Pourquoi parle-t-on de sapeurs pompiers ?

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Le nom de pompier tire son origine de l’activité d’actionner une pompe pour propulser l’eau sur les flammes. D’ailleurs un pompier s’appelait un « garde pompe’ jusqu’au début du XIXème siècle. C’est quand cette fonction a été confiée aux corps des sapeurs de l’armée qu’est venu le nom de sapeur pompier.

Être sapeur était un métier dangereux : outre les risques d'effondrement, il y avait celui d'être détecté par l'ennemi. On posait parfois des verres d'eau près des murailles pour repérer lorsque des rides apparaissent spontanément, signe des vibrations causées par la sape. On pouvait alors creuser un contre tunnel pour intercepter les sapeurs et parfois même retourner leur ouvrage contre leur armée.

Ça a un peu évolué avec l'apparition des armes à feu et de l'artillerie, les murs n'étant plus si durs à abattre, mais l'idée de base a persisté au moins jusqu'à la première guerre mondiale. Les tunneliers allemands, anglais et français s'affrontaient dans une véritable guerre souterraine, où le but était théoriquement de placer des explosifs sous la tranchée adverse, mais bien souvent c'était surtout la course à quel camp repèrerait les tunneliers adverses en premier afin de les emmurer pour l'éternité à coups de mines... Beaucoup ont relaté que c'était encore plus stressant et dangereux que de combattre à la surface

a écrit : Être sapeur était un métier dangereux : outre les risques d'effondrement, il y avait celui d'être détecté par l'ennemi. On posait parfois des verres d'eau près des murailles pour repérer lorsque des rides apparaissent spontanément, signe des vibrations causées par la sape. On pouvait alors creuser un contre tunnel pour intercepter les sapeurs et parfois même retourner leur ouvrage contre leur armée.

Ça a un peu évolué avec l'apparition des armes à feu et de l'artillerie, les murs n'étant plus si durs à abattre, mais l'idée de base a persisté au moins jusqu'à la première guerre mondiale. Les tunneliers allemands, anglais et français s'affrontaient dans une véritable guerre souterraine, où le but était théoriquement de placer des explosifs sous la tranchée adverse, mais bien souvent c'était surtout la course à quel camp repèrerait les tunneliers adverses en premier afin de les emmurer pour l'éternité à coups de mines... Beaucoup ont relaté que c'était encore plus stressant et dangereux que de combattre à la surface
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J'imagine mieux l'intensité des traumatismes de la guerre sur Thomas Shelby dans peaky blinders, qui, j'interprète, était peut être sapeur avec ses frères.^^ Merci


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Le nom de pompier tire son origine de l’activité d’actionner une pompe pour propulser l’eau sur les flammes. D’ailleurs un pompier s’appelait un « garde pompe’ jusqu’au début du XIXème siècle. C’est quand cette fonction a été confiée aux corps des sapeurs de l’armée qu’est venu le nom de sapeur pompier.

Je pensais qu'un sapeur était une personne qui aimait bien les fringues...

a écrit : Je pensais qu'un sapeur était une personne qui aimait bien les fringues... Et on appelle "pompier", en matière d'art, un style grandiloquent, prétentieux et ridicule. Alors un sapeur pompier doit être quelqu'un qui est habillé de vêtements particulièrement chers mais aussi particulièrement voyants et de mauvais goût. La mode des sapeurs est plutôt associée à l'Afrique de l'Ouest, mais là, avec le style pompier en plus, ça me fait plutôt penser à Céline Dion !

a écrit : Je pensais qu'un sapeur était une personne qui aimait bien les fringues... Il y a la sape qui est une méthode de siège utilisant des explosifs et la SAPE qui est la société des ambianceurs et des personnes élégantes.
Dans les deux cas, il y a souvent de belles couleurs.

Être sapeur était un métier dangereux : outre les risques d'effondrement, il y avait celui d'être détecté par l'ennemi. On posait parfois des verres d'eau près des murailles pour repérer lorsque des rides apparaissent spontanément, signe des vibrations causées par la sape. On pouvait alors creuser un contre tunnel pour intercepter les sapeurs et parfois même retourner leur ouvrage contre leur armée.

Ça a un peu évolué avec l'apparition des armes à feu et de l'artillerie, les murs n'étant plus si durs à abattre, mais l'idée de base a persisté au moins jusqu'à la première guerre mondiale. Les tunneliers allemands, anglais et français s'affrontaient dans une véritable guerre souterraine, où le but était théoriquement de placer des explosifs sous la tranchée adverse, mais bien souvent c'était surtout la course à quel camp repèrerait les tunneliers adverses en premier afin de les emmurer pour l'éternité à coups de mines... Beaucoup ont relaté que c'était encore plus stressant et dangereux que de combattre à la surface

a écrit : Il y a la sape qui est une méthode de siège utilisant des explosifs et la SAPE qui est la société des ambianceurs et des personnes élégantes.
Dans les deux cas, il y a souvent de belles couleurs.
Il a surtout la sape qui désignait les vêtements ou la manière de s'habiller en argot et qui a donné leur nom aux sapeurs en Afrique de l'Ouest bien avant qu'ils inventent l'acronyme SAPE et sa prétendue signification Société des Ambianceurs et des Personnes Élégantes, pour justifier le nom de leur mouvement à posteriori !

a écrit : Être sapeur était un métier dangereux : outre les risques d'effondrement, il y avait celui d'être détecté par l'ennemi. On posait parfois des verres d'eau près des murailles pour repérer lorsque des rides apparaissent spontanément, signe des vibrations causées par la sape. On pouvait alors creuser un contre tunnel pour intercepter les sapeurs et parfois même retourner leur ouvrage contre leur armée.

