Le syndrome de la schtroumpfette décrit comment dans les arts et les médias, l'unique personnage féminin dans une communauté masculine tend à être stéréotypé et défini par son seul genre. Ce syndrome est récurrent dans le cinéma et la télévision.
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Le syndrome de la schtroumpfette décrit comment dans les arts et les médias, l'unique personnage féminin dans une communauté masculine tend à être stéréotypé et défini par son seul genre. Ce syndrome est récurrent dans le cinéma et la télévision.
Tous les commentaires (96)
Du coup je suis aller faire un tour dehors, j'ai regardé une vidéo de la petite maison dans la prairie et comme le jdg ça m'a encore plus énervé.
Bref c'est beau de s'inscrire ici pour défendre la cause du féminisme (noble cause au passage) mais on se passera de votre discours passif agressif.
Pour reprendre le passage de la femme enceinte si on ne peut plus rire gentiment, je vous garanti que je n'aurais pas tenu plus d'une semaine avec ma collègue enceinte qui avait de folles envies de concombre à toute heure de la journée en mode aléatoire et me bloquant sur des sujets importants. Oui je l'ai soutenu, non je ne l'ai pas aidé à trouver de concombre.
Et tant que j'y suis les femmes savent être toxiques. C'est moi qui cuisine et pourtant ma belle mère ne cesse de dire que je ne cuisine pas et que je ne sais pas cuisiner car je suis un homme mais que je suis forcément bordélique . Pourtant à chaque fois elle finit mes assiettes et je range mes affaires (sauf les chaussettes qui aiment faire un tour).
Et 1 mois plus tard rebelotte elle remet ça. Alors oui c'est chiant aussi. Et ce n'est qu'un exemple.
Mais j'imagine que mon expérience ne compte pas car n'a pas de valeur comme vous le dites. Donc du coup on oublie et on passe si je suis un tel raisonnement. Après tout je suis un homme blanc. Je suis de par nature un malandrin.
Ton agressivité et ton absence de remise en question sur tes quelques commentaires, qui dénotent clairement de tes habitudes, montrent que ta réflexion sur le sujet n'est que partielle, et/ou de mauvaise foi.
M'enfin, c'est une évidence que la femme est cantonnée à son statut de femme dans énormément de cas dans notre société ! Et je ne parle pas du reste du monde...
Et attention, si elle cherche le dépassement de fonction, y'a une flopée de beaux penseurs, hommes et femmes d'ailleurs, qui seront là pour la lyncher en place publique, la traitant de "femen" ou autres qualificatifs stigmatisants.
Dès lors, l'effet de masse et la méconnaissance du problème par les tiers prend la relève.
Alors qu'au départ, c'est juste une femme qui veut faire un truc, comme tout le monde...
Les shtroumphs sont blindés de stéréotypes sociaux. Shtroumph a lunette, shtroumph gorgnon etc ... Je crois que la Schtroumpfette a été rajoutée parce qu’on se demandait si c’était les village people ... un genre pas trop super pour des gosses
Tous ceux qui voient les femmes comme le “sexe faible” n’ont jamais été en couple je vous le dis! Elles ont une force mentale inégalable
Je ne suis pas non plus fan des films militants qui en font trop.
Pour changer la place de la femme et atteindre l'égalité il faut des exemples à suivre.
L'image de la femme dans culture par exemple est un début mais pas que, ça rentre dans un ensemble.
Je me répète, l’image de l’humain dans les médias est stéréotypée que ce soit une femme, un homme, un enfant, un vieux, etc. Et ces stéréotypes sont issus de facteurs sociaux mélangés à des restes de caractères évolutifs (les homo sapiens sapiens ne sont pas apparus en une fraction de seconde). Si les médias choisissent certains stéréotypes, c’est qu’ils titillent nos instincts les plus primaires pour nous faire consommer, acheter, regarder, etc. Ce n’est certainement pas dans l’unique but de rabaisser la femme à tout prix en tant qu’objet. Les publicitaires ont bien mieux à faire.
Ce sujet m’énerve d’autant plus que les films actuels avec des femmes type le reboot de ghost buster ou ocean 12 se veulent féministe alors que les actrices ont principalement été engagées parce qu’elles sont des femmes. Ce n’est pas avoir un personnage uniquement défini par son genre ça ?
L'argument du pire n'est pas bon. Ce n'est pas grave si je tue une personne, il y a pire ailleurs. Tu comprends le côté fallacieux de cet argument ?
Je te rejoint sur ces films soit-disant féministes.
De la même manière, un petit garçon pourra exercer un métier soi-disant genré "féminin" type couturière, styliste ou journaliste. Il sera tout autant décrié et embêté par certaines au cours du processus.
Vous me reprochez de généraliser mes expériences alors que vous-même généralisez à l'ensemble des hommes le comportement toxique d'une poignée.
Pour ma femme, je la soutiendrais dans n'importe lequel de ces choix ou de ces comportements. Mais nier des comportements réels sous prétexte qu'ils sont genrés et donc soi-disants discriminants est contre-productif envers l'équité dans notre société.
En fait en relisant les commentaires, tout le monde (ou au moins la plupart) est d'accord.
