Lors d'un accident nucléaire, il est courant de donner de l'iode aux populations exposées. L'ingestion permet de saturer la thyroïde en iode stable selon le principe de l'absorption sélective. L'iode radioactive ne pourra alors plus être absorbée par l'organisme déjà saturé en minéraux stables.
Commentaires préférés (3)
JLSD! Vivant à proximité d’une centrale Nucléaire. Toute la population proche dispose de gélule d’iode chez eux.
En effet, aucun moyen pour des éléments radioactifs plus gros sous forme d'ions de rentrer dans les cellules, il existe des canaux a iode (appelle pendrine) mais pas de canaux a uranium.
Personnellement à choisir entre le nucléaire qui est foireux quand ça se passe mal et qui fait du jus pas trop cher et le charbon qui est foireux quoi qu'il arrive et qui fait de l'électricité plus chère j'ai choisi mon poison.
Bien sûr je prie pour qu'on fasse de rapides progrès dans le traitement des déchets histoire de faire mieux que les enterrer dans les pays du Sud et qu'on développe de meilleurs réacteurs, genre réacteurs à fusion nucléaire, qui seraient plus sûrs, moins polluants et auraient un bien meilleur rendement.
Tous les commentaires (79)
JLSD! Vivant à proximité d’une centrale Nucléaire. Toute la population proche dispose de gélule d’iode chez eux.
Dingue toutes ces anecdotes liés au nucléaire! Encore heureux qu’on ne l’utilise pas tant que ça. Oh wait...
Vivre à côté d’une centrale nucléaire n’augmente pas vraiment l’exposition aux rayonnements. Une radio du thorax expose à 1 000 fois plus de rayonnement que vivre à côté de la centrale pendant 1 an.
En effet, aucun moyen pour des éléments radioactifs plus gros sous forme d'ions de rentrer dans les cellules, il existe des canaux a iode (appelle pendrine) mais pas de canaux a uranium.
Personnellement à choisir entre le nucléaire qui est foireux quand ça se passe mal et qui fait du jus pas trop cher et le charbon qui est foireux quoi qu'il arrive et qui fait de l'électricité plus chère j'ai choisi mon poison.
Bien sûr je prie pour qu'on fasse de rapides progrès dans le traitement des déchets histoire de faire mieux que les enterrer dans les pays du Sud et qu'on développe de meilleurs réacteurs, genre réacteurs à fusion nucléaire, qui seraient plus sûrs, moins polluants et auraient un bien meilleur rendement.
De source d'une personne travaillant au sein des autorités sanitaires françaises, en cas d'un Chernobyl chez nous, il n'y aura pas de l'iode pour tout le monde. Les plus jeunes seront prioritaires. Si ce n'est pas votre cas, mieux vaut en avoir une petite boite à la maison, au prix que ça coûte, ça rassure !
Attention quand même à prendre la dose recommandée et ne pas s'intoxiquer avec une dose trop forte... C'est arrivé lors d'alertes que des gens paniqués absorbent tout le flacon d'un coup...
D'ailleurs, en terme d'émissions de CO² et autres gaz prétendument « nocifs », la France figure parmi les rares pays « propres » et respectant ses engagements, plus serait inutile, aussi inutile que de faire un potager bio entre une usine pétrochimique et une déchetterie. Et les mêmes Allemands sont bien contents lorsqu'ils ont la possibilité d'acheter une peu de notre « vilain nucléaire » pour faire baisser leur chiffre d'émissions de gaz à effet de serre.
À titre personnel, je suis pour une écologie véritable, celle des petits villages autogérés, avec potagers et moulins, celle qui remet en avant les pratiques ancestrales en y apportant quelques évolutions techniques. Mais ce qu'on a coutume d'appeler aujourd'hui « écologie » est une blague. C'est l'un des trois dogmes du triptyque d'extrême-gauche, avec le « vivre-ensemble » et le « féminisme ». Concepts mortifères dont le seul objectif est la décadence et l'asservissement de l'Occident.
Il nous reste encore beaucoup de travail pour maîtriser pleinement l'atome et en exploiter le potentiel énergétique dans son entièreté, même chose avec le traitement de déchets, cependant on voit des innovations poindre de temps à autre et ce n'est pas en diminuant voire en éradiquant les subventions pro-nucléaire qu'on risque de trouver des solutions.
Faute de grives, on mange des merles ; mais cela faut toujours mieux que de se laisser mourir en refusant d'en manger, n'est-ce pas ?
Par contre le deuxième me laisse un sentiment étrange. Comme si, derrière ces jolis mots se cache une petite pointe de xénophobie...
Je me trompe sûrement.