Un cyclone est à l'origine de l'indépendance du Bangladesh

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Le cyclone de Bhola, en plus d'être le plus meurtrier de mémoire d'Homme, a eu pour conséquence l'indépendance du Bangladesh. Il s'abattit sur le Bangladesh en 1970 et causa la mort de plus de 500 000 personnes. Les autorités pakistanaises furent très critiquées pour la gestion de la catastrophe ce qui permet au parti indépendantiste de remporter les élections suivantes, conduisant à la guerre de libération en 1971.


Commentaires préférés (3)

Juste pour préciser : le Bangladesh n’existait alors pas, mais faisait partie du Pakistan. Cela formait un pays en deux parties, séparées par .. 1.600 kilomètres, avec l’Inde au milieu, il s’agissait alors d’un reste de la partition entre Inde et Pakistan quelques dizaines années avant.
Mais l’actuel Pakistan détenait la majorité des pouvoirs politiques et économiques, et était déjà accusé de négliger la seconde partie du pays.
Cette catastrophe naturelle fut un élément déclencheur d’une guerre civile importante, aboutissant à la création du Bangladesh.

À ce moment-là le Pakistan et le Bangladesh ne formaient qu’un seul pays car c’étaient les parties musulmanes du Raj Britannique (L’empire des Indes, colonie britannique jusqu’en 1947).

"Anticyclone" et "Dépression", deux termes que vous avez sans doute entendu durant les bulletins météologiques.
Dépression (De-pression), vient du fait que la pression exercée par la masse d'air sur l'eau de mer située au dessous, est moindre. La conséquence sera une élévation localisée de son niveau qui, s'il est de plus combiné par une marée de forte amplitude, peut atteindre plusieurs mètres. Dans le cas du cyclone Bhola, le niveau de l'eau se suréleva de 6 mètres.
Ah, une Dépression se mesure en hPa ( hercotpascal).

Plus proche de nous, aux Pays-Bas, en 1953, un scénario très similaire eut lieu.
Le niveau de la mer ne se suréleva "que" de 4,5 mètres, mais ce fut plus que suffisant pour surpasser certaines digues de polders et les percer en plus de 80 endroits différents. Le bilan humain fut lourd: près de 2 000 morts.
Pour peu, il aurait atteint des proportions catastrophiques si une brèche dans la digue Groenendijk n'avait été colmatée grâce à... Une péniche.
Le maire de la ville de Nieuwerkerk, ordonna au propriétaire de la péniche "les deux frères", de conduire son bateau fluvial jusqu'au lieu, puis de l'échouer, afin de la colmater temporairement. La solution d'urgence fonctionna, préservant une vaste zone habitée par trois millions de personnes, des fureurs de l'eau... Et de toutes les conséquences.
En mémoire de cette bravoure, une statue représentant le propriétaire et la proue d'un bateau encastré dans la digue, a été érigée à l'endroit des faits.
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Tous les commentaires (16)

Juste pour préciser : le Bangladesh n’existait alors pas, mais faisait partie du Pakistan. Cela formait un pays en deux parties, séparées par .. 1.600 kilomètres, avec l’Inde au milieu, il s’agissait alors d’un reste de la partition entre Inde et Pakistan quelques dizaines années avant.
Mais l’actuel Pakistan détenait la majorité des pouvoirs politiques et économiques, et était déjà accusé de négliger la seconde partie du pays.
Cette catastrophe naturelle fut un élément déclencheur d’une guerre civile importante, aboutissant à la création du Bangladesh.

À ce moment-là le Pakistan et le Bangladesh ne formaient qu’un seul pays car c’étaient les parties musulmanes du Raj Britannique (L’empire des Indes, colonie britannique jusqu’en 1947).

"Anticyclone" et "Dépression", deux termes que vous avez sans doute entendu durant les bulletins météologiques.
Dépression (De-pression), vient du fait que la pression exercée par la masse d'air sur l'eau de mer située au dessous, est moindre. La conséquence sera une élévation localisée de son niveau qui, s'il est de plus combiné par une marée de forte amplitude, peut atteindre plusieurs mètres. Dans le cas du cyclone Bhola, le niveau de l'eau se suréleva de 6 mètres.
Ah, une Dépression se mesure en hPa ( hercotpascal).

