Quand la volonté de bien dormir vous empêche de dormir

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L'orthosomnie est l'obsession que développent certaines personnes au sujet de la qualité et de la quantité de leur sommeil. Paradoxalement, cette obsession entraine souvent des troubles du sommeil, car elle provoque une réaction de stress en érigeant le sommeil en enjeu primordial.


Commentaires préférés (3)

Sans en connaître les aboutissants sociologiques je constate le même phénomène sur la nutrition ou la santé en général. Des gens de mon entourage qui cible un problème (digestion difficile, douleurs ponctuelles etc.) Tout va tourner autour de ça et agraver un pblm bénin en fixation abberante

J'ai un sommeil très compliqué. Je peux tomber comme une masse vers 21:30 pendant une heure, une heure et demi et ensuite ne plus pouvoir dormir jusqu'à 2/3 heures du matin et devoir me lever à 6:30. D'autres fois je vais rester éveillé directement jusqu'à 2:00 et dormir assez vite ou bien alors cas le plus fréquent, me coucher, me relever jusqu'à 5/6 fois dans la nuit et avoir un sommeil enfin profond que vers 3:00.
Pour ainsi dire, ma vraie dernière nuit genre couché à 23:00 levé à 6:30 doit remonter à plus de 6 mois.
Du coup il est vrai que souvent je me pose la question de 1, vais je m'endormir rapidement, 2 vais je réussir à dormir d'un sommeil un tant soit peu réparateur.
Donc quand tu en arrivés un certain point cela vite à l'obsession et le questionnement devient obligatoire et t'empêche sans doute parfois à lui seul de dormir.

Seule inconséquence notable, cela ne joue pas sur mon moral ou ma bonne humeur qui sont toujours présents. Par contre physiquement, même s'il n'y a pas une fatigue réelle ressentie ( le corps s'adapte à un certain manque de sommeil - j'ai 50 ans et ça dure depuis 7 ans environ), les efforts un peu exceptionnels pèsent assez vite eux.

Je ne connaissais pas cette obsession mais je pense que ma femme en est potentiellement atteinte.
Elle regarde systématiquement sa montre connectée pour m’annoncer ses durées de sommeil profond !
La seule période de sommeil normale qu’elle ai connu, c’est quand elle était enceinte.
Je me dis que son esprit devait être détourné de ses problèmes de sommeil en complément d’autres phénomènes physiologiques que je ne connais pas.
Dès la reprise du boulot, c’était reparti!
Mais bon, c’est comme dire a quelqu’un d’arrêter de s’énerver pour rien, je pense simplement qu’il n’y a pas grand chose à faire malheureusement , ou peut-être lui filer des somnifères en cachette jusqu’à ce qu’elle retrouve un sommeil qui lui fasse oublier.. son sommeil !
Et moi, je me ressers un ptit verre pour oublier que je bois.. à la vôtre ;-)


Tous les commentaires (42)

Sans en connaître les aboutissants sociologiques je constate le même phénomène sur la nutrition ou la santé en général. Des gens de mon entourage qui cible un problème (digestion difficile, douleurs ponctuelles etc.) Tout va tourner autour de ça et agraver un pblm bénin en fixation abberante

a écrit : Sans en connaître les aboutissants sociologiques je constate le même phénomène sur la nutrition ou la santé en général. Des gens de mon entourage qui cible un problème (digestion difficile, douleurs ponctuelles etc.) Tout va tourner autour de ça et agraver un pblm bénin en fixation abberante Ce n'est pas être hypochondriaque?

J'ai un sommeil très compliqué. Je peux tomber comme une masse vers 21:30 pendant une heure, une heure et demi et ensuite ne plus pouvoir dormir jusqu'à 2/3 heures du matin et devoir me lever à 6:30. D'autres fois je vais rester éveillé directement jusqu'à 2:00 et dormir assez vite ou bien alors cas le plus fréquent, me coucher, me relever jusqu'à 5/6 fois dans la nuit et avoir un sommeil enfin profond que vers 3:00.
Pour ainsi dire, ma vraie dernière nuit genre couché à 23:00 levé à 6:30 doit remonter à plus de 6 mois.
Du coup il est vrai que souvent je me pose la question de 1, vais je m'endormir rapidement, 2 vais je réussir à dormir d'un sommeil un tant soit peu réparateur.
Donc quand tu en arrivés un certain point cela vite à l'obsession et le questionnement devient obligatoire et t'empêche sans doute parfois à lui seul de dormir.

