Sergueï Krikaliov et Alexandre Volkov sont deux cosmonautes dont la nationalité a changé au cours de leur mission dans l’espace. Présents sur la station MIR entre mai 1991 et mars 1992, ils vécurent la dissolution de l’URSS en décembre 1991. Partis en étant Soviétiques, ils rentreront en étant Russes.
Commentaires préférés (3)
Ouais bon... même pendant la période URSS, la Russie a toujours été une entité et vu comment ils traitaient leurs pays satellites, les seuls qui ont vu du changement, ce sont justement ces fameux pays.
Connaissant plusieurs personnes ayant quitté la Géorgie ou l'Arménie durant cette période plus que trouble, je peux vous dire que c'était pas la joie.
D'ailleurs les Géorgiens ont un proverbe assez violent sur la Russie que je ne répéterai pas ici, mais c'est plutôt dur.
Ca ne contredit pas ce que tu dis, c'est juste pour préciser que la Russie n'était malgré tout pas une République Socialiste comme les autres au sein de l'URSS.
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Ouais bon... même pendant la période URSS, la Russie a toujours été une entité et vu comment ils traitaient leurs pays satellites, les seuls qui ont vu du changement, ce sont justement ces fameux pays.
Connaissant plusieurs personnes ayant quitté la Géorgie ou l'Arménie durant cette période plus que trouble, je peux vous dire que c'était pas la joie.
D'ailleurs les Géorgiens ont un proverbe assez violent sur la Russie que je ne répéterai pas ici, mais c'est plutôt dur.
Alors bon leur proverbe sur la Russie.
Ca ne contredit pas ce que tu dis, c'est juste pour préciser que la Russie n'était malgré tout pas une République Socialiste comme les autres au sein de l'URSS.
Cela dit, les Russes ont beaucoup d'autodérision et se moquent volontiers d'eux-mêmes et de leurs travers.
Voici une petite blague russe, qu'on entend d'ailleurs dans la série Chernobyl:
"Qu'est-ce qui consomme 20 litres de fioul par heure et qui coupe les pommes en deux ?
Réponse: Une machine russe à couper les pommes en quatre".
J'aime beaucoup aussi celle-ci:
Un vers de terre russe demande à sa mère:
- Maman, elle est pourrie la pomme dans laquelle on vit !
- Je sais mon fils.
- Alors pourquoi on ne s'en va pas ?
- La patrie mon fils, la patrie !
D'autant que j'ai quelques amis d'origine russe.
Contentieux dont Vladimir Poutine est davantage responsable que le peuple russe d'ailleurs.
Dès que sa popularité baisse, le président russe se lance dans une offensive militaire. C'est la théorie développée par l'ex-président de la Géorgie dans cet article très intéressant:
www.slate.fr/story/175290/prochaine-cible-russie-poutine-pays-union-europeenne
- Le premier fait l'apologie de la navette spatiale Bourane (URSS) au détriment de la navette Challenger (USA).
- Le second justifie l'annexion d'une partie d'un pays souverain par Poutine.
Avouez que cela laisse dubitatif sur vos intentions et votre neutralité.
En tous cas, je suis très admiratif des services russes en général et des services de propagande en particulier. Je vous félicite pour votre réactivité.
La deuxième guerre d’Ossétie du sud se passa sous la présidence de Medvedev et le président Sarkozy fut médiateur pour la stopper . L’agresseur fut bel et bien Saakachvili . Même l’ONU l’a reconnu , ne vous en déplaise . Et il y a bel et bien un mandat d’arrestation international lancé par la Géorgie contre lui .
Nationalité différente certes, mais taux d’alcoolémie très probablement identique...
Le gros problème restait le vomito en apesanteur, c’était galère à nettoyer mais cela ne concernait pas vraiment nos compères russes qui avaient l’habitude. D’ailleurs pour les cosmonautes, quand on parle de subir plusieurs « g », on ne parle pas d’accélération mais de grammes...
sergueï krikaliov et alexandre volkov ont-ils eu droit à la Vodka pour fêter la chute du régime pendant leur voyage en apesanteur ?
Même loin de la maison, il ne faut pas passer à côté de l’essentiel quand même
JE VEUX SAVOIR
POUR LA SCIENCE
Une vieille géorgienne m'a dit un jour,
Chez nous on dit :
Si devant toi sur le sol tu vois un cafard et un bébé Russe, écrase le bébé russe en premier.
Et voilà, hard non?
Enfin proverbe hard quand même.