Plus proche de nous, aux Pays-Bas, en 1953, un scénario très similaire eut lieu.
Le niveau de la mer ne se suréleva "que" de 4,5 mètres, mais ce fut plus que suffisant pour surpasser certaines digues de polders et les percer en plus de 80 endroits différents. Le bilan humain fut lourd: près de 2 000 morts.
Pour peu, il aurait atteint des proportions catastrophiques si une brèche dans la digue Groenendijk n'avait été colmatée grâce à... Une péniche.
Le maire de la ville de Nieuwerkerk, ordonna au propriétaire de la péniche "les deux frères", de conduire son bateau fluvial jusqu'au lieu, puis de l'échouer, afin de la colmater temporairement. La solution d'urgence fonctionna, préservant une vaste zone habitée par trois millions de personnes, des fureurs de l'eau... Et de toutes les conséquences.
En mémoire de cette bravoure, une statue représentant le propriétaire et la proue d'un bateau encastré dans la digue, a été érigée à l'endroit des faits.
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a écrit : "Anticyclone" et "Dépression", deux termes que vous avez sans doute entendu durant les bulletins météologiques.
Dépression (De-pression), vient du fait que la pression exercée par la masse d'air sur l'eau de mer située au dessous, est moindre. La conséquence sera une élévation loca
lisée de son niveau qui, s'il est de plus combiné par une marée de forte amplitude, peut atteindre plusieurs mètres. Dans le cas du cyclone Bhola, le niveau de l'eau se suréleva de 6 mètres.
Ah, une Dépression se mesure en hPa ( hercotpascal).

Plus proche de nous, aux Pays-Bas, en 1953, un scénario très similaire eut lieu.
Le niveau de la mer ne se suréleva "que" de 4,5 mètres, mais ce fut plus que suffisant pour surpasser certaines digues de polders et les percer en plus de 80 endroits différents. Le bilan humain fut lourd: près de 2 000 morts.
Pour peu, il aurait atteint des proportions catastrophiques si une brèche dans la digue Groenendijk n'avait été colmatée grâce à... Une péniche.
Le maire de la ville de Nieuwerkerk, ordonna au propriétaire de la péniche "les deux frères", de conduire son bateau fluvial jusqu'au lieu, puis de l'échouer, afin de la colmater temporairement. La solution d'urgence fonctionna, préservant une vaste zone habitée par trois millions de personnes, des fureurs de l'eau... Et de toutes les conséquences.
En mémoire de cette bravoure, une statue représentant le propriétaire et la proue d'un bateau encastré dans la digue, a été érigée à l'endroit des faits.
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Bonjour, petite coquille concernant le mot hectopascal il me semble ;)

Wow, c'est ma première anecdote ^^. De quoi refaire ma journée !
J'ai lu cette information sur la page le saviez-vous de wikipédia qui donne comme SCMB des anecdotes sur divers sujets.

Anecdote déjà postée mais la première ne parlait pas des conséquences politiques donc celle-ci est la bienvenue pour le complément.

a écrit : "Anticyclone" et "Dépression", deux termes que vous avez sans doute entendu durant les bulletins météologiques.
Dépression (De-pression), vient du fait que la pression exercée par la masse d'air sur l'eau de mer située au dessous, est moindre. La conséquence sera une élévation loca
lisée de son niveau qui, s'il est de plus combiné par une marée de forte amplitude, peut atteindre plusieurs mètres. Dans le cas du cyclone Bhola, le niveau de l'eau se suréleva de 6 mètres.
Ah, une Dépression se mesure en hPa ( hercotpascal).

Plus proche de nous, aux Pays-Bas, en 1953, un scénario très similaire eut lieu.
Le niveau de la mer ne se suréleva "que" de 4,5 mètres, mais ce fut plus que suffisant pour surpasser certaines digues de polders et les percer en plus de 80 endroits différents. Le bilan humain fut lourd: près de 2 000 morts.
Pour peu, il aurait atteint des proportions catastrophiques si une brèche dans la digue Groenendijk n'avait été colmatée grâce à... Une péniche.
Le maire de la ville de Nieuwerkerk, ordonna au propriétaire de la péniche "les deux frères", de conduire son bateau fluvial jusqu'au lieu, puis de l'échouer, afin de la colmater temporairement. La solution d'urgence fonctionna, préservant une vaste zone habitée par trois millions de personnes, des fureurs de l'eau... Et de toutes les conséquences.
En mémoire de cette bravoure, une statue représentant le propriétaire et la proue d'un bateau encastré dans la digue, a été érigée à l'endroit des faits.
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Merci bcp pour ces compléments d’infos