MrPapierBulle a résumé : que ce soit l'homme qui dise "je vais arreter d'etre galant" ou la femme qui va dire "il n'y a pas assez de films avec des femmes" alors qu'il y en a foison. Tout ca c'est de la farce. Les vrais combats ont disparus au profit de pinaillettes qui devrait rester sur twitter et FB
Aujourd'hui ces combats sont portés par des pseudo féministes à la Bachelot ou alonso qui prone une femme forte en copiant la lourdeur de ce qu'elles pensent etre l'homme fort
Un exemple sur les nombreux plateaux TV de Absathou Sy et Bachelot, qui, au détriment de nombreux invités hommes, ne se genaient pas de classieux commentaires à la "son ptit cul miamiam", "j'espere qu'il sait utiliser sa langue" ou "j'en ferais bien mon 4h"
Lorsqu'elles avaient été questionné sur ces remarques apres l'affaire Metoo, elles avaient précisé que "ce n'est que le juste retour des choses"
Mesdames et messieurs : la féministe 2.0
Formidable.
Plus serieusement, régulièrement, je me prends les éternels "ne s'occupe pas assez des enfants" (c'est moi qui travaille à 80% pour passer du temps avec les petites) "ne fait pas assez le ménage" (J'AI acheté avec MES sous un Dyson que j'aime comme un troisieme enfant) et d'autres et j'en passe.
Et est ce que tu as aussi la comparaison avec le mari de la cousine/soeur/tante à coups de "oui mais t'a vu grégory lui il a gnagnagna", qui lui passe son temps à se plaindre du gros cul de sa femme en regardant le foot dans le canap ?
C'est une sensation tellement mmmh...
Peu importe que ce soit toi qui fasses le ménage vu que c'est la femme qui y pense même quand elle ne te le dit pas.
haha.
Que d'exemples où les femmes manipulent (aient) les souverains par le bout du nez,
Pour l'anecdote, elle est souvent vraie, et je ne vois pas ce que vient faire ce débat interminable et récurent sur le genre car ce syndrome marche dans les deux sens, voire dans tous les sens.
Ils repassent Nicky Larson (le vieux manga à la téloche)... ben on a le beau gosse qui est un véritable obsédé sexuel, le grand costaud avec une tête de char Leclerc qui a peur des chats et devient rouge comme une tomate dès qu'une dame lui fait un compliment, la fille qui, on ne sait par quelle prodige, parvient à soulever des masses (solaires) pour les mettre en travers de la gueule du premier bien que ce soit sans espoir, le gang des trois soeurs cambrioleuses qui tiennent un resto tout ce qu'il y a de plus banal, les méchants hommes de main cons comme des balais à frange qui se font tout le temps latter la gueule, la police avec son inefficacité légendaire (au Japon en plus, mais bien sur... ^^)... ce ne sont que de gros clichés inversés. Comme dit plus haut, on regarde rarement un film pour s'instruire, on regarde un film pour se détendre. (sinon y'a le cinéma d'auteur, mais perso je trouve ça chiant de regarder la réalité à la télé... heuuu^^)
Si le public veut voir des femmes costaudes qui cassent des méchants à coups d'épées où de lance-missile, le cinéma lui donnera ce qu'il demande, parce que le cinéma est là pour vendre des places de cinéma et pas pour faire de l'éducation civique, et c'est valable pour tous les médias de loisirs. ;)
Après, l'exemple des schtroumpfs est un peu ambigu car l'idée c'est que les schtroumpfs sont sensés êtres vus comme une seule et même personne avec ses qualités et ses défauts, et le rôle de la schtroumpfette et de remettre un peu d'harmonie dans tout ce bazar... eh oui, la schtroumpfette est le seul sujet sur lequel tous les schtroumpfs sont d'accord entre eux, même le schtroumpf coquet. ^^
Le problème qui est pointé du doigt est en fait la représentation des genres masculins et féminins partout autour de nous. Et non, il n'est pas normal de devoir aller chercher des films d'auteur suédois comme vous dites pour trouver des représentations qui sortent de ces stéréotypes.
Je peux par contre vous trouver un exemple de dessin animé pour enfant qui s'en est extrêmement bien sorti : Avatar le dernier maître de l'air, ainsi que sa suite Legend of Korra.
Toutes les femmes qui viennent chez moi disent en premier que c'est sale.
Tous les hommes qui viennent chez moi disent en premier que c'est dangereux (pour les enfants, ce qui est vrai mais ça tombe bien, j'en ai pas^^).
Exception: les hommes célibataires s'en foutent complètement, les femmes célibataires se demandent comment je fais pour vivre dans cette porcherie.
Clichés? je dis OUI. ^^
Bon je déconne hein, c'est pas une généralité mais ce sont les réactions les plus courantes. ;)
Et quand tu dis qu'être un homme est plus valorisé.. il me semble que derrière 9 pubs sur 10 on met une jolie femme pour vendre son produit.
Deuxièmement, je ne peux pas croire que les stéréotypes existant sur les hommes et les femmes sortent de nul part. Ils sont issus d'une exagération de la réalité et ont donc un fond de vérité.
Enfin tu as raison, pas besoin d'aller en Suède pour voir des films ou des séries ou les auteurs se fichent royalement du genre de leur personnage. Il suffit de regarder des séries comme Games of Thrones ou House of Card ou pour les enfants le club mickey.
J'ai tout de même l'impression que ceux qui dénoncent ce syndrome sont les premiers à voir les femmes dans les œuvres uniquement en leur qualité de femmes sans chercher à y voir un personnage. Finalement, ceux qui dénoncent sont les premiers qui stigmatisent. Ce n'est pas parce qu'un personnage femme est entouré d'hommes que son personnage devient inintéressant ou rabaissé à son unique genre.