Les étonnants casques de combat japonais

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On trouvait au japon une grande variété d'armures. Par exemple à côté des équipements traditionnels parfois hauts en couleurs comme les kabutos aux formes presque fantastiques, on pouvait voir des cuirasses et morions en provenance des Européens portés sur des habits typiquement japonais. Cela donnait des mélanges assez originaux et au croisement de plusieurs cultures. Un peu comme les uniformes adoptés suite à la guerre du Boshin portés conjointement avec des katanas, chose qui ne manquait d'un certain charme exotique.

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a écrit : On trouvait au japon une grande variété d'armures. Par exemple à côté des équipements traditionnels parfois hauts en couleurs comme les kabutos aux formes presque fantastiques, on pouvait voir des cuirasses et morions en provenance des Européens portés sur des habits typiquement japonais. Cela donnait des mélanges assez originaux et au croisement de plusieurs cultures. Un peu comme les uniformes adoptés suite à la guerre du Boshin portés conjointement avec des katanas, chose qui ne manquait d'un certain charme exotique. Afficher tout Pour celles et ceux qui, comme moi, ne savent pas ce qu'est un morion :
fr.wikipedia.org/wiki/Morion_%28casque%29?wprov=sfla1

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Je me suis dit en voyant ça : c'est pas possible de se taper un machin pareil sur la tête sur un champ de bataille, c'est un casque d'apparat, de cérémonie. Mais non !

Au contraire, ces casques très voyants avaient une fonction militaire, ils permettaient aux officiers d'être repérés de loin par leurs soldats. Ceux-ci pouvaient donc aisément suivre leurs supérieurs dans la cohue et suivre leurs consignes.


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On trouvait au japon une grande variété d'armures. Par exemple à côté des équipements traditionnels parfois hauts en couleurs comme les kabutos aux formes presque fantastiques, on pouvait voir des cuirasses et morions en provenance des Européens portés sur des habits typiquement japonais. Cela donnait des mélanges assez originaux et au croisement de plusieurs cultures. Un peu comme les uniformes adoptés suite à la guerre du Boshin portés conjointement avec des katanas, chose qui ne manquait d'un certain charme exotique.

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a écrit : On trouvait au japon une grande variété d'armures. Par exemple à côté des équipements traditionnels parfois hauts en couleurs comme les kabutos aux formes presque fantastiques, on pouvait voir des cuirasses et morions en provenance des Européens portés sur des habits typiquement japonais. Cela donnait des mélanges assez originaux et au croisement de plusieurs cultures. Un peu comme les uniformes adoptés suite à la guerre du Boshin portés conjointement avec des katanas, chose qui ne manquait d'un certain charme exotique. Afficher tout Pour celles et ceux qui, comme moi, ne savent pas ce qu'est un morion :
fr.wikipedia.org/wiki/Morion_%28casque%29?wprov=sfla1

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Je me suis dit en voyant ça : c'est pas possible de se taper un machin pareil sur la tête sur un champ de bataille, c'est un casque d'apparat, de cérémonie. Mais non !

Au contraire, ces casques très voyants avaient une fonction militaire, ils permettaient aux officiers d'être repérés de loin par leurs soldats. Ceux-ci pouvaient donc aisément suivre leurs supérieurs dans la cohue et suivre leurs consignes.

a écrit : Je me suis dit en voyant ça : c'est pas possible de se taper un machin pareil sur la tête sur un champ de bataille, c'est un casque d'apparat, de cérémonie. Mais non !

Au contraire, ces casques très voyants avaient une fonction militaire, ils permettaient aux officiers d'être repérés
de loin par leurs soldats. Ceux-ci pouvaient donc aisément suivre leurs supérieurs dans la cohue et suivre leurs consignes. Afficher tout
Maintenant ils ont des parapluie qu'ils lèvent bien haut pour amener les soldats à l 'assault des grands magasins...;)

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J'étais là , à me dire que le forgeron avait fait du beau travail , et ben non , c'est du papier-mâché recouvert de laque sur une structure en fer et en bois .

a écrit : Parfaitement discret Les uniformes occidentaux d'avant la 1GM n'étaient pas très discrets non plus, du rouge, du jaune, du bleu... alors qu'on se battait déjà avec des armes à feu depuis plus d'un siècle.

A noter que les armures japonaises pouvaient être faites en papier, en les collant avec de la résine et en multipliant les couches, ces armures très légères résistaient très bien aux katanas les plus affutés, mais moins bien aux lances. Elles sont devenues obsolètes (et plus discrètes) avec l'arrivée du fusil au Japon.

a écrit : Je me suis dit en voyant ça : c'est pas possible de se taper un machin pareil sur la tête sur un champ de bataille, c'est un casque d'apparat, de cérémonie. Mais non !