a écrit : "Anticyclone" et "Dépression", deux termes que vous avez sans doute entendu durant les bulletins météologiques.
Dépression (De-pression), vient du fait que la pression exercée par la masse d'air sur l'eau de mer située au dessous, est moindre. La conséquence sera une élévation loca
lisée de son niveau qui, s'il est de plus combiné par une marée de forte amplitude, peut atteindre plusieurs mètres. Dans le cas du cyclone Bhola, le niveau de l'eau se suréleva de 6 mètres.
Ah, une Dépression se mesure en hPa ( hercotpascal).

Plus proche de nous, aux Pays-Bas, en 1953, un scénario très similaire eut lieu.
Le niveau de la mer ne se suréleva "que" de 4,5 mètres, mais ce fut plus que suffisant pour surpasser certaines digues de polders et les percer en plus de 80 endroits différents. Le bilan humain fut lourd: près de 2 000 morts.
Pour peu, il aurait atteint des proportions catastrophiques si une brèche dans la digue Groenendijk n'avait été colmatée grâce à... Une péniche.
Le maire de la ville de Nieuwerkerk, ordonna au propriétaire de la péniche "les deux frères", de conduire son bateau fluvial jusqu'au lieu, puis de l'échouer, afin de la colmater temporairement. La solution d'urgence fonctionna, préservant une vaste zone habitée par trois millions de personnes, des fureurs de l'eau... Et de toutes les conséquences.
En mémoire de cette bravoure, une statue représentant le propriétaire et la proue d'un bateau encastré dans la digue, a été érigée à l'endroit des faits.
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Ah, je ne savions pas qu'une dépression avait le pouvoir de faire monter le niveau de l'eau à ce point, JMCMB X2
Pour l'anecdote je comprends mieux la blague de Coluche maintenant, qui parlait de gens qui se plaignent de la flotte (je crois que c'est dans un sketch sur des camarades de tranchée, à vérifier). Il disait "remarque au Pakistan c'est pas mieux ! Ils se sont dit +boah, on aura une meilleure récolte l'année prochaine !+ Et Beng, la dèche !"

a écrit : Merci bcp pour ces compléments d’infos Avec plaisir !

a écrit : Bonjour, petite coquille concernant le mot hectopascal il me semble ;) Bonsoir.
Merci de l'avoir signalé, et rectifié l'orthographe dans ton commentaire.

a écrit : "Anticyclone" et "Dépression", deux termes que vous avez sans doute entendu durant les bulletins météologiques.
Dépression (De-pression), vient du fait que la pression exercée par la masse d'air sur l'eau de mer située au dessous, est moindre. La conséquence sera une élévation loca
lisée de son niveau qui, s'il est de plus combiné par une marée de forte amplitude, peut atteindre plusieurs mètres. Dans le cas du cyclone Bhola, le niveau de l'eau se suréleva de 6 mètres.
Ah, une Dépression se mesure en hPa ( hercotpascal).

Plus proche de nous, aux Pays-Bas, en 1953, un scénario très similaire eut lieu.
Le niveau de la mer ne se suréleva "que" de 4,5 mètres, mais ce fut plus que suffisant pour surpasser certaines digues de polders et les percer en plus de 80 endroits différents. Le bilan humain fut lourd: près de 2 000 morts.
Pour peu, il aurait atteint des proportions catastrophiques si une brèche dans la digue Groenendijk n'avait été colmatée grâce à... Une péniche.
Le maire de la ville de Nieuwerkerk, ordonna au propriétaire de la péniche "les deux frères", de conduire son bateau fluvial jusqu'au lieu, puis de l'échouer, afin de la colmater temporairement. La solution d'urgence fonctionna, préservant une vaste zone habitée par trois millions de personnes, des fureurs de l'eau... Et de toutes les conséquences.
En mémoire de cette bravoure, une statue représentant le propriétaire et la proue d'un bateau encastré dans la digue, a été érigée à l'endroit des faits.
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C'est exactement ce qu'il s'est passé avec la tempête Xynthia sur la côte Atlantique en 2010. Une forte dépression ajouté a de forts coefficients de marée on fait "se lever" la mer de 1,5 mètres ce qui a engendrer la catastrophe que l'on connaît.

