistoriques et servaient «de signature aux Babyloniens dès -5000, et aux Chinois dès -1900». C'est dire si on savait (ou du moins qu'on avait une vague idée de) l'unicité des empreintes digitales depuis longtemps.

Voilà désolé du pavé et du pure résumé sans apport de connaissances perso mais c'est un sujet qui semble très intéressant et je vous invite à en apprendre bien plus sur Professeur Wiki.

Theoetjb a écrit : «Ce fut la première fois qu'un assassin fut confondu par ses empreintes digitales.» En France *

En effet, bien que Bertillon ai inventé une technique d'identification criminelle dans les années 1870 (le «bertillonage») par la mise en place pour la première fois d'un fichier national des criminels (en y répertoriant photos, mensurations etc), celui-ci n'incluait pas à l'origine les empreintes digitales.

Il faudra attendre 1880, où l'écossais Henry Faulds confondra pour la première fois dans le monde un criminel grâce à ses empreintes digitales.

Au vue de l'efficacité et l'infaillibilité d'une telle méthode, l'utilisation dans le milieu judiciaire des empreintes digitales naîtra d'abord en Argentine en 1891, puis convaincra Scotland Yard en 1901 avant de conquérir la France en 1904 (même si Bertillon l'utilisait déjà officieusement. Là les dates concernent l'officialisation de la méthode au niveau national. Voilà je chipote)

Depuis 2010, le FAED (Fichier Automatisé des Empreintes Digitales en France) est complété avec les empreintes dites palmaires, càd de la paume de la main ; empreintes recensées grâce à la carte d'identité ou au passeport de chaque français. Il me semble d'ailleurs qu'un terroriste français avait être confondu dans une vidéo où il était pourtant masqué juste grâce aux empreintes de ses veines de la main visibles sur ladite vidéo (je n'en sais pas plus pour le coup).

Ceci est un très très bref résumé de la partie historique de la source Wiki qui est vraiment intéressante.

J'en profite pour dire que, toujours selon Wiki, les empreintes digitales étaient utilisées déjà sur des poteries préhistoriques et servaient «de signature aux Babyloniens dès -5000, et aux Chinois dès -1900». C'est dire si on savait (ou du moins qu'on avait une vague idée de) l'unicité des empreintes digitales depuis longtemps.

Voilà désolé du pavé et du pure résumé sans apport de connaissances perso mais c'est un sujet qui semble très intéressant et je vous invite à en apprendre bien plus sur Professeur Wiki. Afficher tout Pour la petite histoire en Argentine, il s'agit de l'assassinat des deux enfants de Francisca Rojas, une femme de 27 ans vivant à Necochea. On l'a retrouvée avec une coupure à la gorge et elle a accusé son voisin Pedro Velázquez du meurtre car elle refusait ses avances. L'inspecteur Alvarez, en charge de l'enquête, a constaté que Velázquez avait un alibi solide et a en plus retrouvé une empreinte de doigt ensanglantée sur l'embrasure de la porte de la maison de Mme Rojas. Après comparaison, il s'est rendu compte que non seulement l'empreinte ne correspondait pas à celle de Velázquez mais qu'en plus il s'agissait de celle de Francisca Rojas. Cette dernière a ainsi été confondue par cette empreinte et a reconnu les meurtres. Elle a été reconnue coupable du double infanticide, l'ayant commis pour son amant qui lui aurait dit que sans ses enfants, il vivrait avec elle. Cette affaire, en plus d'être novatrice et un succès, mena l'Argentine à être le premier pays à abandonner l'anthropométrie judiciaire (mensurations des criminels) pour remplir les dossiers des criminels avec leurs empreintes digitales

Haaa la bonne époque

Hahaha ! Abby n'a qu'à bien se tenir !!

Il aurait fait un malheur chez les experts

Je le savais déjà grace à un des livres de Pierre Bellemare :)

Travaux qui serviront plus tard à la police mobile aka "brigades du tigres" précurseurs dans les méthodes d'investigation moderne et du fichage criminel

Bertillon c'est un des heros "des brigades du tigre " le feuilleton, un tres bon souvenir,

«Ce fut la première fois qu'un assassin fut confondu par ses empreintes digitales.» En France *

En effet, bien que Bertillon ai inventé une technique d'identification criminelle dans les années 1870 (le «bertillonage») par la mise en place pour la première fois d'un fichier national des criminels (en y répertoriant photos, mensurations etc), celui-ci n'incluait pas à l'origine les empreintes digitales.

Il faudra attendre 1880, où l'écossais Henry Faulds confondra pour la première fois dans le monde un criminel grâce à ses empreintes digitales.

Au vue de l'efficacité et l'infaillibilité d'une telle méthode, l'utilisation dans le milieu judiciaire des empreintes digitales naîtra d'abord en Argentine en 1891, puis convaincra Scotland Yard en 1901 avant de conquérir la France en 1904 (même si Bertillon l'utilisait déjà officieusement. Là les dates concernent l'officialisation de la méthode au niveau national. Voilà je chipote)

Depuis 2010, le FAED (Fichier Automatisé des Empreintes Digitales en France) est complété avec les empreintes dites palmaires, càd de la paume de la main ; empreintes recensées grâce à la carte d'identité ou au passeport de chaque français. Il me semble d'ailleurs qu'un terroriste français avait être confondu dans une vidéo où il était pourtant masqué juste grâce aux empreintes de ses veines de la main visibles sur ladite vidéo (je n'en sais pas plus pour le coup).