Au contraire, ces casques très voyants avaient une fonction militaire, ils permettaient aux officiers d'être repérés
de loin par leurs soldats. Ceux-ci pouvaient donc aisément suivre leurs supérieurs dans la cohue et suivre leurs consignes. Afficher tout
Ils avaient aussi la fâcheuse fonction d'être repérables par l'ennemi. Supprimer les officiers du camp adverse et la bataille est terminée ^^

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a écrit : Ils avaient aussi la fâcheuse fonction d'être repérables par l'ennemi. Supprimer les officiers du camp adverse et la bataille est terminée ^^ Oui, mais il fallait encore l'atteindre, le chef. Aujourd'hui, c'est sur, avec un fusil à lunette, fastoche! ^^ Mais à l'époque, y'avait une armée de pions en première ligne, ensuite, fallait passer les soldats d'élite, résister à la cavalerie, puis la garde rapprochée... le chef avait 100 fois le temps de se tirer s'il jugeait que ca partait en brioche.

Il me semble que la portée maximum d'un arc composite n'excède pas 200 mètres, et bonjour la précision à cette distance.
Y'avait bien le scorpion mais les japonais n'en avaient pas et c'était plus de l'artillerie qu'autre chose...

Le flingue, c'est ça qui a tout changé, vraiment.

a écrit : Les uniformes occidentaux d'avant la 1GM n'étaient pas très discrets non plus, du rouge, du jaune, du bleu... alors qu'on se battait déjà avec des armes à feu depuis plus d'un siècle.

A noter que les armures japonaises pouvaient être faites en papier, en les collant avec de la résine
et en multipliant les couches, ces armures très légères résistaient très bien aux katanas les plus affutés, mais moins bien aux lances. Elles sont devenues obsolètes (et plus discrètes) avec l'arrivée du fusil au Japon. Afficher tout
Au cours de la guerre de 1870, les gradés français étaient une cible facilement repérable à cause du pantalon rouge de leur uniforme ...
Source : Un tonton à moi a fait partie de ces victimes.

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a écrit : Oui, mais il fallait encore l'atteindre, le chef. Aujourd'hui, c'est sur, avec un fusil à lunette, fastoche! ^^ Mais à l'époque, y'avait une armée de pions en première ligne, ensuite, fallait passer les soldats d'élite, résister à la cavalerie, puis la garde rapprochée... le chef avait 100 fois le temps de se tirer s'il jugeait que ca partait en brioche.

Il me semble que la portée maximum d'un arc composite n'excède pas 200 mètres, et bonjour la précision à cette distance.
Y'avait bien le scorpion mais les japonais n'en avaient pas et c'était plus de l'artillerie qu'autre chose...

Le flingue, c'est ça qui a tout changé, vraiment.
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Ça dépend de ce qu'on entend par chefs qui selon les cultures pouvaient très bien se battre en première ligne (César a plusieurs fois payé de sa personne). Si par chef on entend le général de l'armée alors oui il était en général protégé mais sans que cela ne soit une garantie absolue (cf Epaminondas à Leuctres ou Philippe Auguste qui faillit mourir à Bouvines). Si on parle de tous les gradés alors ça change tout. Par exemple les centurions romains ou nobles gaulois "subalternes" commandant leurs unités se battaient avec et étaient facilement reconnaissables de par leur crêtes de couleur.
En France par exemple c'est vers les guerres de religions que les rois ont arrêté de combattre en première ligne de mémoire.

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Quand tu rentres dans un bâtiment avec ça sur la tête, prie pour que linteau soit suffisamment haut...

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a écrit : Je me suis dit en voyant ça : c'est pas possible de se taper un machin pareil sur la tête sur un champ de bataille, c'est un casque d'apparat, de cérémonie. Mais non !