a écrit : C'est exactement ce qu'il s'est passé avec la tempête Xynthia sur la côte Atlantique en 2010. Une forte dépression ajouté a de forts coefficients de marée on fait "se lever" la mer de 1,5 mètres ce qui a engendrer la catastrophe que l'on connaît. Tout à fait.

Ce sont d'ailleurs ces événements météorologiques exceptionnels, pouvant être les plus aptes à modifier définitivement un littoral (cordon de dunes, par exemple) et envahir une zone jusqu'à présent protégée.
La hausse du niveau de la mer, tant citée dans le cadre du réchauffement climatique, ne peut pas avoir une incidence aussi brutale (question d'heures). Néanmoins, oui, une augmentation de la fréquence des grosses tempêtes, ainsi que de la force moyenne du vent, peuvent mettre bien plus en péril une zone côtière.
Or, actuellement, ces deux points sont déjà présents.
.... Tellement présents que les Néerlandais les prennent en très grande considération et élaborent des plans de surélévation de leurs digues. Celle fermant le Zuiderzee, longue de 33 kilomètres est actuellement programmée pour lui rajouter un mètre de hauteur en plus. Un travail de titan !

a écrit : Ah, je ne savions pas qu'une dépression avait le pouvoir de faire monter le niveau de l'eau à ce point, JMCMB X2
Pour l'anecdote je comprends mieux la blague de Coluche maintenant, qui parlait de gens qui se plaignent de la flotte (je crois que c'est dans un sketch sur des camarades de tranché
e, à vérifier). Il disait "remarque au Pakistan c'est pas mieux ! Ils se sont dit +boah, on aura une meilleure récolte l'année prochaine !+ Et Beng, la dèche !" Afficher tout
J'aurai du être plus précis dans mon précédent commentaire.
Allons-y !

Le niveau moyen de la mer à un point géographique, doit se mesurer à 1013,25 hPh (hectopascal). Tout point au dessus ou au dessous, rajoute ou retire 1cm à ce niveau moyen.
Plus la mesure d'hectopascals est faible, plus le niveau de la mer est haut... et inversement si les hPa sont hauts.
Dans le cas de la catastrophe Néerlandaise de 1953, la basse pression à déjà eu une influence (à la hausse) du niveau de la mer, de plusieurs dizaines de centimètres. Ensuite, la marée a également eu une influence moyenne.
Mais surtout, le principal causant de la catastrophe fut le vent, soufflant de force 10 sur la côte, et de force 12 en Mer du Nord. De plus, fait exceptionnel, son point cardinal d'origine était exceptionnel: il soufflait du Nord-Ouest et est donc venu, comme un bélier forçant et brisant les digues, comme les portes d'un château fort.
Ayant soufflé toute la nuit, il a freiné, ET l'eau de mer allant à marée basse, ET l'eau des fleuves qui descendait par les estuaires. Au lendemain, à la marée haute suivante, le coup de grâce fut donné, détruisant encore des digues fragilisées ainsi que des maisons déjà malmenées, où les habitants réfugiés sur les toits, sombraient avec l'effondrement de leurs domiciles.

a écrit : J'aurai du être plus précis dans mon précédent commentaire.
Allons-y !

