Le premier film à caractère érotique de l'histoire du cinéma date de 1896, soit seulement un an après la première projection publique des frères Lumières. Intitulé "Le coucher de la mariée" et d'une durée de 7 minutes, ce film français met en scène une femme en robe de mariée se déshabillant.
Commentaires préférés (3)
youtu.be/Y0duA3b4g_Q
Vous me remercierez plus tard, si vous savez en faire quelque chose...
A savoir que sur les 7 minutes du film, seules 2 minutes ont été restauré. On ne peut donc pas savoir si ce film a été le premier à présenter une scène de nue ou non.
On peut penser que non, puisque le film a été inspiré d'une pièce de théâtre du même nom où l'actrice ne se déshabille que jusqu'au maillot de corps.
Il faut surtout ne pas confondre pornographie et érotisme.
L’érotisme (de « eros » l’amour) c’est stimuler le désir sexuel, la sensualité ou même le sentiment amoureux tandis que la pornographie, ce sont des représentations d’ordre sexuel (de « porne » qui veut dire prostituée et « graphia » qui veut dire écriture, représentation). Ce n’est pas du tout la même chose.
Par exemple, la plupart des publicités pour Perrier sont érotiques pour la plupart des consommateurs, mais pas du tout pornographiques. À l’inverse, un film porno (un coït de nains unijambistes par exemple) qui ne vous stimule pas n’est pas érotique.
À l’époque du film de l’anecdote, voir les sous-vêtements d’une femme était érotique dans les mœurs de la société.
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youtu.be/Y0duA3b4g_Q
Vous me remercierez plus tard, si vous savez en faire quelque chose...
Les temps ont bien changer
Moi je l'aurais plutôt intitulé =
"Le coucher de l'oignon ";)
A savoir que sur les 7 minutes du film, seules 2 minutes ont été restauré. On ne peut donc pas savoir si ce film a été le premier à présenter une scène de nue ou non.
On peut penser que non, puisque le film a été inspiré d'une pièce de théâtre du même nom où l'actrice ne se déshabille que jusqu'au maillot de corps.
Il faut surtout ne pas confondre pornographie et érotisme.
L’érotisme (de « eros » l’amour) c’est stimuler le désir sexuel, la sensualité ou même le sentiment amoureux tandis que la pornographie, ce sont des représentations d’ordre sexuel (de « porne » qui veut dire prostituée et « graphia » qui veut dire écriture, représentation). Ce n’est pas du tout la même chose.
Par exemple, la plupart des publicités pour Perrier sont érotiques pour la plupart des consommateurs, mais pas du tout pornographiques. À l’inverse, un film porno (un coït de nains unijambistes par exemple) qui ne vous stimule pas n’est pas érotique.
À l’époque du film de l’anecdote, voir les sous-vêtements d’une femme était érotique dans les mœurs de la société.
Nous sommes bien loin des bukkake et autres gokkun...
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Il est où le spammeur de publicité coquine là ? Pour une fois qu'il serait à peu près dans le thème !
Dans certaine tapisserie médiévale on voit des coquineries suggestives aussi. Et puis ça existe depuis toujours. Les peintures rupestre du Sahara montre clairement du dessin porno. De même pour Pompéi et hercumanum
Quant aux sous-vêtements, idem. À l'époque on ne montrait surtout pas ses sous-vêtements à "tout le monde", y compris pour certains couples mariés (où les rapports n'étaient qu'à des fins reproductrices ). Actuellement j'ai des élèves qui vont en cours en mini débardeurs, qui montrent leur soutif "à tout va". Et on voit constamment des publicités avec des femmes en sous-vêtements. Ce qui rend la vue des sous-vêtements banals...donc moins érotiques.
Ah, qu'elle était belle l'époque de la "suggestion" et non de l'étallage constant... (oui, je fais ma vieille peau rétrograde, et alors ?)