Seule inconséquence notable, cela ne joue pas sur mon moral ou ma bonne humeur qui sont toujours présents. Par contre physiquement, même s'il n'y a pas une fatigue réelle ressentie ( le corps s'adapte à un certain manque de sommeil - j'ai 50 ans et ça dure depuis 7 ans environ), les efforts un peu exceptionnels pèsent assez vite eux.

a écrit : J'ai un sommeil très compliqué. Je peux tomber comme une masse vers 21:30 pendant une heure, une heure et demi et ensuite ne plus pouvoir dormir jusqu'à 2/3 heures du matin et devoir me lever à 6:30. D'autres fois je vais rester éveillé directement jusqu'à 2:00 et dormir assez vite ou bien alors cas le plus fréquent, me coucher, me relever jusqu'à 5/6 fois dans la nuit et avoir un sommeil enfin profond que vers 3:00.
Pour ainsi dire, ma vraie dernière nuit genre couché à 23:00 levé à 6:30 doit remonter à plus de 6 mois.
Du coup il est vrai que souvent je me pose la question de 1, vais je m'endormir rapidement, 2 vais je réussir à dormir d'un sommeil un tant soit peu réparateur.
Donc quand tu en arrivés un certain point cela vite à l'obsession et le questionnement devient obligatoire et t'empêche sans doute parfois à lui seul de dormir.

Seule inconséquence notable, cela ne joue pas sur mon moral ou ma bonne humeur qui sont toujours présents. Par contre physiquement, même s'il n'y a pas une fatigue réelle ressentie ( le corps s'adapte à un certain manque de sommeil - j'ai 50 ans et ça dure depuis 7 ans environ), les efforts un peu exceptionnels pèsent assez vite eux.
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As tu essayé les remèdes de grand mère ? Tisanes de tilleul, primevère ? Lait chaud avant le coucher ?

a écrit : As tu essayé les remèdes de grand mère ? Tisanes de tilleul, primevère ? Lait chaud avant le coucher ? Tous les insomniaques comme moi te diront qu'ils ont tout essayé mais rien n'y fait ...
Après j'ai décidé d'en faire une force et j'en profite pour lire la nuit, lire scmb, faire de la méditation. Mais c'est quand même assez compliqué de manquer de sommeil sur le long terme !

Je ne connaissais pas cette obsession mais je pense que ma femme en est potentiellement atteinte.
Elle regarde systématiquement sa montre connectée pour m’annoncer ses durées de sommeil profond !
La seule période de sommeil normale qu’elle ai connu, c’est quand elle était enceinte.
Je me dis que son esprit devait être détourné de ses problèmes de sommeil en complément d’autres phénomènes physiologiques que je ne connais pas.
Dès la reprise du boulot, c’était reparti!
Mais bon, c’est comme dire a quelqu’un d’arrêter de s’énerver pour rien, je pense simplement qu’il n’y a pas grand chose à faire malheureusement , ou peut-être lui filer des somnifères en cachette jusqu’à ce qu’elle retrouve un sommeil qui lui fasse oublier.. son sommeil !
Et moi, je me ressers un ptit verre pour oublier que je bois.. à la vôtre ;-)

a écrit : Ce n'est pas être hypochondriaque? Non, hypocondriaque c'est s'imaginer des maladies. Le com précédent parle de générer des problèmes suite à une phobie. Donc un hypocondriaque peut ou pas générer ce phénomène, et ce phénomène peut être constaté chez les hypocondriaques ou chez de vrais malades.

a écrit : J'ai un sommeil très compliqué. Je peux tomber comme une masse vers 21:30 pendant une heure, une heure et demi et ensuite ne plus pouvoir dormir jusqu'à 2/3 heures du matin et devoir me lever à 6:30. D'autres fois je vais rester éveillé directement jusqu'à 2:00 et dormir assez vite ou bien alors cas le plus fréquent, me coucher, me relever jusqu'à 5/6 fois dans la nuit et avoir un sommeil enfin profond que vers 3:00.
Pour ainsi dire, ma vraie dernière nuit genre couché à 23:00 levé à 6:30 doit remonter à plus de 6 mois.
Du coup il est vrai que souvent je me pose la question de 1, vais je m'endormir rapidement, 2 vais je réussir à dormir d'un sommeil un tant soit peu réparateur.
Donc quand tu en arrivés un certain point cela vite à l'obsession et le questionnement devient obligatoire et t'empêche sans doute parfois à lui seul de dormir.