Le niveau moyen de la mer à un point géographique, doit se mesurer à 1013,25 hPh (hectopascal). Tout point au dessus ou au dessous, rajoute ou retire 1cm à ce niveau moyen.
Plus la mesure d'hectopascals est
faible, plus le niveau de la mer est haut... et inversement si les hPa sont hauts.
Dans le cas de la catastrophe Néerlandaise de 1953, la basse pression à déjà eu une influence (à la hausse) du niveau de la mer, de plusieurs dizaines de centimètres. Ensuite, la marée a également eu une influence moyenne.
Mais surtout, le principal causant de la catastrophe fut le vent, soufflant de force 10 sur la côte, et de force 12 en Mer du Nord. De plus, fait exceptionnel, son point cardinal d'origine était exceptionnel: il soufflait du Nord-Ouest et est donc venu, comme un bélier forçant et brisant les digues, comme les portes d'un château fort.
Ayant soufflé toute la nuit, il a freiné, ET l'eau de mer allant à marée basse, ET l'eau des fleuves qui descendait par les estuaires. Au lendemain, à la marée haute suivante, le coup de grâce fut donné, détruisant encore des digues fragilisées ainsi que des maisons déjà malmenées, où les habitants réfugiés sur les toits, sombraient avec l'effondrement de leurs domiciles.
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Je ne comprend pas le début de ton commentaire. Le niveau moyen de la mer ne se mesure pas à la pression atmosphérique, c'est l'inverse. C'est la pression atmosphérique qui se mesure au niveau moyen de la mer. Ensuite tu as raison, si cette pression varie fortement, alors le niveau de la mer va varier mais ce n'est plus un niveau "moyen", c'est un niveau extraordinaire.

Ensuite des niveaux "zéro", il en existe plusieurs et personne n'est vraiment d'accord : www.futura-sciences.com/planete/dossiers/developpement-durable-eau-elle-encore-bleue-618/page/4/

a écrit : Je ne comprend pas le début de ton commentaire. Le niveau moyen de la mer ne se mesure pas à la pression atmosphérique, c'est l'inverse. C'est la pression atmosphérique qui se mesure au niveau moyen de la mer. Ensuite tu as raison, si cette pression varie fortement, alors le niveau de la mer va varier mais ce n'est plus un niveau "moyen", c'est un niveau extraordinaire.

Ensuite des niveaux "zéro", il en existe plusieurs et personne n'est vraiment d'accord : www.futura-sciences.com/planete/dossiers/developpement-durable-eau-elle-encore-bleue-618/page/4/
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Bonjour @Tybs...

Bien que je ne suis pas sûr de bien comprendre ton affirmation, il me semble que notre différent provient de la compréhension de mon premier paragraphe.
Ce que je voulais dire, c'est que pour savoir à un moment donné, qu'elle devrait être la hauteur du niveau de la mer, sans variation due à la pression atmosphérique à ce moment, il faut rajouter ou retirer un nombre équivalent de centimètres que d'hectopascals, par rapport à 1013,25.
Exemple: si, au moment de la médition, les hectopascal sont à 1020,25, il faudra donc corriger cette différence en rajoutant 7 centimètres.

C'est la somme de toutes ces mesures ( par exemple de forme quotidienne sur une année) qui permet de savoir la hauteur moyenne du niveau de la mer, et fournira donc une donnée Climatique.
C'est cette donnée Climatique, comparée à d'autres mesures du même ordre, qui permettra donc de savoir quelle est la variation dans le temps écoulé, ainsi que de pouvoir faire une projection pour les années ou décennies à venir.

Noter que je n'ai pas pris en compte, d'autres variations (dont le coefficient de marée) dans l'explication ci-dessus, afin de simplifier.

a écrit : Bonjour @Tybs...

Bien que je ne suis pas sûr de bien comprendre ton affirmation, il me semble que notre différent provient de la compréhension de mon premier paragraphe.
Ce que je voulais dire, c'est que pour savoir à un moment donné, qu'elle devrait être la hauteur du niveau de la mer
, sans variation due à la pression atmosphérique à ce moment, il faut rajouter ou retirer un nombre équivalent de centimètres que d'hectopascals, par rapport à 1013,25.
Exemple: si, au moment de la médition, les hectopascal sont à 1020,25, il faudra donc corriger cette différence en rajoutant 7 centimètres.

C'est la somme de toutes ces mesures ( par exemple de forme quotidienne sur une année) qui permet de savoir la hauteur moyenne du niveau de la mer, et fournira donc une donnée Climatique.
C'est cette donnée Climatique, comparée à d'autres mesures du même ordre, qui permettra donc de savoir quelle est la variation dans le temps écoulé, ainsi que de pouvoir faire une projection pour les années ou décennies à venir.

Noter que je n'ai pas pris en compte, d'autres variations (dont le coefficient de marée) dans l'explication ci-dessus, afin de simplifier.
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Ok merci, oui je comprend mieux.