Les bières sans alcool permettent de faire du biocarburant

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L’augmentation des volumes de vente de bières sans alcool permet de fabriquer du biocarburant. En effet, les bières sans alcool sont faites comme des bières classiques mais sont désalcoolisées. L’alcool issu de ce processus est maintenant récupéré : 85 canettes permettent ainsi de synthétiser un litre de biocarburant.


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a écrit : Il existe trois procédés :
L'évaporation de partie où de la totalité de l'alcool contenu.
L'osmose inverse, également appelée ultrafiltration.
La technique CCR: distillation à froid par centrifugation sur des cônes rotatifs.
www.cuisineaz.com/articles/vin-sans-alcool-2
166.aspx

Tu devrais pouvoir trouver très facilement d'autres liens détaillant chacune des méthodes employées.
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Intéressant le procédé des cônes !

a écrit : Les différences peuvent être subtiles en effet... Ajouté à ça que le principe physique de l'osmose n'est pas forcément connu du grand publique et que ces différents procédés sont souvent couplés pour être plus efficaces, on obtient logiquement des confusions. Rien de dramatique, mais c'était l'occasion de préciser les choses :)
Le problème de tous ces procédés est d'ailleurs le même : ils sont très énergivores. D'où le lien de plus en plus étroit entre accès à l'eau potable et production/consommation d'énergie.
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D'après tout ce que j'ai pu lire, en matière de déssalement d'eau de mer, en Israël, l'usage de l'osmose inverse/ultrafiltration(*) est de plus en plus rentable, d'un point de vue financier.
Ceci est en très grande partie dû à la mise au point de techniques permettant la récupération/revalorisation de pression, durant la phase de décompression de l'eau de mer en fin de processus de déssalement.
Ceci conduit actuellement à un coût financier de 0,51 $/ M3 obtenu.

J'entends bien que ce coût très bas, ne doit très probablement pas inclure d'autres dépenses financières annexes, qui seraient tout aussi indispensables, dans le cas d'une eau douce traitée pour avoir toutes les garanties de potabilité.

(*) Désolé, mais le doute persiste dans mon esprit, sur l'emploi exact de chacun de ces termes.

a écrit : A force de voir la pub "Trop cool, des citrons" j'en ai acheté pour gouter et c'est pas mal du tout, c'est même très bon, on peut facilement se laisser berner, et c'est un alcoolique qui parle, juré craché!!!

En fait je me demande si:
Une bière alcoolisée, une sans, une
avec, une sans... ca permettrait de prolonger les soirées pochetronnâtes plus longtemps. Y'a de l'idée nan? ;)

Sinon je suis toujours fasciné de voir à quelle vitesse on passe d'une anecdote sur un procédé scientifique parlant d'alcool à un débat sur la quantité qu'on peut se faire servir au bar... c'est pas la première fois que ca arrive sur ce site! ^^
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Pour la tourtel, on se laisse berner si on comsomme des produits comme la Corona, la déspérados et ce genre la ! J'ai toujours du mal à appeler ça bière, même si j'apprécie une bonne skoll des familles !

Pas sur de trouver une bière style haute fermentation "belch une fois" sans alcool !
Bon faut dire j'ai jamais testé donc, je dirai Why not !? J'avais bu une bière style Lager Allemande, c'est vrai que, sans le savoir, j'aurai pu me laisser berner ! Comme certains prouits à base de Soja (surtout avec une sauce).

Soirée tourtel ou Paulaner sans alcool ? Faudrait lancer l'idée !

a écrit : En France on utilise "demi" qui signifie "demi pinte". Une pinte représente 50cl, donc c'est en demandant un demi qu'on commande une bière de 25cl ;)

Mais ceci étant, un demi litre de Chimay bleue, ça s'accepte très bien aussi...
Si tu es fan de la Chimay bleue en pinte, bon deja c'est que tu es quelq'un de bien, mais tu en trouveras régulierment dans les bars de la chaine Délirium café (t'en as plusieurs en France)!