Seule inconséquence notable, cela ne joue pas sur mon moral ou ma bonne humeur qui sont toujours présents. Par contre physiquement, même s'il n'y a pas une fatigue réelle ressentie ( le corps s'adapte à un certain manque de sommeil - j'ai 50 ans et ça dure depuis 7 ans environ), les efforts un peu exceptionnels pèsent assez vite eux.
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Nouveau parent ???^^
Plus sérieusement, la pratique régulière (2 à 3 fois par semaine) d'un sport de fond (course à pied, natation, vélo) aide à retrouver un sommeil régulier et réparateur. Source : expérience personnelle.

a écrit : J'ai un sommeil très compliqué. Je peux tomber comme une masse vers 21:30 pendant une heure, une heure et demi et ensuite ne plus pouvoir dormir jusqu'à 2/3 heures du matin et devoir me lever à 6:30. D'autres fois je vais rester éveillé directement jusqu'à 2:00 et dormir assez vite ou bien alors cas le plus fréquent, me coucher, me relever jusqu'à 5/6 fois dans la nuit et avoir un sommeil enfin profond que vers 3:00.
Pour ainsi dire, ma vraie dernière nuit genre couché à 23:00 levé à 6:30 doit remonter à plus de 6 mois.
Du coup il est vrai que souvent je me pose la question de 1, vais je m'endormir rapidement, 2 vais je réussir à dormir d'un sommeil un tant soit peu réparateur.
Donc quand tu en arrivés un certain point cela vite à l'obsession et le questionnement devient obligatoire et t'empêche sans doute parfois à lui seul de dormir.

Seule inconséquence notable, cela ne joue pas sur mon moral ou ma bonne humeur qui sont toujours présents. Par contre physiquement, même s'il n'y a pas une fatigue réelle ressentie ( le corps s'adapte à un certain manque de sommeil - j'ai 50 ans et ça dure depuis 7 ans environ), les efforts un peu exceptionnels pèsent assez vite eux.
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Bonjour, le sommeil polyphasique peut être ?

a écrit : J'ai un sommeil très compliqué. Je peux tomber comme une masse vers 21:30 pendant une heure, une heure et demi et ensuite ne plus pouvoir dormir jusqu'à 2/3 heures du matin et devoir me lever à 6:30. D'autres fois je vais rester éveillé directement jusqu'à 2:00 et dormir assez vite ou bien alors cas le plus fréquent, me coucher, me relever jusqu'à 5/6 fois dans la nuit et avoir un sommeil enfin profond que vers 3:00.
Pour ainsi dire, ma vraie dernière nuit genre couché à 23:00 levé à 6:30 doit remonter à plus de 6 mois.
Du coup il est vrai que souvent je me pose la question de 1, vais je m'endormir rapidement, 2 vais je réussir à dormir d'un sommeil un tant soit peu réparateur.
Donc quand tu en arrivés un certain point cela vite à l'obsession et le questionnement devient obligatoire et t'empêche sans doute parfois à lui seul de dormir.

Seule inconséquence notable, cela ne joue pas sur mon moral ou ma bonne humeur qui sont toujours présents. Par contre physiquement, même s'il n'y a pas une fatigue réelle ressentie ( le corps s'adapte à un certain manque de sommeil - j'ai 50 ans et ça dure depuis 7 ans environ), les efforts un peu exceptionnels pèsent assez vite eux.
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Il faudrait sûrement voir avec un médecin si tu ne l'as pas déjà fait, y a peut-être de l'apnée du sommeil. Après il faut se rappeler qu'il y a plus d'un siècle les gens dormaient en 2 fois. Par exemple 4h de sommeil puis 2h d'éveil puis rebelote 4h de sommeil. On s'est plus ou moins adaptés pour compenser le fait de moins dormir

