Le cannabis fut autorisé en France

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En France, l'usage médical du cannabis fut autorisé jusqu’en 1953. Il était utilisé entre autres comme analgésique et sédatif. Au XIXe siècle, on en trouvait même dans des sirops pour enfants !

Parmi tous ces médicaments disponibles sur le marché à la fin du 19ème siècle, la majorité était administrée par voie orale sous forme de dilutions (extraits de cannabis dans un solvant d’alcool éthylique).


Commentaires préférés (3)

a écrit : Dans les sirops pour enfants ...
Ah ben ya ptêtre un lien avec la génération des yéyés du coup non? (pas encore au biberon mais c'était pas loin)
Si les enfants du 19ème siècle sont les yéyés des années 60/70, je pense qu'il faut absolument faire des recherches sur le cannabis et l'allongement de la durée de vie^^

Mon père avait sont quart de vin tout les jour a l’ école primaire.
Donc le sirop au cannabis ne m etonne pas

a écrit : Heu...

Je viens encore, la semaine dernière, d'écarter de mon cercle de connaissances, un accroc à la fumette de joints. Son comportement relationnel n'est pas des meilleurs, sous ces effets.
Ce n'est pas le premier... Et probablement pas le dernier que j'éviterai, tant la dé
mocratisation de sa consommation récréative est maintenant répandue dans la population.
---------------------------------
Aux États-Unis, c'est la "Marihuana Tax Act" qui cherchera à mettre fin à son usage récréatif, dès 1937.
Néanmoins, cette Loi Fédérale... englobait aussi l'usage du chanvre dans son usage industriel et médical, ne le rendant plus économiquement compétitif.
Néanmoins, quand les États-Unis entrent dans le conflit de la Seconde Guerre Mondiale, le Ministère de l'Agriculture, se doit de relancer une production nationale. En effet la fibre sert à fabriquer le cordage des milliers de Liberty et Victory ships, de partie des semelles des bottes militaires, des parachutes, etc...
Tant cette matière première se fit tellement indispensable, que les familles d'agriculteurs cultivant le chanvre, étaient exonérés de leurs devoirs militaires.
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Je comprends bien, mais il faut quand même préciser qu'à l'époque, le chanvre et le cannabis, c'était la même chose, on consommait toute la plante sauf les racines (les feuilles et les graines sont comestibles), les tiges comme tu le dit pour le textile et la fleur pour ses propriétés thérapeutiques, après l'interdiction, le cannabis a été ensuite sélectionné pour être de plus en plus chargé en principes actifs et on se retrouve aujourd'hui avec des variétés si puissantes que ça peut faire perdre la boule (j'ai arrêté pour ça, d'ailleurs), et ça, si on avait pas bêtement tout interdit, les choses seraient bien différentes.
En Inde, par exemple, zone d'origine de cette plante, ils se prennent pas le chou, ca pousse partout quasiment tout seul, mais le taux de THC étant inférieur à 3% voir beaucoup moins contre 10 à 20% en occident, ils le fument pur, et y'a aucun problème (à part le fait de fumer)

Mais maintenant c'est trop tard en occident, légal où pas, le cannabis, la plupart des gens le fument littéralement pour se défoncer et ca peut poser problème, comme tu l'a raconté, et j'en ai vu aussi des gens dérailler. :(

Qui sème le vent récolte la tempête, pour résumer.


Tous les commentaires (26)

Comme quoi, c'était vraiment mieux avant !!!^^

Dans les sirops pour enfants ...
Ah ben ya ptêtre un lien avec la génération des yéyés du coup non? (pas encore au biberon mais c'était pas loin)

a écrit : Dans les sirops pour enfants ...
Ah ben ya ptêtre un lien avec la génération des yéyés du coup non? (pas encore au biberon mais c'était pas loin)
Si les enfants du 19ème siècle sont les yéyés des années 60/70, je pense qu'il faut absolument faire des recherches sur le cannabis et l'allongement de la durée de vie^^

Mon père avait sont quart de vin tout les jour a l’ école primaire.
Donc le sirop au cannabis ne m etonne pas

a écrit : Comme quoi, c'était vraiment mieux avant !!!^^ Heu...

