Les pains de raisin permettaient de contourner la prohibition

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Durant la Prohibition aux États-Unis (1920-1933) se vendaient des "pains de raisin" (wine bricks ou grape bricks) destinés à être mélangés à de l'eau. L'emballage stipulait bien qu'il était interdit de le faire fermenter, puis détaillait les étapes interdites de suivre pour obtenir un bourgogne ou un riesling, fait maison.


Commentaires préférés (3)

Contourner la loi est un sport amusant ;)

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Faire un vin de Bourgogne ou un riesling c'est un grand mot. Éventuellement faire une piquette je veux bien et encore faut il maîtriser la fermentation ce qui n'est pas forcément aisé. Faire un vin ne serait ce que agréable à boire demande des compétences techniques et un minimum de matériel pour gérer la fermentation alcoolique et l'acidité sachant que souvant pour un vin rouge une fermentation malolactique est necessaire.

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a écrit : Faire un vin de Bourgogne ou un riesling c'est un grand mot. Éventuellement faire une piquette je veux bien et encore faut il maîtriser la fermentation ce qui n'est pas forcément aisé. Faire un vin ne serait ce que agréable à boire demande des compétences techniques et un minimum de matériel pour gérer la fermentation alcoolique et l'acidité sachant que souvant pour un vin rouge une fermentation malolactique est necessaire. Afficher tout Ne jamais oublier que le viticulteur français est susceptible. Surtout dans le bordelais.

Ça me rappelle les écossais qui tiraient la tronche quand les japonais ont commencé à gagner les world whiskies awards. Un jour, d’autres pays feront de meilleurs vins que les français si ce n’est pas déjà le cas. (Cf. Le jugement de Paris de 1976)


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Contourner la loi est un sport amusant ;)

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a écrit : Contourner la loi est un sport amusant ;) C'est comme en Suisse, on y trouve des petits coussins parfumés, mais on a pas le droit de les ouvrir pour fumer le contenu, c'est INTERDIT! ^^

Faire un vin de Bourgogne ou un riesling c'est un grand mot. Éventuellement faire une piquette je veux bien et encore faut il maîtriser la fermentation ce qui n'est pas forcément aisé. Faire un vin ne serait ce que agréable à boire demande des compétences techniques et un minimum de matériel pour gérer la fermentation alcoolique et l'acidité sachant que souvant pour un vin rouge une fermentation malolactique est necessaire.

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a écrit : Faire un vin de Bourgogne ou un riesling c'est un grand mot. Éventuellement faire une piquette je veux bien et encore faut il maîtriser la fermentation ce qui n'est pas forcément aisé. Faire un vin ne serait ce que agréable à boire demande des compétences techniques et un minimum de matériel pour gérer la fermentation alcoolique et l'acidité sachant que souvant pour un vin rouge une fermentation malolactique est necessaire. Afficher tout Ne jamais oublier que le viticulteur français est susceptible. Surtout dans le bordelais.

Ça me rappelle les écossais qui tiraient la tronche quand les japonais ont commencé à gagner les world whiskies awards. Un jour, d’autres pays feront de meilleurs vins que les français si ce n’est pas déjà le cas. (Cf. Le jugement de Paris de 1976)

a écrit : Faire un vin de Bourgogne ou un riesling c'est un grand mot. Éventuellement faire une piquette je veux bien et encore faut il maîtriser la fermentation ce qui n'est pas forcément aisé. Faire un vin ne serait ce que agréable à boire demande des compétences techniques et un minimum de matériel pour gérer la fermentation alcoolique et l'acidité sachant que souvant pour un vin rouge une fermentation malolactique est necessaire. Afficher tout Tu as tout à fait raison.
La finalité d'apposer ces termes ( bourgogne, riesling, etc...) sur ces "pains de raisin", avaient uniquement le but de rendre le produit plus attrayant pour le client.
En parallèle de ces pains de raisins, se vendaient aussi des boites permettant la fabrication d'une bière maison.

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a écrit : Ne jamais oublier que le viticulteur français est susceptible. Surtout dans le bordelais.

Ça me rappelle les écossais qui tiraient la tronche quand les japonais ont commencé à gagner les world whiskies awards. Un jour, d’autres pays feront de meilleurs vins que les français si ce n’est pas déjà le cas. (C
f. Le jugement de Paris de 1976) Afficher tout
Les californiens ont l'avantage d'être monocépage, ce qui est sympa quand on veut apprendre à le reconnaître. Mais bon, un bon Graves ou un bon Pessac-Léognan ...