Ça a un peu évolué avec l'apparition des armes à feu et de l'artillerie, les murs n'étant plus si durs à abattre, mais l'idée de base a persisté au moins jusqu'à la première guerre mondiale. Les tunneliers allemands, anglais et français s'affrontaient dans une véritable guerre souterraine, où le but était théoriquement de placer des explosifs sous la tranchée adverse, mais bien souvent c'était surtout la course à quel camp repèrerait les tunneliers adverses en premier afin de les emmurer pour l'éternité à coups de mines... Beaucoup ont relaté que c'était encore plus stressant et dangereux que de combattre à la surface
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J'imagine mieux l'intensité des traumatismes de la guerre sur Thomas Shelby dans peaky blinders, qui, j'interprète, était peut être sapeur avec ses frères.^^ Merci

a écrit : Il a surtout la sape qui désignait les vêtements ou la manière de s'habiller en argot et qui a donné leur nom aux sapeurs en Afrique de l'Ouest bien avant qu'ils inventent l'acronyme SAPE et sa prétendue signification Société des Ambianceurs et des Personnes Élégantes, pour justifier le nom de leur mouvement à posteriori ! Afficher tout Oui c’est bien entendu de la retroacronymie. Je conseille d’aller lire aussi les 10 commandements de la sapologie, c’est plutôt drôle ou de voir les vidéos YouTube sur la sapologie de dicoshTV.
On s’éloigne un peu des sapeurs pour le coup qui eux ont un métier un peu plus sérieux et qui existent même depuis 1669.

Les sapeurs « aidaient » leur cible en amassant des explosifs à proximité souterraine. Pour une destruction par sympathie.
L’ennemi s’inquiétait donc quand ils n’entendaient plus les sapeurs gratter et creuser.

a écrit : Être sapeur était un métier dangereux : outre les risques d'effondrement, il y avait celui d'être détecté par l'ennemi. On posait parfois des verres d'eau près des murailles pour repérer lorsque des rides apparaissent spontanément, signe des vibrations causées par la sape. On pouvait alors creuser un contre tunnel pour intercepter les sapeurs et parfois même retourner leur ouvrage contre leur armée.

Ça a un peu évolué avec l'apparition des armes à feu et de l'artillerie, les murs n'étant plus si durs à abattre, mais l'idée de base a persisté au moins jusqu'à la première guerre mondiale. Les tunneliers allemands, anglais et français s'affrontaient dans une véritable guerre souterraine, où le but était théoriquement de placer des explosifs sous la tranchée adverse, mais bien souvent c'était surtout la course à quel camp repèrerait les tunneliers adverses en premier afin de les emmurer pour l'éternité à coups de mines... Beaucoup ont relaté que c'était encore plus stressant et dangereux que de combattre à la surface
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Très dangereux oui. Ces gars là, sapeur de rien.

Sapeur dans les pays d'Afrique central (République du Congo) désigne un phénomène de mode, où il est de rigueur d'arborer ses plus beaux vêtements et de faire son "dandy". Jusqu'à présent je n'ai point trouvé la connexion entre le métier de sapeur pompier et "Sapeur" comme les gens l'emploie en Afrique,ei quelqu'un pourrait m'éclairer. Merci

1st comment hooray!

a écrit : Et on appelle "pompier", en matière d'art, un style grandiloquent, prétentieux et ridicule. Alors un sapeur pompier doit être quelqu'un qui est habillé de vêtements particulièrement chers mais aussi particulièrement voyants et de mauvais goût. La mode des sapeurs est plutôt associée à l'Afrique de l'Ouest, mais là, avec le style pompier en plus, ça me fait plutôt penser à Céline Dion ! Afficher tout "La classe, c'est d'être chic dans la manière de s'habiller." José

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a écrit : Être sapeur était un métier dangereux : outre les risques d'effondrement, il y avait celui d'être détecté par l'ennemi. On posait parfois des verres d'eau près des murailles pour repérer lorsque des rides apparaissent spontanément, signe des vibrations causées par la sape. On pouvait alors creuser un contre tunnel pour intercepter les sapeurs et parfois même retourner leur ouvrage contre leur armée.

Ça a un peu évolué avec l'apparition des armes à feu et de l'artillerie, les murs n'étant plus si durs à abattre, mais l'idée de base a persisté au moins jusqu'à la première guerre mondiale. Les tunneliers allemands, anglais et français s'affrontaient dans une véritable guerre souterraine, où le but était théoriquement de placer des explosifs sous la tranchée adverse, mais bien souvent c'était surtout la course à quel camp repèrerait les tunneliers adverses en premier afin de les emmurer pour l'éternité à coups de mines... Beaucoup ont relaté que c'était encore plus stressant et dangereux que de combattre à la surface
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Tu oublies la guerre du Vietnam et l' importance des milliers de km de souterrains, d'ailleurs certains soldats americains étaient spécialisés dans l'exploration de ces tunnels.

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J'ai depuis entendu une autre anecdote croustillante sur le sujet : lorsque les Romains ont assiégé la ville de Thémiscyre au 1er siècle avant JC ils décidèrent de creuser un vaste réseau de tunnel sous les murs pour prendre la ville plus facilement. Les défenseurs auraient creusé des contre-tunnels et selon les versions laissé entrer / lâché volontairement tout un tas d'animaux sauvages dont des abeilles et des ours, qui auraient semé la panique dans les tunnels romains.

Pas un job de tout repos...

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