Je viens encore, la semaine dernière, d'écarter de mon cercle de connaissances, un accroc à la fumette de joints. Son comportement relationnel n'est pas des meilleurs, sous ces effets.
Ce n'est pas le premier... Et probablement pas le dernier que j'éviterai, tant la démocratisation de sa consommation récréative est maintenant répandue dans la population.
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Aux États-Unis, c'est la "Marihuana Tax Act" qui cherchera à mettre fin à son usage récréatif, dès 1937.
Néanmoins, cette Loi Fédérale... englobait aussi l'usage du chanvre dans son usage industriel et médical, ne le rendant plus économiquement compétitif.
Néanmoins, quand les États-Unis entrent dans le conflit de la Seconde Guerre Mondiale, le Ministère de l'Agriculture, se doit de relancer une production nationale. En effet la fibre sert à fabriquer le cordage des milliers de Liberty et Victory ships, de partie des semelles des bottes militaires, des parachutes, etc...
Tant cette matière première se fit tellement indispensable, que les familles d'agriculteurs cultivant le chanvre, étaient exonérés de leurs devoirs militaires.

a écrit : Mon père avait sont quart de vin tout les jour a l’ école primaire.
Donc le sirop au cannabis ne m etonne pas
... Ou encore le quard de pinard quotidien, distribué à chaque poilu, en 1914. La ration arrivera au litre quotidien, à la fin de la Grande guerre.
Les cigarettes de troupes, sont aussi un bel exemple.

En France, durant la Seconde Guerre mondiale, le vin de table était également considéré comme un aliment, au même titre que la farine, la viande, etc... Et faisait donc l'objet de tickets de rationnement.
Néanmoins, l'Occupant voulait aussi sa part du gâteau viticole Français... Aussi, des 1,7 millions de soldats prisonniers Français dans le Reich, ceux qui travaillait dans le secteur du vin... Se virent libérés prématurément.

En Belgique, une ration quotidienne de bière, était aussi distribuée dans les écoles.
Il y a une anecdote SCMB sur le sujet.

Ne jouons pas aux hypocrites: de tous temps et en presque tous les lieux, l'Humain a cherché à se perturber par ce type de produits.

Il existe un revival des recherches sur l'usage des substances psychoactives pour des troubles psychiques notamment. Bien sûr, pas des drogues pures, mais certains composés psychoactifs isolés. non psychotropes ou addictif. Pour le cannabis, le CBD en est un exemple récent, avec comme bémol qu'on le trouve partout maintenant mais sans garantie de qualité (le taux de THC résiduel notamment), et alors que le consensus scientifique n'est pas encore atteint.

a écrit : Heu...

Je viens encore, la semaine dernière, d'écarter de mon cercle de connaissances, un accroc à la fumette de joints. Son comportement relationnel n'est pas des meilleurs, sous ces effets.
Ce n'est pas le premier... Et probablement pas le dernier que j'éviterai, tant la dé
mocratisation de sa consommation récréative est maintenant répandue dans la population.
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Aux États-Unis, c'est la "Marihuana Tax Act" qui cherchera à mettre fin à son usage récréatif, dès 1937.
Néanmoins, cette Loi Fédérale... englobait aussi l'usage du chanvre dans son usage industriel et médical, ne le rendant plus économiquement compétitif.
Néanmoins, quand les États-Unis entrent dans le conflit de la Seconde Guerre Mondiale, le Ministère de l'Agriculture, se doit de relancer une production nationale. En effet la fibre sert à fabriquer le cordage des milliers de Liberty et Victory ships, de partie des semelles des bottes militaires, des parachutes, etc...
Tant cette matière première se fit tellement indispensable, que les familles d'agriculteurs cultivant le chanvre, étaient exonérés de leurs devoirs militaires.
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Je comprends bien, mais il faut quand même préciser qu'à l'époque, le chanvre et le cannabis, c'était la même chose, on consommait toute la plante sauf les racines (les feuilles et les graines sont comestibles), les tiges comme tu le dit pour le textile et la fleur pour ses propriétés thérapeutiques, après l'interdiction, le cannabis a été ensuite sélectionné pour être de plus en plus chargé en principes actifs et on se retrouve aujourd'hui avec des variétés si puissantes que ça peut faire perdre la boule (j'ai arrêté pour ça, d'ailleurs), et ça, si on avait pas bêtement tout interdit, les choses seraient bien différentes.
En Inde, par exemple, zone d'origine de cette plante, ils se prennent pas le chou, ca pousse partout quasiment tout seul, mais le taux de THC étant inférieur à 3% voir beaucoup moins contre 10 à 20% en occident, ils le fument pur, et y'a aucun problème (à part le fait de fumer)