Au contraire, ces casques très voyants avaient une fonction militaire, ils permettaient aux officiers d'être repérés
de loin par leurs soldats. Ceux-ci pouvaient donc aisément suivre leurs supérieurs dans la cohue et suivre leurs consignes. Afficher tout
Ils pouvaient être aussi une cible facile pr les archers

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a écrit : Ça dépend de ce qu'on entend par chefs qui selon les cultures pouvaient très bien se battre en première ligne (César a plusieurs fois payé de sa personne). Si par chef on entend le général de l'armée alors oui il était en général protégé mais sans que cela ne soit une garantie absolue (cf Epaminondas à Leuctres ou Philippe Auguste qui faillit mourir à Bouvines). Si on parle de tous les gradés alors ça change tout. Par exemple les centurions romains ou nobles gaulois "subalternes" commandant leurs unités se battaient avec et étaient facilement reconnaissables de par leur crêtes de couleur.
En France par exemple c'est vers les guerres de religions que les rois ont arrêté de combattre en première ligne de mémoire.
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Non mais je parlais du Japon hein, les chefs, c'étaient des chefs de famille, de clans, au service de leur seigneur local, chacun gérait son petit bout d'armée, rien à voir avec les batailles d'occident même antiques où il y avait un chef suprême sur le terrain, où un peu plus loin.
On peut pratiquement parler d'armées de tribus unies.

a écrit : Oui, mais il fallait encore l'atteindre, le chef. Aujourd'hui, c'est sur, avec un fusil à lunette, fastoche! ^^ Mais à l'époque, y'avait une armée de pions en première ligne, ensuite, fallait passer les soldats d'élite, résister à la cavalerie, puis la garde rapprochée... le chef avait 100 fois le temps de se tirer s'il jugeait que ca partait en brioche.

Il me semble que la portée maximum d'un arc composite n'excède pas 200 mètres, et bonjour la précision à cette distance.
Y'avait bien le scorpion mais les japonais n'en avaient pas et c'était plus de l'artillerie qu'autre chose...

Le flingue, c'est ça qui a tout changé, vraiment.
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Ou avec une arbalète, dont le carreau peut dépasser les 100 m/s. Ils pouvaient percer une armure à 90/100 m. Bon, c'est encore court... ^^

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a écrit : Ou avec une arbalète, dont le carreau peut dépasser les 100 m/s. Ils pouvaient percer une armure à 90/100 m. Bon, c'est encore court... ^^ Non. Les flèches ne percent pas les armures, même à bout portant. Je t'invite à regarder cette vidéo où on a reconstitué la scène.

www.youtube.com/watch?v=DBxdTkddHaE

Les armures sont d'ailleurs la raison pour laquelle certains guerriers employaient des armes contondantes type masse d'armes ou marteau, seules efficaces contre les armures. Car elles broyaient les os.

a écrit : Non. Les flèches ne percent pas les armures, même à bout portant. Je t'invite à regarder cette vidéo où on a reconstitué la scène.

www.youtube.com/watch?v=DBxdTkddHaE

Les armures sont d'ailleurs la raison pour laquelle certains guerriers employaient des armes contondantes
type masse d'armes ou marteau, seules efficaces contre les armures. Car elles broyaient les os. Afficher tout
Avec une arbalète classique, non, mais avec une arbalète à cranequin (un genre de cric pour la tendre car impossible à la main), les armures de fer étaient transpercées comme une feuille de papier. Avant les armes à feu, c'étaient les seules armes mobiles à distance capables de transpercer les armures (et ça, les japonais d'avant le fusil, ils n'en avaient pas)

Une arbalète d'époque avec son cranequin:
www.pinterest.es/pin/537054324317771799/

On comprend d'où viens l'inspiration de la mouche des tortue ninja

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a écrit : Non. Les flèches ne percent pas les armures, même à bout portant. Je t'invite à regarder cette vidéo où on a reconstitué la scène.

www.youtube.com/watch?v=DBxdTkddHaE

Les armures sont d'ailleurs la raison pour laquelle certains guerriers employaient des armes contondantes
type masse d'armes ou marteau, seules efficaces contre les armures. Car elles broyaient les os. Afficher tout
Étant d une nullité affligeante en anglais...

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a écrit : Avec une arbalète classique, non, mais avec une arbalète à cranequin (un genre de cric pour la tendre car impossible à la main), les armures de fer étaient transpercées comme une feuille de papier. Avant les armes à feu, c'étaient les seules armes mobiles à distance capables de transpercer les armures (et ça, les japonais d'avant le fusil, ils n'en avaient pas)

Une arbalète d'époque avec son cranequin:
www.pinterest.es/pin/537054324317771799/
Afficher tout
Les japonais ont eu l'arbalète dès le VIIè siècle et, si rien ne dit qu'ils n'ont pas connu le cranequin ou équivalent, rien ne dit le contraire non plus.

En tout cas, ils avaient les Shinobi (ninja) et, s'ils étaient dotés de la Chu ko nu (arbalète chinoise avec chargeur), ils auraient pu faire un carton en s'approchant suffisamment, car leur pouvoir de pénétration était faible mais les carreaux étaient imprégnés de poison.

Mais là, je spécule... ^^

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