a écrit : J'ai un sommeil très compliqué. Je peux tomber comme une masse vers 21:30 pendant une heure, une heure et demi et ensuite ne plus pouvoir dormir jusqu'à 2/3 heures du matin et devoir me lever à 6:30. D'autres fois je vais rester éveillé directement jusqu'à 2:00 et dormir assez vite ou bien alors cas le plus fréquent, me coucher, me relever jusqu'à 5/6 fois dans la nuit et avoir un sommeil enfin profond que vers 3:00.
Pour ainsi dire, ma vraie dernière nuit genre couché à 23:00 levé à 6:30 doit remonter à plus de 6 mois.
Du coup il est vrai que souvent je me pose la question de 1, vais je m'endormir rapidement, 2 vais je réussir à dormir d'un sommeil un tant soit peu réparateur.
Donc quand tu en arrivés un certain point cela vite à l'obsession et le questionnement devient obligatoire et t'empêche sans doute parfois à lui seul de dormir.

Seule inconséquence notable, cela ne joue pas sur mon moral ou ma bonne humeur qui sont toujours présents. Par contre physiquement, même s'il n'y a pas une fatigue réelle ressentie ( le corps s'adapte à un certain manque de sommeil - j'ai 50 ans et ça dure depuis 7 ans environ), les efforts un peu exceptionnels pèsent assez vite eux.
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Je vais confirmer ce qu'un autre commentaire a dit avant moi. J'ai ce genre de problème aussi quand j'ai des périodes chargées (pas forcement stressantes) et que je ne fais presque plus de sport. Une fois repris mon sommeil s'améliore. Après peut-être que ton cas est différent.

a écrit : Il faudrait sûrement voir avec un médecin si tu ne l'as pas déjà fait, y a peut-être de l'apnée du sommeil. Après il faut se rappeler qu'il y a plus d'un siècle les gens dormaient en 2 fois. Par exemple 4h de sommeil puis 2h d'éveil puis rebelote 4h de sommeil. On s'est plus ou moins adaptés pour compenser le fait de moins dormir Afficher tout Même si je suis tout à fait d'accord sur le sommeil biphasique qui était courant il y a longtemps, je mettrais en doute la raison.
On se couchait simplement avec la nuit, on se réveillait pour vaquer à nos occupations puis on se rendormait jusqu'à l'aube. La quantité de sommeil était peut-être plus importante qu'aujourd'hui mais cela ne fait pas tout. On peut raisonnablement penser que la qualité du sommeil était bien meilleur (activité plus physique la journée, pas d'écrans ni de lumière bleue, pas de notifications intempestives, etc...).

J'ai à peu près les mêmes problèmes que toi, ayant bossé pas mal en 3x8 je me disais que mon sommeil était détraqué et qu'on y pouvait pas grand chose. On m'a fait essayer pas mal de trucs sans que j'y croie réellement.
Finalement j'ai testé euphytose nuit en tisane le soir avant de me coucher, le changement est radical et plus qu'apreciable. C'est peut être en concomitance avec d'autres changement, ou bien juste psychologique, mais au cas où ça peut faire le même effet pour toi ou d'autres je balance l'info publicitaire avec joie.

a écrit : Tous les insomniaques comme moi te diront qu'ils ont tout essayé mais rien n'y fait ...
Après j'ai décidé d'en faire une force et j'en profite pour lire la nuit, lire scmb, faire de la méditation. Mais c'est quand même assez compliqué de manquer de sommeil sur le long terme !
Oui je m'en doutais bien un peu... Surtout si c'est un problème psychologique ! Mais si je peux aider

Je pense aux navigateurs qui dorment 15 min toutes les 2h.

a écrit : Oui je m'en doutais bien un peu... Surtout si c'est un problème psychologique ! Mais si je peux aider Je pense que tu as raison, quand c'est passagé, les remèdes de grands-mères sont très efficaces. Mais sur des sommeils détraqués depuis des lustres, c'est mort.
Je pense comme dit précédemment que le sport peut être une solution, couplé avec d'autres remèdes.