Mais maintenant c'est trop tard en occident, légal où pas, le cannabis, la plupart des gens le fument littéralement pour se défoncer et ca peut poser problème, comme tu l'a raconté, et j'en ai vu aussi des gens dérailler. :(

Qui sème le vent récolte la tempête, pour résumer.

Même chose pour l'héroïne et la cocaïne, qui étaient également utilisées en pharmacie à la fin du XIX° siècle et au début du XX°...

a écrit : ... Ou encore le quard de pinard quotidien, distribué à chaque poilu, en 1914. La ration arrivera au litre quotidien, à la fin de la Grande guerre.
Les cigarettes de troupes, sont aussi un bel exemple.

En France, durant la Seconde Guerre mondiale, le vin de table était également considéré comme u
n aliment, au même titre que la farine, la viande, etc... Et faisait donc l'objet de tickets de rationnement.
Néanmoins, l'Occupant voulait aussi sa part du gâteau viticole Français... Aussi, des 1,7 millions de soldats prisonniers Français dans le Reich, ceux qui travaillait dans le secteur du vin... Se virent libérés prématurément.

En Belgique, une ration quotidienne de bière, était aussi distribuée dans les écoles.
Il y a une anecdote SCMB sur le sujet.

Ne jouons pas aux hypocrites: de tous temps et en presque tous les lieux, l'Humain a cherché à se perturber par ce type de produits.
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En Belgique, il y a quand même une tradition cistercienne depuis le XIIIe siècle pour la production de bières et notamment les bières trappistes. Cela fait 700 ans qu'on a remarqué que les personnes buvant de la bière ne mourraient pas du choléra entre autre car ils ne buvaient pas d'eau. Dans les écoles belges, la bière était à 1,2° et c'était un reliquat culturel....

Dans les tranchées également, il était préférable de boire du vin que de l'eau non potable ....

Pour le cannabis, ne jouons pas aux hypocrites dans l'autre sens non plus. Certains traitements à base de cannabis sont très efficaces et semblent avoir bien moins d'effets secondaires que les traitements de médecine traditionnelle (sclérose en plaques, épilepsie, alzheimer, dépression, anorexie, etc.).

a écrit : Même chose pour l'héroïne et la cocaïne, qui étaient également utilisées en pharmacie à la fin du XIX° siècle et au début du XX°... Pas l'héroïne, mais la morphine (qui même dès le début était vendue sous ordonnance), oui.
Pour la cocaïne, effectivement, et c'était en vente libre jusque dans les années 50 sous certaines formes.
"Always Coca cola!" ♬ ♫ ♪ ♩ ;)

a écrit : En Belgique, il y a quand même une tradition cistercienne depuis le XIIIe siècle pour la production de bières et notamment les bières trappistes. Cela fait 700 ans qu'on a remarqué que les personnes buvant de la bière ne mourraient pas du choléra entre autre car ils ne buvaient pas d'eau. Dans les écoles belges, la bière était à 1,2° et c'était un reliquat culturel....

Dans les tranchées également, il était préférable de boire du vin que de l'eau non potable ....

Pour le cannabis, ne jouons pas aux hypocrites dans l'autre sens non plus. Certains traitements à base de cannabis sont très efficaces et semblent avoir bien moins d'effets secondaires que les traitements de médecine traditionnelle (sclérose en plaques, épilepsie, alzheimer, dépression, anorexie, etc.).
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Ne nous méprenons pas, @Tybs.

Je ne remets pas du tout en cause, la consommation d'alcool pour des raisons "Sanitaires", en d'autres temps et circonstances qui, fort heureusement, ne sont plus aujourd'hui.

Il en est de même pour l'usage de cannabis ou autre drogue, dans un but thérapeutique et médical.