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a écrit : Ne jamais oublier que le viticulteur français est susceptible. Surtout dans le bordelais.

Ça me rappelle les écossais qui tiraient la tronche quand les japonais ont commencé à gagner les world whiskies awards. Un jour, d’autres pays feront de meilleurs vins que les français si ce n’est pas déjà le cas. (C
f. Le jugement de Paris de 1976) Afficher tout
Il suffit de consulter sur le Web, les listes des "meilleurs vins du monde", selon tel guide, telle page Net, ou tel magazine, pour voir que les vignerons français, sont en réelle concurrence avec une bonne dizaine d'autres pays.

Selon un ami très entendu sur le sujet, les meilleurs vins (autres que français), se trouvent sur la Côte Ouest des États-Unis, en Afrique du Sud, et quelques vins d'Argentine, du Chili et d'Espagne. Il note aussi une réelle augmentation de la qualité des vins élaborés en Israël, ces dernières années.

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a écrit : Les californiens ont l'avantage d'être monocépage, ce qui est sympa quand on veut apprendre à le reconnaître. Mais bon, un bon Graves ou un bon Pessac-Léognan ... L'application de la Prohibition, en 1920, fut d'ailleurs un grand dilemme pour les viticulteurs Californiens.
Certains voyaient une rapide abrogation de la Loi et ont donc choisi de ne pas arracher leurs vignes.
Les autres se sont principalement reconvertis dans la production de fruits et légumes.
Ce sont les premiers qui ont obtenu les plus grands bénéfices financiers, tant durant la Prohibition, comme dès sa disparition en 1933. En effet, ceux qui avaient arraché leurs vignes, durent replanter et attendre quelques années avant qu'elles ne soient productives.

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a écrit : Il suffit de consulter sur le Web, les listes des "meilleurs vins du monde", selon tel guide, telle page Net, ou tel magazine, pour voir que les vignerons français, sont en réelle concurrence avec une bonne dizaine d'autres pays.

Selon un ami très entendu sur le sujet, les meilleurs vins (
autres que français), se trouvent sur la Côte Ouest des États-Unis, en Afrique du Sud, et quelques vins d'Argentine, du Chili et d'Espagne. Il note aussi une réelle augmentation de la qualité des vins élaborés en Israël, ces dernières années. Afficher tout
Oui on est d’accord mais il ne faut pas le dire trop fort dans nos contrées.

Personnellement, j’ai un faible pour le vin libanais comme le château ksara ou château Khoury. On en trouve parfois dans certains restaurant libanais.

Hahaha ! Ça me fait penser aux alcohlos chiliens qui te demandent ''une petite pièce pour acheter un litre de pain''..

On vous donne la matière première, la recette en étapes pour en faire quelque chose mais on vous dit qu'il ne faut pas le faire.. Et vu que l'humain n'aime pas braver l'interdit... j'imagine qu'il y'en a qui se sont bien fait plaisir. Surtout que pendant la Prohibition, l'alcool coulait à flots bien plus qu'avant et après cette période.
Les lois par rapport à la culture et la consommation de cannabis sont en France les plus répressives d'Europe? C'est pas grave, ça en fait le premier pays consommateur :D

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a écrit : Il suffit de consulter sur le Web, les listes des "meilleurs vins du monde", selon tel guide, telle page Net, ou tel magazine, pour voir que les vignerons français, sont en réelle concurrence avec une bonne dizaine d'autres pays.

Selon un ami très entendu sur le sujet, les meilleurs vins (
autres que français), se trouvent sur la Côte Ouest des États-Unis, en Afrique du Sud, et quelques vins d'Argentine, du Chili et d'Espagne. Il note aussi une réelle augmentation de la qualité des vins élaborés en Israël, ces dernières années. Afficher tout
Tu oublies l’Italie, premier producteur mondial avec également de très bon vins. Dont certains présent dans les classements des meilleurs vins du monde.
Un bon chianti, je ne dis jamais non.

Le Chili fait d’excellents vins, à savoir que le « Carmenère » est leur spécialité, cépage disparu de France dû au Phylloxera, il a été redécouvert dans un vignoble en 91. La personne classait les cépages par forme de feuilles et a remarqué qu’un pied de vigne avait des feuilles différentes des autres. C’était un Carmenère.

a écrit : Tu oublies l’Italie, premier producteur mondial avec également de très bon vins. Dont certains présent dans les classements des meilleurs vins du monde.
Un bon chianti, je ne dis jamais non.