Ha c'est donc ça....j'ai peut-être cela , j'ai affreusement peur de ne pas avoir assez de temps pour dormir , que ça me stress tellement , mon cœur bât beaucoup plus vite... , je regarde l'heure et me dis qu'il ne me reste plus que 5 heure par exemple et qu'il faut donc que je me dépêche pour dormir, c'est un cercle vicieux.

a écrit : J'ai un sommeil très compliqué. Je peux tomber comme une masse vers 21:30 pendant une heure, une heure et demi et ensuite ne plus pouvoir dormir jusqu'à 2/3 heures du matin et devoir me lever à 6:30. D'autres fois je vais rester éveillé directement jusqu'à 2:00 et dormir assez vite ou bien alors cas le plus fréquent, me coucher, me relever jusqu'à 5/6 fois dans la nuit et avoir un sommeil enfin profond que vers 3:00.
Pour ainsi dire, ma vraie dernière nuit genre couché à 23:00 levé à 6:30 doit remonter à plus de 6 mois.
Du coup il est vrai que souvent je me pose la question de 1, vais je m'endormir rapidement, 2 vais je réussir à dormir d'un sommeil un tant soit peu réparateur.
Donc quand tu en arrivés un certain point cela vite à l'obsession et le questionnement devient obligatoire et t'empêche sans doute parfois à lui seul de dormir.

Seule inconséquence notable, cela ne joue pas sur mon moral ou ma bonne humeur qui sont toujours présents. Par contre physiquement, même s'il n'y a pas une fatigue réelle ressentie ( le corps s'adapte à un certain manque de sommeil - j'ai 50 ans et ça dure depuis 7 ans environ), les efforts un peu exceptionnels pèsent assez vite eux.
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J'ai un peu le même problème mais en plus je travaille je nuit, je commence généralement entre 00h et 3h du matin donc quand je me couche le soir entre 17 et 20h (impossible pour moi de dormir plus tôt, déjà que là c'est pas toujours évident) il m'arrive quasi systématiquement de me mettre une certaine pression pour essayer de dormir et d'avoir un sommeil réparateur, pour au final avoir énormément de mal à m'endormir

a écrit : J'ai un sommeil très compliqué. Je peux tomber comme une masse vers 21:30 pendant une heure, une heure et demi et ensuite ne plus pouvoir dormir jusqu'à 2/3 heures du matin et devoir me lever à 6:30. D'autres fois je vais rester éveillé directement jusqu'à 2:00 et dormir assez vite ou bien alors cas le plus fréquent, me coucher, me relever jusqu'à 5/6 fois dans la nuit et avoir un sommeil enfin profond que vers 3:00.
Pour ainsi dire, ma vraie dernière nuit genre couché à 23:00 levé à 6:30 doit remonter à plus de 6 mois.
Du coup il est vrai que souvent je me pose la question de 1, vais je m'endormir rapidement, 2 vais je réussir à dormir d'un sommeil un tant soit peu réparateur.
Donc quand tu en arrivés un certain point cela vite à l'obsession et le questionnement devient obligatoire et t'empêche sans doute parfois à lui seul de dormir.

Seule inconséquence notable, cela ne joue pas sur mon moral ou ma bonne humeur qui sont toujours présents. Par contre physiquement, même s'il n'y a pas une fatigue réelle ressentie ( le corps s'adapte à un certain manque de sommeil - j'ai 50 ans et ça dure depuis 7 ans environ), les efforts un peu exceptionnels pèsent assez vite eux.
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J’ai 38ans et je suis dans le même cas de figure que vous et ça depuis 2009.
Après je travail en faisant les tournées (2 matins; 2 après midi; 2 nuits 4 repos) donc ça aide pas non plus, pour un bon équilibre.

a écrit : Je ne connaissais pas cette obsession mais je pense que ma femme en est potentiellement atteinte.
Elle regarde systématiquement sa montre connectée pour m’annoncer ses durées de sommeil profond !
La seule période de sommeil normale qu’elle ai connu, c’est quand elle était enceinte.
Je me dis que son e
sprit devait être détourné de ses problèmes de sommeil en complément d’autres phénomènes physiologiques que je ne connais pas.
Dès la reprise du boulot, c’était reparti!
Mais bon, c’est comme dire a quelqu’un d’arrêter de s’énerver pour rien, je pense simplement qu’il n’y a pas grand chose à faire malheureusement , ou peut-être lui filer des somnifères en cachette jusqu’à ce qu’elle retrouve un sommeil qui lui fasse oublier.. son sommeil !
Et moi, je me ressers un ptit verre pour oublier que je bois.. à la vôtre ;-)
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Pour madame, changer de travail peut être...?!