Par contre, ce qui n'est pas admissible -et ceci reste une opinion personnelle- ce sont les détournements faits de ces produits, pour un usage purement récréatif occasionnel... et qui finissent par devenir quotidiens, indispensables, affectant non seulement la vie journalière du consommateur accro', mais également son entourage.
.... Et durant cette dernière année en cours, j'ai particulièrement été "échaudé" par quelques cas d'alcoolisme chronique et de consommation de drogue, dans mon cercle professionnel et privé.

Fort heureusement, ceci appartient au passé, mais je serai de plus en plus intransigeant sur ces points, dorénavant.

a écrit : Ne nous méprenons pas, @Tybs.

Je ne remets pas du tout en cause, la consommation d'alcool pour des raisons "Sanitaires", en d'autres temps et circonstances qui, fort heureusement, ne sont plus aujourd'hui.

Il en est de même pour l'usage de cannabis ou autre dr
ogue, dans un but thérapeutique et médical.

Par contre, ce qui n'est pas admissible -et ceci reste une opinion personnelle- ce sont les détournements faits de ces produits, pour un usage purement récréatif occasionnel... et qui finissent par devenir quotidiens, indispensables, affectant non seulement la vie journalière du consommateur accro', mais également son entourage.
.... Et durant cette dernière année en cours, j'ai particulièrement été "échaudé" par quelques cas d'alcoolisme chronique et de consommation de drogue, dans mon cercle professionnel et privé.

Fort heureusement, ceci appartient au passé, mais je serai de plus en plus intransigeant sur ces points, dorénavant.
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Et il y a de quoi l'être, intransigeant, force est de l'admettre.

Mais finalement, pour l'alcool, y'a eu exactement le même problème qu'avec le chanvre, où presque.

Les vrais ravages de l'alcool ont commencé... avec l'invention des procédés de distillation (au nom du Dieu Pognon, tout comme la "beuh" sauf que elle elle est illégale), comparer le chanvre classique avec l'herbe moderne équivaut à comparer de la Kro avec du Jack Daniel's, pour faire court.

Et j'en reviens a ce que je disais plus haut, on fait quoi à ce sujet? Non contents que le canabis soit maintenant ultrapuissant et envoie des gens en hopital psychiatrique, le fait qu'il soit interdit génère ... ce qu'on voit à la télé, il y a plus de morts suite à des projectiles en plomb que de morts avec la fumette, ce sont les chiffres, pas une statistique.
La gestion de cette affaire est une incroyable catastrophe, faut l'admettre, et maintenant on paye les pots cassés de décisions arbitraires dans le passé.

Je n'ai pas de solution, à part le dépénaliser et le vendre sous ordonnance, comme ces saletés d'antidouleurs opioïdes afin d'éviter les abus, que l'état prenne le contrôle de toutes ces substances, mais qu'il le fasse CORRECTEMENT, je... c'est pour moi la seule option, ces substances sont la, il faut s'y adapter, les gérer. les interdire... on voit ce que ca donne! :(

Mais je suis ouvert à toute autre suggestion.
Bon j'vais me servir un ptit rhum, c'est le W.E crénom! ^^

a écrit : Je comprends bien, mais il faut quand même préciser qu'à l'époque, le chanvre et le cannabis, c'était la même chose, on consommait toute la plante sauf les racines (les feuilles et les graines sont comestibles), les tiges comme tu le dit pour le textile et la fleur pour ses propriétés thérapeutiques, après l'interdiction, le cannabis a été ensuite sélectionné pour être de plus en plus chargé en principes actifs et on se retrouve aujourd'hui avec des variétés si puissantes que ça peut faire perdre la boule (j'ai arrêté pour ça, d'ailleurs), et ça, si on avait pas bêtement tout interdit, les choses seraient bien différentes.
En Inde, par exemple, zone d'origine de cette plante, ils se prennent pas le chou, ca pousse partout quasiment tout seul, mais le taux de THC étant inférieur à 3% voir beaucoup moins contre 10 à 20% en occident, ils le fument pur, et y'a aucun problème (à part le fait de fumer)

Mais maintenant c'est trop tard en occident, légal où pas, le cannabis, la plupart des gens le fument littéralement pour se défoncer et ca peut poser problème, comme tu l'a raconté, et j'en ai vu aussi des gens dérailler. :(

Qui sème le vent récolte la tempête, pour résumer.
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Décidément ces gens ils font n'importe quoi, on leur donne un doigt ils te prennent l'avant bras. Ils ne peuvent pas un peu s'autoresponsabiliser!

a écrit : Décidément ces gens ils font n'importe quoi, on leur donne un doigt ils te prennent l'avant bras. Ils ne peuvent pas un peu s'autoresponsabiliser! De qui tu parle? Des politiciens qui pensent à la place des autres au lieu de faire leur travail?

a écrit : Heu...