Le Chili fait d’excellents vins, à savoir que le « Carmenère » est leur spécialité, cépage disparu de France
dû au Phylloxera, il a été redécouvert dans un vignoble en 91. La personne classait les cépages par forme de feuilles et a remarqué qu’un pied de vigne avait des feuilles différentes des autres. C’était un Carmenère. Afficher tout
Je n'ai pas oublié l'Italie. Cependant Manuel ne catalogue pas les vins Italiens dans ses préférences.

Quand à la redécouverte du cépage "Carmenere", ( que j'ignorais), il pourrait en faire une belle anecdote.
En tout cas, merci pour l'information.

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a écrit : Il suffit de consulter sur le Web, les listes des "meilleurs vins du monde", selon tel guide, telle page Net, ou tel magazine, pour voir que les vignerons français, sont en réelle concurrence avec une bonne dizaine d'autres pays.

Selon un ami très entendu sur le sujet, les meilleurs vins (
autres que français), se trouvent sur la Côte Ouest des États-Unis, en Afrique du Sud, et quelques vins d'Argentine, du Chili et d'Espagne. Il note aussi une réelle augmentation de la qualité des vins élaborés en Israël, ces dernières années. Afficher tout
Je me méfie beaucoup des classements et des concours de vin. Les médailles servent seulement à vendre du volume en supermarché et à contenter les "buveurs d'étiquette"

Je préfère nettement qu'un caviste, un sommelier ou un ami, plus simplement, me conseille un vin ET m'explique pourquoi celui-ci lui plaît.
Le souci des concours, c'est que les juges peuvent avoir des critères d'appréciation très personnels, très subjectifs (qui ne seront pas les vôtres)
.
Lors d'une initiation à l’œnologie à laquelle j'ai assisté, le sommelier nous expliquait qu'il s'était souvent retrouvé dans un jury de concours, et quand il se tournait vers ses camarades et leur demandait:
"Qu'attendez-vous d'un vin de cette appellation ? Qu'allez-vous rechercher lors de la dégustation ?"
Les types répondaient: "Je veux qu'il me plaise..."
Ok...
Ce même sommelier nous disait, et c'est ma philosophie, qu'il fallait surtout trouver un vin qu'on prend, soi-même, plaisir à boire.

a écrit : Ne jamais oublier que le viticulteur français est susceptible. Surtout dans le bordelais.

Ça me rappelle les écossais qui tiraient la tronche quand les japonais ont commencé à gagner les world whiskies awards. Un jour, d’autres pays feront de meilleurs vins que les français si ce n’est pas déjà le cas. (C
f. Le jugement de Paris de 1976) Afficher tout
Pas impossible, mais ce ne sera certainement pas du vin américain !

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a écrit : Ne jamais oublier que le viticulteur français est susceptible. Surtout dans le bordelais.

Ça me rappelle les écossais qui tiraient la tronche quand les japonais ont commencé à gagner les world whiskies awards. Un jour, d’autres pays feront de meilleurs vins que les français si ce n’est pas déjà le cas. (C
f. Le jugement de Paris de 1976) Afficher tout
Les vins étrangers commencent à nous rattraper sur les vins conventionnels certes, mais on a 30 à 40 ans d'avance sur les vins biologiques, et certainement 15 ans sur la biodynamie! Le vin français est loin d'être mort

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a écrit : Les vins étrangers commencent à nous rattraper sur les vins conventionnels certes, mais on a 30 à 40 ans d'avance sur les vins biologiques, et certainement 15 ans sur la biodynamie! Le vin français est loin d'être mort Je le souhaite de tout cœur. Je nous trouve juste très chauvin sur le sujet voire pro-région et on a du mal à accepter que d’autres fassent mieux.

En revanche, ayant voyagé dans pas mal de pays je n’ai jamais retrouvé un croissant digne de ce nom dans un pays autre que la France alors que la recette est publique. Je n’ai jamais compris pourquoi.
Je ne compte pas les boulangers français expatriés.

a écrit : Je le souhaite de tout cœur. Je nous trouve juste très chauvin sur le sujet voire pro-région et on a du mal à accepter que d’autres fassent mieux.

En revanche, ayant voyagé dans pas mal de pays je n’ai jamais retrouvé un croissant digne de ce nom dans un pays autre que la France alors que la recette est
publique. Je n’ai jamais compris pourquoi.
Je ne compte pas les boulangers français expatriés.
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Je dirais même qu'on trouve pas un bon croissant en dehors de Lyon!
Blague à part je crois savoir que le problème vient du lait local, un boulanger expatrié en chine ayant même fait venir ses propres vaches pour avoir un beurre adéquat

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