En tous cas, ma connaissance, je ne connais que ce bar qui en propose, la bleues, c'est pas faute d'avoir écumé une partie des bars de Dijon ;-)

a écrit : Si tu es fan de la Chimay bleue en pinte, bon deja c'est que tu es quelq'un de bien, mais tu en trouveras régulierment dans les bars de la chaine Délirium café (t'en as plusieurs en France)!

En tous cas, ma connaissance, je ne connais que ce bar qui en propose, la bleues, c'est pas fa
ute d'avoir écumé une partie des bars de Dijon ;-) Afficher tout
Je ne connais aucun bar de la région Haut de France qui ne propose pas de Chimey Bleue ... il va falloir revoir les stocks à Dijon ^^

Les seules fois où j'ai demandé un type de bière particulier (triple karmeliet, Orval, Lupulus, Rochefort, etc.) et que le barman n'en avait pas c'était par rupture de stock et non par méconnaissance de la marque. De toute façon, un bar à bière digne de ce nom doit posséder de base toutes les trappistes ^^

a écrit : Je ne connais aucun bar de la région Haut de France qui ne propose pas de Chimey Bleue ... il va falloir revoir les stocks à Dijon ^^

Les seules fois où j'ai demandé un type de bière particulier (triple karmeliet, Orval, Lupulus, Rochefort, etc.) et que le barman n'en avait pas c'était par r
upture de stock et non par méconnaissance de la marque. De toute façon, un bar à bière digne de ce nom doit posséder de base toutes les trappistes ^^ Afficher tout
Et ben tu as confirmé mon envie de venir dans le Ch'nord/Picardie alors pendant la période de vacances estival (en même temps al Belgique c'est quand même pas si loin) !! La chimay bleue au même titre que 4 de la Trappe et la Westmalle Triple, tu les trouves tellement de partout en bouteille, qu'a la pression, c'est peut être moiis courant dans notre région

Ben la Spencer, Engel...je c plus , Tynt Meadow et la tre fontane...jamais vu en bar (je fais l'impasse sur l'imprononcable V...), et pas qu'en côte d"or ! Oui j'ai un listing de toutes les trapistes et je sais lesquelles j'ai bu ;-)
Un orval en fin de soirée est parfait (oui j'adore dire un) !

a écrit : Je ne connais aucun bar de la région Haut de France qui ne propose pas de Chimey Bleue ... il va falloir revoir les stocks à Dijon ^^

Les seules fois où j'ai demandé un type de bière particulier (triple karmeliet, Orval, Lupulus, Rochefort, etc.) et que le barman n'en avait pas c'était par r
upture de stock et non par méconnaissance de la marque. De toute façon, un bar à bière digne de ce nom doit posséder de base toutes les trappistes ^^ Afficher tout
Je confirme.

a écrit : Je ne connais aucun bar de la région Haut de France qui ne propose pas de Chimey Bleue ... il va falloir revoir les stocks à Dijon ^^

Les seules fois où j'ai demandé un type de bière particulier (triple karmeliet, Orval, Lupulus, Rochefort, etc.) et que le barman n'en avait pas c'était par r
upture de stock et non par méconnaissance de la marque. De toute façon, un bar à bière digne de ce nom doit posséder de base toutes les trappistes ^^ Afficher tout
Petite anecdote sur la bière Orval en passant :
Nous sommes en Belgique au XIe siècle, et Mathilde est une comtesse de Toscane. C’est aussi la tante de Godefroy de Bouillon, le célèbre chevalier.
Mathilde donc, au cours d’une ballade (d’autres parlent d’une chasse), vient boire au bord d’un ruisseau. Par inadvertance, elle fait tomber son alliance dans l’eau. Or cette bague était le seul souvenir qui lui restait de son défunt mari. Toute chagrinée, elle invoque alors la Vierge en aide.
Soudain, une truite jaillit de l’eau, tenant dans sa bouche le précieux anneau. Mathilde saisit l’anneau en s’écriant : “Vraiment, c’est ici un val d’or” ! Cet événement a eu 3 effets :
- Pour remercier la Vierge, Mathilde a alors voulu qu’on fonde sur ce « val d’or » une abbaye… qui s’appellera Orval !
- En souvenir de cet épisode, la source d’eau (avec laquelle est brassée la bière Orval) fut rebaptisée « Mathilde ». Tout simplement !
- Le logo de l’abbaye d’Orval est une truite tenant dans sa bouche un anneau. On le trouve partout : sur les vitraux, sur les portes, dans la brasserie, et même sur l’étiquette de la bière Orval !
divinebox.fr/biere-orval/