Je viens encore, la semaine dernière, d'écarter de mon cercle de connaissances, un accroc à la fumette de joints. Son comportement relationnel n'est pas des meilleurs, sous ces effets.
Ce n'est pas le premier... Et probablement pas le dernier que j'éviterai, tant la dé
mocratisation de sa consommation récréative est maintenant répandue dans la population.
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Aux États-Unis, c'est la "Marihuana Tax Act" qui cherchera à mettre fin à son usage récréatif, dès 1937.
Néanmoins, cette Loi Fédérale... englobait aussi l'usage du chanvre dans son usage industriel et médical, ne le rendant plus économiquement compétitif.
Néanmoins, quand les États-Unis entrent dans le conflit de la Seconde Guerre Mondiale, le Ministère de l'Agriculture, se doit de relancer une production nationale. En effet la fibre sert à fabriquer le cordage des milliers de Liberty et Victory ships, de partie des semelles des bottes militaires, des parachutes, etc...
Tant cette matière première se fit tellement indispensable, que les familles d'agriculteurs cultivant le chanvre, étaient exonérés de leurs devoirs militaires.
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Pour avoir fumé pendant 10 ans tous les jours (j'en ai 30 aujourd'hui) 1 à 3 pétards le soir je peux je pense donner mon vécu qui pourra servir à d'autres.

Fumer n'est pas aussi anodin qu'on le pense lorsqu'on est fumeur. Moi même il y a encore 1 an je pensais que je fumerai toute ma vie, peut être moins mais sans jamais réellement arrêter parce que j aimais ça. Puis la crise sanitaire est passé par là...le stress de cette période, mixé au boulot et à l'éloignement de mes proches ou amis (notamment du fait que je sois célibataire - la fumette n'aide pas - et donc seul dans mon logement) m'ont fait ressortir les mauvais côté du cannabis. J'étais dépendant pour trouver le sommeil, hors dans cette période délicate, fumer ne me procurait plus de plaisir mais accentué mon anxiété et mes troubles du sommeil voir la paranoïa. Je n'arrivais plus à dormir, j avais une pointe permanente dans la poitrine, avec la psychose qui va avec. Ça a duré plusieurs moi avant que j accepte d admettre qu il était temps pour moi d'arrêter.

C'est à ce moment que j ai découvert à quel point mon addiction était forte. J'ai arrêté casiment du jour au lendemain, s'en est suivi de grosse insomnie, une dépression m'amenant a consulter un addictologue. J'ai essayé plusieurs méthodes douces avant de me résoudre à prendre des antidépresseurs et des somnifères pendant les premières semaines de sevrage. La nuit je me réveillais trempé, je faisais des cauchemars.

Mais au bout d'1 mois, l'addiction est parti et j ai pu redormir presque normalement. Et la dépression également.

Aujourd'hui ça va faire 6 mois que je n'ai plus fumé, et mon souhait d'arrêter a motivé mes amis pour en faire de même.

Je me sens beaucoup mieux et je n'ai plus du tout l'envie de fumer, tout simplement parce que je n'aime plus les effets du THC.


J'ai également arrêté il y a peu la cigarette de façon régulière (1 paquet tous les 1/2 jours cet été). J ai choisi de prendre une cigarette électronique a 3mg et comme j'aime tjs le goût de la weed, j'achète du CBD légalement dans les magasins.

À tous qui vous reconnaissez dans mon commentaire, sachez que oui ça peut être difficile d'arrêter, encore que nous ne sommes pas tous égaux face à la dépendance, pour des amis qui fumaient autant se fut plus facile, mais lorsque vous aurez réussi vous serez fier de vous ! Et vous verrez rapidement les effets positifs qui sont finalement supérieur au "plaisir" de fumer. Et après plusieurs mois de sevrage vous pourrez vous permettre de refumer quelques taf en soirée si l'envie vous chante dans retomber dans l'addiction.