Ceci est un très très bref résumé de la partie historique de la source Wiki qui est vraiment intéressante.

J'en profite pour dire que, toujours selon Wiki, les empreintes digitales étaient utilisées déjà sur des poteries préhistoriques et servaient «de signature aux Babyloniens dès -5000, et aux Chinois dès -1900». C'est dire si on savait (ou du moins qu'on avait une vague idée de) l'unicité des empreintes digitales depuis longtemps.

Voilà désolé du pavé et du pure résumé sans apport de connaissances perso mais c'est un sujet qui semble très intéressant et je vous invite à en apprendre bien plus sur Professeur Wiki.

Theoetjb a écrit : «Ce fut la première fois qu'un assassin fut confondu par ses empreintes digitales.» En France *

En effet, bien que Bertillon ai inventé une technique d'identification criminelle dans les années 1870 (le «bertillonage») par la mise en place pour la première fois d'un fichier national des criminels (en y répertoriant photos, mensurations etc), celui-ci n'incluait pas à l'origine les empreintes digitales.

Il faudra attendre 1880, où l'écossais Henry Faulds confondra pour la première fois dans le monde un criminel grâce à ses empreintes digitales.

Au vue de l'efficacité et l'infaillibilité d'une telle méthode, l'utilisation dans le milieu judiciaire des empreintes digitales naîtra d'abord en Argentine en 1891, puis convaincra Scotland Yard en 1901 avant de conquérir la France en 1904 (même si Bertillon l'utilisait déjà officieusement. Là les dates concernent l'officialisation de la méthode au niveau national. Voilà je chipote)

Depuis 2010, le FAED (Fichier Automatisé des Empreintes Digitales en France) est complété avec les empreintes dites palmaires, càd de la paume de la main ; empreintes recensées grâce à la carte d'identité ou au passeport de chaque français. Il me semble d'ailleurs qu'un terroriste français avait être confondu dans une vidéo où il était pourtant masqué juste grâce aux empreintes de ses veines de la main visibles sur ladite vidéo (je n'en sais pas plus pour le coup).

Ceci est un très très bref résumé de la partie historique de la source Wiki qui est vraiment intéressante.

J'en profite pour dire que, toujours selon Wiki, les empreintes digitales étaient utilisées déjà sur des poteries préhistoriques et servaient «de signature aux Babyloniens dès -5000, et aux Chinois dès -1900». C'est dire si on savait (ou du moins qu'on avait une vague idée de) l'unicité des empreintes digitales depuis longtemps.

Voilà désolé du pavé et du pure résumé sans apport de connaissances perso mais c'est un sujet qui semble très intéressant et je vous invite à en apprendre bien plus sur Professeur Wiki. Afficher tout Pour la petite histoire en Argentine, il s'agit de l'assassinat des deux enfants de Francisca Rojas, une femme de 27 ans vivant à Necochea. On l'a retrouvée avec une coupure à la gorge et elle a accusé son voisin Pedro Velázquez du meurtre car elle refusait ses avances. L'inspecteur Alvarez, en charge de l'enquête, a constaté que Velázquez avait un alibi solide et a en plus retrouvé une empreinte de doigt ensanglantée sur l'embrasure de la porte de la maison de Mme Rojas. Après comparaison, il s'est rendu compte que non seulement l'empreinte ne correspondait pas à celle de Velázquez mais qu'en plus il s'agissait de celle de Francisca Rojas. Cette dernière a ainsi été confondue par cette empreinte et a reconnu les meurtres. Elle a été reconnue coupable du double infanticide, l'ayant commis pour son amant qui lui aurait dit que sans ses enfants, il vivrait avec elle. Cette affaire, en plus d'être novatrice et un succès, mena l'Argentine à être le premier pays à abandonner l'anthropométrie judiciaire (mensurations des criminels) pour remplir les dossiers des criminels avec leurs empreintes digitales

ça m'etonne qu'il ai fallait atendre si longtemps pour avoir les premieres notions d'empreinte digitales lors d'enquetes. les loupes éxistaient deja depuis longtemps ...

Toady a écrit : Pour la petite histoire en Argentine, il s'agit de l'assassinat des deux enfants de Francisca Rojas, une femme de 27 ans vivant à Necochea. On l'a retrouvée avec une coupure à la gorge et elle a accusé son voisin Pedro Velázquez du meurtre car elle refusait ses avances. L'inspecteur Alvarez, en charge de l'enquête, a constaté que Velázquez avait un alibi solide et a en plus retrouvé une empreinte de doigt ensanglantée sur l'embrasure de la porte de la maison de Mme Rojas. Après comparaison, il s'est rendu compte que non seulement l'empreinte ne correspondait pas à celle de Velázquez mais qu'en plus il s'agissait de celle de Francisca Rojas. Cette dernière a ainsi été confondue par cette empreinte et a reconnu les meurtres. Elle a été reconnue coupable du double infanticide, l'ayant commis pour son amant qui lui aurait dit que sans ses enfants, il vivrait avec elle. Cette affaire, en plus d'être novatrice et un succès, mena l'Argentine à être le premier pays à abandonner l'anthropométrie judiciaire (mensurations des criminels) pour remplir les dossiers des criminels avec leurs empreintes digitales Afficher tout Tu as quand même spolié la fin avec l'empreinte à Mme Rojas.