a écrit : Si tu es fan de la Chimay bleue en pinte, bon deja c'est que tu es quelq'un de bien, mais tu en trouveras régulierment dans les bars de la chaine Délirium café (t'en as plusieurs en France)!

En tous cas, ma connaissance, je ne connais que ce bar qui en propose, la bleues, c'est pas fa
ute d'avoir écumé une partie des bars de Dijon ;-) Afficher tout
Oui j'ai découvert les Délirium, mais à Rome

a écrit : Petite anecdote sur la bière Orval en passant :
Nous sommes en Belgique au XIe siècle, et Mathilde est une comtesse de Toscane. C’est aussi la tante de Godefroy de Bouillon, le célèbre chevalier.
Mathilde donc, au cours d’une ballade (d’autres parlent d’une chasse), vient boire au bord d’un ruisseau. Par in
advertance, elle fait tomber son alliance dans l’eau. Or cette bague était le seul souvenir qui lui restait de son défunt mari. Toute chagrinée, elle invoque alors la Vierge en aide.
Soudain, une truite jaillit de l’eau, tenant dans sa bouche le précieux anneau. Mathilde saisit l’anneau en s’écriant : “Vraiment, c’est ici un val d’or” ! Cet événement a eu 3 effets :
- Pour remercier la Vierge, Mathilde a alors voulu qu’on fonde sur ce « val d’or » une abbaye… qui s’appellera Orval !
- En souvenir de cet épisode, la source d’eau (avec laquelle est brassée la bière Orval) fut rebaptisée « Mathilde ». Tout simplement !
- Le logo de l’abbaye d’Orval est une truite tenant dans sa bouche un anneau. On le trouve partout : sur les vitraux, sur les portes, dans la brasserie, et même sur l’étiquette de la bière Orval !
divinebox.fr/biere-orval/
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Merci pour ce commentaire très instructif ;)

a écrit : D'après tout ce que j'ai pu lire, en matière de déssalement d'eau de mer, en Israël, l'usage de l'osmose inverse/ultrafiltration(*) est de plus en plus rentable, d'un point de vue financier.
Ceci est en très grande partie dû à la mise au point de techniques permettant la récupérati
on/revalorisation de pression, durant la phase de décompression de l'eau de mer en fin de processus de déssalement.
Ceci conduit actuellement à un coût financier de 0,51 $/ M3 obtenu.

J'entends bien que ce coût très bas, ne doit très probablement pas inclure d'autres dépenses financières annexes, qui seraient tout aussi indispensables, dans le cas d'une eau douce traitée pour avoir toutes les garanties de potabilité.

(*) Désolé, mais le doute persiste dans mon esprit, sur l'emploi exact de chacun de ces termes.
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Je te crois sur parole concernant les coûts et la rentabilité, mes connaissances se limitent aux principes théoriques.

a écrit : Le format standard c'est le 33 cl. Des cannettes de 25, 37,5 et 50 cl existent aussi. C'est comme quand tu demandes une bière à la pression sur une terrasse, si tu ne précises rien, on te servira un 25 cl.

Un petit hors sujet mais amis français, si vous passez par la Belgique et que vous demandez
un demi, ne soyez pas étonnés qu'on vous apporte un demi litre car je cherche toujours à comprendre à quoi correspond le demi à la française (ou à la parisienne je ne sais pas). Du coup, c est le demi d'un demi litre... Afficher tout
Il s’agit d’une demi pinte. Salute.