À tous les fumeurs jeunes ou vieux qui souhaitent arrêter je vous dis bon courage, vous pouvez le faire.

May the force be with you !

a écrit : Pour avoir fumé pendant 10 ans tous les jours (j'en ai 30 aujourd'hui) 1 à 3 pétards le soir je peux je pense donner mon vécu qui pourra servir à d'autres.

Fumer n'est pas aussi anodin qu'on le pense lorsqu'on est fumeur. Moi même il y a encore 1 an je pensais que je fumerai
toute ma vie, peut être moins mais sans jamais réellement arrêter parce que j aimais ça. Puis la crise sanitaire est passé par là...le stress de cette période, mixé au boulot et à l'éloignement de mes proches ou amis (notamment du fait que je sois célibataire - la fumette n'aide pas - et donc seul dans mon logement) m'ont fait ressortir les mauvais côté du cannabis. J'étais dépendant pour trouver le sommeil, hors dans cette période délicate, fumer ne me procurait plus de plaisir mais accentué mon anxiété et mes troubles du sommeil voir la paranoïa. Je n'arrivais plus à dormir, j avais une pointe permanente dans la poitrine, avec la psychose qui va avec. Ça a duré plusieurs moi avant que j accepte d admettre qu il était temps pour moi d'arrêter.

C'est à ce moment que j ai découvert à quel point mon addiction était forte. J'ai arrêté casiment du jour au lendemain, s'en est suivi de grosse insomnie, une dépression m'amenant a consulter un addictologue. J'ai essayé plusieurs méthodes douces avant de me résoudre à prendre des antidépresseurs et des somnifères pendant les premières semaines de sevrage. La nuit je me réveillais trempé, je faisais des cauchemars.

Mais au bout d'1 mois, l'addiction est parti et j ai pu redormir presque normalement. Et la dépression également.

Aujourd'hui ça va faire 6 mois que je n'ai plus fumé, et mon souhait d'arrêter a motivé mes amis pour en faire de même.

Je me sens beaucoup mieux et je n'ai plus du tout l'envie de fumer, tout simplement parce que je n'aime plus les effets du THC.


J'ai également arrêté il y a peu la cigarette de façon régulière (1 paquet tous les 1/2 jours cet été). J ai choisi de prendre une cigarette électronique a 3mg et comme j'aime tjs le goût de la weed, j'achète du CBD légalement dans les magasins.

À tous qui vous reconnaissez dans mon commentaire, sachez que oui ça peut être difficile d'arrêter, encore que nous ne sommes pas tous égaux face à la dépendance, pour des amis qui fumaient autant se fut plus facile, mais lorsque vous aurez réussi vous serez fier de vous ! Et vous verrez rapidement les effets positifs qui sont finalement supérieur au "plaisir" de fumer. Et après plusieurs mois de sevrage vous pourrez vous permettre de refumer quelques taf en soirée si l'envie vous chante dans retomber dans l'addiction.

À tous les fumeurs jeunes ou vieux qui souhaitent arrêter je vous dis bon courage, vous pouvez le faire.

May the force be with you !
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Comme tu dis on est tous différents face à l'addiction. Pour ma part je fume du cannabis depuis bientôt 15 ans et tout se passe très bien pour moi. Après j'en fume très peu ( peut-être 1 ou 2 tous les 15 jours ), et j'avais plus de problèmes par rapport à ça quand j'étais ado et que je fumais beaucoup ( problèmes de concentration et de sautes d'humeurs notamment).
Mais par contre je n'ai jamais eu aucun problème d'addiction, le cannabis a toujours été quelque chose de festif pour moi que je prenais avec mes amis, et c'est donc tout naturellement que j'ai diminué en sortant du lycée car je passais moins de temps avec eux. Puis ma consommation a encore diminuée quand d'autres amis autour de moi ont arrêté.
Après c'est vrai que je connais aussi pas mal de gens qui ont fumé voir même qui fument toujours et à qui ça ne réussit vraiment pas, mais ce sont tous de gros consommateurs, et je pense que le fait de fumer du shit couper au pneu, à la parrafine, ou a d'autres choses du même genre ne doit pas aider non plus.
C'est d'ailleurs aussi pour ça que je prône la légalisation du cannabis, si certains pensent que la légalisation fera une horde de zombis dans les rues, je pense plutôt pour ma part que ça permettra de mieux encadrer le produit et sa consommation.
Et d'ailleurs pour la petite info, le cannabis peut être détecté jusqu'à 3 jours dans la salive, et je crois environ 3 semaines dans le sang, et si vous avez un accident de voiture, même non responsable, vous serez automatiquement considéré comme étant en tort si on détecte des traces de cannabis ( pareil pour les autres drogues ) même si vous n'êtes plus sous son effet depuis plusieurs jours.
C'est très injuste, et j'espère que la légalisation permettrait de fixer une certaine limite ( un peu comme pour l'alcool ), qui pourra différencier la conduite avec traces de cannabis dans le sang de la conduite sous influence du cannabis.

a écrit : Pour avoir fumé pendant 10 ans tous les jours (j'en ai 30 aujourd'hui) 1 à 3 pétards le soir je peux je pense donner mon vécu qui pourra servir à d'autres.

Fumer n'est pas aussi anodin qu'on le pense lorsqu'on est fumeur. Moi même il y a encore 1 an je pensais que je fumerai
toute ma vie, peut être moins mais sans jamais réellement arrêter parce que j aimais ça. Puis la crise sanitaire est passé par là...le stress de cette période, mixé au boulot et à l'éloignement de mes proches ou amis (notamment du fait que je sois célibataire - la fumette n'aide pas - et donc seul dans mon logement) m'ont fait ressortir les mauvais côté du cannabis. J'étais dépendant pour trouver le sommeil, hors dans cette période délicate, fumer ne me procurait plus de plaisir mais accentué mon anxiété et mes troubles du sommeil voir la paranoïa. Je n'arrivais plus à dormir, j avais une pointe permanente dans la poitrine, avec la psychose qui va avec. Ça a duré plusieurs moi avant que j accepte d admettre qu il était temps pour moi d'arrêter.

C'est à ce moment que j ai découvert à quel point mon addiction était forte. J'ai arrêté casiment du jour au lendemain, s'en est suivi de grosse insomnie, une dépression m'amenant a consulter un addictologue. J'ai essayé plusieurs méthodes douces avant de me résoudre à prendre des antidépresseurs et des somnifères pendant les premières semaines de sevrage. La nuit je me réveillais trempé, je faisais des cauchemars.

Mais au bout d'1 mois, l'addiction est parti et j ai pu redormir presque normalement. Et la dépression également.

Aujourd'hui ça va faire 6 mois que je n'ai plus fumé, et mon souhait d'arrêter a motivé mes amis pour en faire de même.

Je me sens beaucoup mieux et je n'ai plus du tout l'envie de fumer, tout simplement parce que je n'aime plus les effets du THC.


J'ai également arrêté il y a peu la cigarette de façon régulière (1 paquet tous les 1/2 jours cet été). J ai choisi de prendre une cigarette électronique a 3mg et comme j'aime tjs le goût de la weed, j'achète du CBD légalement dans les magasins.

À tous qui vous reconnaissez dans mon commentaire, sachez que oui ça peut être difficile d'arrêter, encore que nous ne sommes pas tous égaux face à la dépendance, pour des amis qui fumaient autant se fut plus facile, mais lorsque vous aurez réussi vous serez fier de vous ! Et vous verrez rapidement les effets positifs qui sont finalement supérieur au "plaisir" de fumer. Et après plusieurs mois de sevrage vous pourrez vous permettre de refumer quelques taf en soirée si l'envie vous chante dans retomber dans l'addiction.

À tous les fumeurs jeunes ou vieux qui souhaitent arrêter je vous dis bon courage, vous pouvez le faire.

May the force be with you !
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Je te remercie sincèrement pour ton témoignage.
Tu as su mettre les mots pour nous décrire ce qui est et que tu vois aujourd'hui comme une réussite personnelle. Je ne peux qu'applaudir.

Je te souhaite une très bonne journée.

Je pense que la légalisation se fera dans quelques années. Et de mon avis perso, il était temps.